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L’OBSERVATOIRE DU « FAIRE » L’ObSoCo – Maif – PHILIPPE MOATI | L'Obsoco. Au cours de la dernière décennie, économistes et psychologues ont été de plus en plus nombreux à se pencher sur les ressorts du bonheur ou, à tout le moins, du « bien-être subjectif ». Ils convergent en général autour de l’idée que, passé un certain seuil, consommer plus ne rend pas plus heureux. À cette limite endogène des promesses de la société de consommation s’ajoute avec de plus en plus d’évidence l’impasse écologique à laquelle mène la logique du toujours plus. Faut-il pour autant rejeter en bloc la consommation et promouvoir la frugalité ?

Outre que ce serait négliger le rôle de la consommation dans le circuit économique, la radicalité d’une telle posture pêche par son manque de nuance. Toutes les consommations ne se valent pas, tant sur le plan de la contribution au bien-être individuel que sur celui de l’impact environnemental et sociétal. Les travaux de recherche récents mettent de plus en plus l’accent sur la distinction entre deux approches du bonheur. Pas de fêtes sans alcool pour les jeunes. Quels sont les habitudes et discours sur l'alcool de la jeunesse actuelle ? Un ouvrage intitulé "L'alcool en fête : Manières de boire de la nouvelle jeunesse étudiante" aborde le sujet sous un angle socio-anthropologique. L’alcool en fête : Manières de boire de la nouvelle jeunesse étudiante Jacqueline Freyssinet-Dominjon, Anne-Catherine Wagner L’Harmattan, Collection Logiques sociales 2003, 273 pages Les études quantitatives s’accordent à montrer une évolution des manières de consommer de l’alcool : la quantité moyenne par individu baisse ; les jeunes délaissent le vin au profit de la bière et des alcools forts ; les ivresses sont plus fréquentes.

Pour autant, la consommation d’alcool parmi les jeunes n’avait pas encore donné lieu à une recherche qualitative approfondie. Réparation est faite avec cette publication qui rend compte d’une enquête menée par entretiens semi-directifs auprès de 226 étudiants de 18 à 29 ans et observations de soirées. Le Sport rend-il heureux ? Du bien-être de l’athlète aux vertus anti-dépressives du sport, l’Observatoire du Bonheur se penche sur ce qui se passe dans notre cerveau pendant l’effort Pas de doute, l’été 2012 sera placé sous le signe du sport : UEFA 2012 en football, Jeux Olympiques de Londres mais aussi les rendez-vous sportifs incontournables de tous les étés, du tennis au cyclisme… difficile d’échapper à ces évènements sportifs attendus avec impatience dans le monde entier par les athlètes et leurs supporters.

Source de bonheur, celui de gagner, de se dépasser, voire de passion, mais aussi de déceptions, le sport n’en reste pas moins riche en émotions, tant pour le sportif qui le pratique que pour le supporter qui le regarde. Pourtant, nombreux sont les clichés des athlètes qui miseraient plus sur leurs muscles que sur ce qu’ils ont dans la tête pour réussir. Mais quels sont les effets réels du sport sur notre cerveau ? Les endorphines : de « l’extase du coureur » à la dépendance Le saviez vous? Pas de fêtes sans alcool pour les jeunes. Salaire : quel est le montant du bonheur ?