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Innovations & SI

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La Chine montre un supercalculateur exploitant ses propres puces. Le système HPC que vient de dévoiler la Chine utilise 8 704 micro-processeurs fabriqués par une firme de Shanghai. La Chine a construit son premier supercalculateur entièrement basé sur des processeurs qu'elle a fabriqués, ce qui constitue pour le pays une étape importante vers une indépendance vis-à-vis de la technologie occidentale pour la mise au point des systèmes HPC. Le centre national des supercalculateurs de Jinan a dévoilé l'ordinateur jeudi dernier, selon la presse d'Etat.

Ce supercalculateur utilise 8 704 micro-processeurs Shenwei 1600 ayant été développés par le National High Performance Integrated Circuit Design Center de Shanghai. Mis au point par l'institut de recherche SDAS (Shandong Academy of Sciences), le système présente une puissance de pointe théorique de 1,07 petaflop (mille milliards d'opérations en virgule flottante par seconde) et une performance soutenue de 0,79 petaflop, mesurée par le test Linpack.

Microsoft prépare le tactile 2.0. Par Stéphane Larcher, le 18 octobre 2011 14:52 Les laboratoires Microsoft Research viennent de présenter une nouvelle technologie qui transforme n’importe quelle surface en une interface tactile. Une autre vise à faire fonctionner de façon tactile son appareil sans le sortir de sa poche. Il est de bon ton ces derniers temps de reléguer Microsoft dans les oubliettes de la technologie et de comparer l’entreprise de Redmond à un dinosaure face à Apple, Google, Facebook et autres champions de l’innovation. Mais avec plusieurs milliards de dollars investis chaque année dans la recherche & développement, le vieillard cacochyme n’a certainement pas dit son dernier mot. Une autre division de Microsoft Research a également présenté une interface tactile baptisé PocketTouch. L'écran Souple, Actualités. Puces RFID - CNIL De quoi s'agit-il ?

Internet des objets et RFID. RFID Nuage - CNIL. La Cnil met les RFID et les fichiers de mauvais payeurs sur sa liste noire. La Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) estime que les technologies de radio-identification (RFID) qui équipent les "étiquettes intelligentes" constituent des données personnelles. Et publie un rapport sur les "listes noires" de consommateurs qui, si elles se développent «en dehors de tout cadre légal spécifique», n'en restent pas moins assujetties aux grands principes de la loi informatique et libertés. Sur les RFID ou "radio tags", la Commission estime que pour être conforme à la législation en matière de protection de la vie privée, «la seule solution consiste en la neutralisation définitive ou temporaire de la puce», et que des dispositifs techniques le permettant devrait y être intégrés dès leur fabrication.

Le 30 octobre dernier, Philippe Lemoine, commissaire à la Cnil, s'intéressait dans une communication au développement de cette technologie. Les quatre pièges des RFID Sus aux "listes noires" des mauvais payeurs De 1 à 5 ans de prison pour les ficheurs. SyNPASE d'IBM: une puce expérimentale qui imite le fonctionnement du cerveau. Avec SyNPASE (Systems of Neuromorphic Adaptive Plastic Scalable Electronics), IBM a ouvert la voie à une nouvelle forme de puce électronique qui imite le fonctionnement du cerveau et pourrait annoncer l’émergence d’ordinateurs intelligents capables de collecter, traiter et analyser des données à grande vitesse. Deux prototypes de puces ont été conçus sur une base de 45 nm avec une architecture des circuits agencée de manière à reproduire les échanges qui se font entre les neurones et les synapses. Dharmendra Modha, le directeur de ce projet à IBM Research, explique que cette innovation permettra à un ordinateur de prendre des décisions après avoir traité une somme de données de façon similaire à ce que peuvent faire les humains.

Comme le cerveau, le prototype IBM peut réorganiser ses connexions en fonction des informations extérieures qu’il reçoit afin de les comprendre et d’agir. Des neurones numériques et des synapses d'apprentissage. IBM étudie des puces expérimentales qui imitent le cerveau humain. IBM a créé des puces expérimentales sachant imiter le mode de fonctionnement du cerveau humain. Selon lui, il s'agit d'une avancée « sans précédent » sur le chemin de la création d'ordinateurs intelligents capables de collecter, de traiter et de comprendre rapidement les données informatiques. « La puce expérimentale devrait permettre aux ordinateurs de prendre des décisions après avoir rassemblé et analysé d'immenses quantités de données, comme le fait l'être humain quand il compulse des informations pour comprendre une série d'événements », explique Dharmendra Modha, chef de projet chez IBM Research. Ces futures machines au comportement humain seront très éloignées des ordinateurs actuels, limités en puissance de calcul et qui nécessitent d'être programmés par l'homme pour produire des résultats.

Selon le chef de projet, il serait possible d'équiper les ordinateurs actuels avec des unités de traitement basse énergie pour obtenir ce mode de fonctionnement. Les prémices d'ordinateurs dédiés à la prise de décision. Deux prototypes reproduisent le fonctionnement du cerveau 0inShare IBM annonce que l'un de ses laboratoires de recherche, basé à Fishkill dans l'état de New-York, a fabriqué deux prototypes d'une puce "neurosynaptique". Cette nouvelle forme de puce pourrait devenir le coeur d'ordinateurs cognitifs, c'est à dire capables de fonctionner d'une manière similaire à un cerveau humain.

Ces deux prototypes sont actuellement en test, à New-York et en Californie. Des applications pour l'entreprise et l'aide à la décision Dr Dharmendra Modha, IBM Research IBM n'est bien entendu pas seul dans cette aventure. Autres articles. Un processeur IBM imite le cerveau humain.