Jardiland refait surface - Bricolage, jardinage. D’ici à quelques mois, les jardineries Pinguet, à Tours, pourraient bien rejoindre le giron de Jardiland.
Fin janvier, le deuxième réseau de jardineries français est entré en négociations exclusives avec son franchisé, qui possède deux magasins. Dans ce secteur, plus qu’ailleurs, les propriétaires sont confrontés à un renouvellement des générations. Et lorsque l’enfant de la famille ne souhaite pas reprendre le flambeau, il faut bien trouver une solution. « Je reste opportuniste, déclare d’emblée Thierry Sonalier, président du directoire de Jardiland depuis trois ans.
Nous avons repris langue avec des indépendants qui voudraient changer d’enseigne. » Le message est clair : sur un marché mature comme celui du jardin, avec une consommation atone, malgré un léger rebond en 2015 (+ 2%), difficile d’échapper à la concentration. Objectif qualité. Ouvrir une franchise Jardiland : Interview de Michel Conte, Président du directoire Jardiland. Un financier pour Jardiland. De drôles de jardiniers s'activent autour de l'enseigne Jardiland, spécialisée dans les semences, plantes et autres animaux de compagnie.
Leur mission : sauver de la déroute plus de 200 magasins, qui emploient près de 6.000 salariés en France, et en Espagne. Selon nos informations, le fonds d'investissement L-GAM est entré en négociation exclusive avec Michel Conte, président du directoire et actionnaire majoritaire de Jardiland. Le fonds, créé en octobre dernier, serait prêt à mettre sur la table environ 40 millions d'euros pour prendre le contrôle de l'enseigne. Yves Alexandre, ancien directeur d'Investcorp et cofondateur de L-GAM, n'a pas souhaité commenter l'information. La banque Edmond de Rothschild Corporate Finance serait à la manœuvre pour boucler cette opération financière à la fin du mois. LSA Click & Collect. Il y a du changement dans l’air chez Jardiland, avec le déploiement du click & collect.
Le concept (commande et paiement à domicile, retrait des produits en magasin) a été testé avec succès sur une dizaine de points de vente et vient d’être généralisé aux 84 magasins intégrés de l’enseigne. Il sera prochainement proposé aux 120 franchises du réseau. Le Groupe Jardiland optimise son processus achats grâce à Esker. Articles liés Basé en région parisienne, le Groupe Jardiland fait confiance à Esker depuis 2007 pour externaliser l’envoi de ses factures clients.
Suite à une réorganisation fin 2014, il a également choisi de lui confier la dématérialisation du traitement de ses 2 000 factures fournisseurs mensuelles provenant des 80 magasins et des différents services, ainsi que de ses demandes d’achats. En optimisant le processus achats dans sa globalité, la solution Esker permettra ainsi au Groupe Jardiland de : - Diviser par 5 le temps de traitement des factures fournisseurs qui nécessitait plus de 10 manipulations et 12 minutes par facture ; - Gagner en visibilité sur les commandes d’achats afin de mieux structurer le processus achats et contrôler les engagements ; - Accélérer la clôture de ses périodes comptables à J+3 au lieu de J+10 ; - Disposer d’une base unique d’informations entre les magasins, les différents services et la comptabilité.
Ouvrir une franchise Jardiland : "Avec Jardiland, on s'implante sur des surfaces de 5 000 m² environ" En 2012, la marque Jardiland a fêté ses 30 ans.
L’occasion pour l’enseigne de lancer une nouvelle campagne de communication et d’adopter une nouvelle signature « Création et Récréation ». Le groupe Jardiland a de grandes ambitions de développement en franchise pour les années à venir. Potentiel estimé : une centaine de points de vente supplémentaires à terme. Samuel Burner : Quel bilan tirez-vous de l’année 2012 ? Comment s’est comporté le groupe Jardiland sur les premiers mois de 2013 ? Christopher Jones : 2012 restera comme une année importante pour Jardiland car la marque a fêté ses 30 ans et a adopté une nouvelle signature : « Création et Récréation ».
Cela nous a ouvert de nouvelles perspectives. Comment Jardiland a métamorphosé son... Très actif dans le domaine de l’internet grand public, Google l’est également à l’égard des entreprises, et ce, en dépit d’une relative discrétion du géant américain sur ce sujet.
C’est la division Google For Work, qui a en charge de développer et d’adapter les outils de la firme, aux besoins des sociétés, grandes et petites. Elle se compose de quatre sous-divisions : une partie collaborative (Google Apps), Cloud Platform, Maps for Work (Google Maps, Google Earth…), et Devices (Android for Work, ChromeBox for Meeting). Utiliser des solutions grands publics très démocratisées au sein même des entreprises, l’idée semble faire son chemin du côté des professionnels. Une large palette d'outils L’enseigne de distribution, Jardiland, fait partie de celles qui ont opté pour les solutions Google for Work. Quarante euros par an et par utilisateur. Jardiland repart d'un nouveau pied. LSA Conso - Articles les plus lus. Les articles sur. Jardiland cultive sa stratégie de vente en ligne. Deux ans après son rachat par le fonds L-Gam et une restructuration complète, Jardiland se tourne vers le digital.
L'enseigne qui ne possédait, jusqu'à il y a trois mois, qu'un site vitrine, met en place une stratégie de click and collect via sa plateforme. "À présent, 20% des achats effectués en magasin font suite à une visite sur notre site internet", se réjouit Nicolas Dubois, directeur digital de Jardiland. Emmanuel Segard : le bonheur dans le jardin ! Donnant l’image d’un homme optimiste et dynamique, Emmanuel Segard se reconnaît toutefois lui-même légèrement têtu.
Des traits de caractère qui lui ont permis d’atteindre les objectifs professionnels qu’il s’était fixés dès son entrée dans la vie active et dans le groupe spécialiste du jardinage. Les poules, ces nouveaux animaux de compagnie. «Quand j’avais une vingtaine de poules, elles me suivaient comme un petit troupeau.
Certaines sont plus calmes que d’autres, mais elles nous voient surtout comme un gros épi de maïs », estime Catherine qui en élève encore une demi-douzaine à Fleurey-sur-Ouche. Ses plus proches voisins sont comme elle, des citadins habitant à la campagne et élevant des poules. L’intérêt ? C’est bien évidemment, celui d’avoir des œufs frais. Le printemps arrive en Bourgogne, les envies de jardiner aussi. Avec le printemps qui approche à grands pas, le soleil qui revient et les jours qui rallongent, c'est la bonne période pour faire des plantations.
Les quatre jardineries de l'agglomération Dijonnaise voient leur fréquentation en hausse. Il y a des magasins dans l'agglomération dijonnaise qui ne vont pas se plaindre du retour du printemps. Les jardineries connaissent en ce moment un regain d'activité.