background preloader

1 - Analyse du système d'information

Facebook Twitter

Le protocole IPv6. Avril 2015 Historique du protocole IP Les jours du protocole IP dans sa forme actuelle (IPv4) sont comptés. Le réseau Internet était utilisé largement par les universités, les industries de pointe, et le gouvernement dès le milieu des années 1990, mais Internet intéresse de plus en plus les entreprises et les sociétés commerciales - il sera utilisé par un grand nombre d'individus et de systèmes exprimant les uns et les autres des besoins différents. Par exemple : avec la convergence imminente de l'ordinateur, des réseaux, de l'audiovisuel et de l'industrie des loisirs, chaque poste de télévision deviendra avant longtemps un équipement d'accès à Internet permettant à des milliards d'individus de pratiquer, par exemple, la vidéo à la demande, le télé-achat ou le commerce électronique.

Les objectifs principaux de ce nouveau protocole furent de : Le protocole IPv6 Le protocole IPv6 répond raisonnablement aux objectifs édictés. Les principales fonctions d'IPv6 En-Tête de base des datagrammes. Transformation numérique, la DSI contournée par les métiers ? - Le 07 Janvier 2014 Le Byod, le cloud, des collaborateurs issus de la génération Y dans tous les services de l'entreprise, le Shadow IT, etc, tous ces éléments et ces facteurs déclenchent un bouleversement sur les usages IT et donc sur le rôle de la DSI.

Comment doit-elle se positionner face à ces usages et aux comportements des métiers ? La rédaction du site Monde Informatique a essayé d'apporter quelques pistes, quelques constats et quelques témoignages sur l'avenir de la DSI, un service qui pourrait, dans un avenir très proche, se transformer en un véritable opérateur de services et de ne plus seulement être considéré comme un centre de support. Sommaire du dossier : 1. Avec Watson Analytics, IBM associe cloud et traitements Big Data. A partir d'un jeu de données comportant des colonnes descriptives, le service Watson Analytics d'IBM peut générer un ensemble de visualisations montrant différentes tendances intéressantes. (crédit : IBM) Interrogé en langage naturel par les utilisateurs métiers, le service cloud Watson Analytics prépare lui-même les données à analyser et construit seul son thésaurus moyennant quelques indications appropriées.

On ne présente plus Watson, la plateforme cognitive d'IBM dans laquelle Big Blue a investi un milliard de dollars et sur laquelle il développe de plus en plus d'applications, dans tous les domaines. En ménageant ses effets, avec plusieurs messages diffusés en amont de l'annonce fait hier à New York, le fournisseur vient de présenter un nouveau service d'analyse de données, Watson Analytics. Hébergé dans le cloud SoftLayer d'IBM, ce service qui exploite la technologie de Watson apporte des capacités renforcées de visualisation et intègre la dimension d'analyse prédictive. L’Oréal planche sur la convergence technologique de ses plateformes digitales. Le groupe L’Oréal a nommé en mars dernier une Chief Digital Officer. La responsable – membre du Comex – doit combiner l’esprit entrepreneurial des entités du groupe avec un minimum de convergence technologique pour ses initiatives digitales. La feuille de route concrète sera définie le 11 Juillet avec le PDG du groupe.

Comment conserver l’énergie entrepreneuriale des vingt huit marques constituant l’Oréal et disposer d’un minimum de convergence technologique pour gagner en efficacité ? C’est tout l’enjeu de la mission qui a été confiée à Lubomira Rochet, Chief Digital Officer, directrice digitale, de L’Oréal, et membre du Comex du groupe.

Elle s’est exprimée sur la scène de l’assemblée générale de l’EBG, le 24 Juin dernier à Paris. Un minimum de convergence technologique « Chez L’Oréal, l’entrepreneuriat n’est pas un vain mot. Des initiatives ont déjà été initiées à la fois sur la partie contenu et sur la partie commerce. Passer à une société associant services et produits. Données de navigation des internautes: les entreprises peinent à en tirer de la valeur client. Actuellement, le Big Data concerne essentiellement les données de navigation des internautes. Seuls les re-targeteurs ou les régies digitales s’en servent vraiment.

Les entreprises peinent à en tirer une valeur quelconque pour animer leur base de clients ou convaincre leurs prospects. La révolution viendra du monde publicitaire qui se doit d’investir massivement dans les Data Analytics. Telle est l’opinion de Eric Janvier, Chief Data Officer de Numsight. Le Big Data dépasse tous les phénomènes médiatiques auxquels nous avons été confrontés depuis une dizaine d’années. Mais sommes nous vraiment en train de vivre une révolution technologique ? Les Big Datas ne sont pas si Big Les datas sont-elles si Big de nos jours? Par exemple, le secteur star des années 2000 est sans aucun doute la téléphonie mobile.

Pas de croissance Un autre secteur intéressant pour cette analyse est le secteur de la distribution traditionnelle. Les traces de navigation La révolution des Ad Exchange Eric Janvier. Le Conseil d’état veut encadrer l’usage des algorithmes prédictifs. L’usage des algorithmes doit être encadré. Le Conseil d’Etat s’inquiète des algorithmes prédictifs et des moteurs de recherche.

Il propose trois méthodes pour réaliser leur encadrement dans un volumineux rapport 2014 sur le numérique et les droits fondamentaux (400 pages), publié le 9 septembre. Responsabilisation Ces méthodes sont fondées sur la responsabilisation des individus et l’accroissement de leurs capacités d’action. Il s’agit d’accroitre la transparence sur les classements proposés par les moteurs de recherche ou les plateformes, et de donner le droit de faire valoir ses observations sur l’application d’un algorithme prédictif. Pour le Conseil d’état, ces algorithmes sont des sources de risques pour l’exercice de nos droits fondamentaux. « Face aux risques qu’ils présentent, il convient de définir un véritable droit des algorithmes prédictifs » affirme l’étude. Enfermement Dès lors, l’étude du Conseil d’État propose trois méthodes d’encadrement. Transparence. Sécurité numérique de l’entreprise… Un serious game ! Devenir ange gardien de la sécurité numérique de son entreprise… le serious game « Keep an Eye » Si la Data, « big ou smart, voire quantique », est aujourd’hui quasi unanimement considérée comme le nouvel « or noir » pour l’entreprise, elle en est ainsi d’autant plus convoitée, donc vulnérable !

Aucun système d’information n’est plus à l’abri d’une intrusion… C’était déjà le maitre mot circulant aux Assises de la Sécurité des SI début octobre 2013. C’est pourquoi le CIGREF, très impliqué dans la sécurité des usages numériques, travaille à l’élaboration d’un outil permettant de faire passer la culture du risque en entreprise. Cet outil c’est un serious game baptisé « Keep an Eye » ! Aujourd’hui, très sollicité à la fois par l’impatience des entreprises fortement impliquées dans la sécurité de leur SI et par les médias1, le CIGREF lève un coin du voile et nous fait découvrir le teaser de « Keep an Eye », alors même que le jeu aborde la dernière ligne droite de sa réalisation…

Certificats et clés asymétriques SQL Server.

S1 CGO

Séance du jour. 1 - Réseaux et système informatique. 2 - Réseau local. 3 - Domaine et nom de domaine. 4 - Interconnexion des réseaux. Matériel informatique - station de travail. Des budgets stables et des priorités claires pour les responsables des TI en 2012 - Stratégies. Selon Gartner, les budgets des responsables des technologies de l’information des organisations pourraient augmenter de 0,5 % à l’échelle mondiale en 2012, mais diminuer de 0,6 % en Amérique du Nord. Ces responsables des TI divulguent leurs priorités technologiques et commerciales. La firme d’analyse Gartner, qui a sondé près de 2 335 responsables des technologies de l’information d’organisations qui oeuvrent dans 37 industries et dans 45 pays, rapporte que 46 % des répondants ont fait état d’une augmentation de leurs budgets liés aux TIC en 2012. Toutefois, l’augmentation moyenne des budgets se situerait entre 2 % et 3 %.

Toutefois, Gartner indique que les coupures effectuées dans les budgets technologiques des grandes organisations qui ont participé au sondage – soit celles qui ont plus de 500 millions de dollars américains à consacrer aux TIC – auraient annulé en quelque sorte la croissance modeste qui serait anticipée par les organisations de plus petite taille.