Accordindisponibles.pdf (Objet application/pdf) EEBO-TCP: Early English Books Online - Text Creation Partnership. EEBO-TCP is a partnership with ProQuest and with more than 150 libraries to generate highly accurate, fully-searchable, SGML/XML-encoded texts corresponding to books from the Early English Books Online Database. The EEBO corpus consists of the works represented in the English Short Title Catalogue I and II (based on the Pollard & Redgrave and Wing short title catalogs), as well as the Thomason Tracts and the Early English Books Tract Supplement.
Together these trace the history of English thought from the first book printed in English in 1475 through to 1700. The content covers literature, philosophy, politics, religion, geography, science and all other areas of human endeavor. The assembled collection of more than 125,000 volumes is a mainstay for understanding the development of Western culture in general and the Anglo-American world in particular. Phase I From 2000-2009, EEBO-TCP Phase I successfully converted 25,000 selected texts from the EEBO corpus. Phase II Text Selection. Partenariats public-privé : la BNF s'associe à RFM pour la sortie d'une compilation de 78 tours. Jacqueline Sanson. Dans son édition du 10 décembre 2013, le quotidien Le Monde dresse un portrait doux-amer de la nouvelle entrée du site François-Mitterrand de la BnF, symbole de "l’univers sado-maso du plus catastrophique architecte français sexagénaire", Dominique Perrault.
Les ravages physiques, commis sur l’établissement prestigieux par une présidence et une direction générale qui devraient pourtant en être les gardiens du temple au lieu d’être ceux des intérêts de la maison Karmitz, ont fini par produire un profond malaise dans la Culture en France et pas seulement dans les corps des personnes chues dans le nouvel escalier de secours lambda magistral et somptueux, personnes s’étalant plus bas sur le sol "râpe à fromage" comme s’écrasaient les patineurs téméraires de L’Ecume des jours.
Décidement, dans son essence et par son action, la Direction de la BnF est vraiment une fabrique de bras cassés ! Pour Bruno Racine, président de la BNF depuis 2007, la cause était entendue. Bibliothèque National de France Advance Access to Important and Rare Works via Early European Books Program | Press Release. ProQuest and the Bibliothèque nationale de France (BnF) in Paris are joining forces to expand access to the Library's rich historical treasures. As part of its Early European Books program, ProQuest will digitize about 70,000 volumes from BnF's collection of European books printed before 1700. The collection, which is world renowned for its breadth and quality, includes 3,000 works printed before 1501, providing researchers with simple, online insight into early European history and culture.
"When we speak to users of Early European Books around the world, the Bibliothèque nationale de France is one of the most-requested sources of content," said Mary Sauer-Games, ProQuest Vice-President, Information Solutions. "This collection represents centuries of effort to acquire and preserve books on all manner of subjects.
It is thrilling for us to be able to work with such a prestigious institution and to make this content easily available to researchers across the globe. " Levée de boucliers contre les accords de numérisation conclus par la BNF. A la suite d’un « appel à partenariats » lancé le 6 juillet 2011 dans le cadre des investissements d’avenir, la Bibliothèque nationale de France (BnF) a annoncé le 15 janvier avoir conclu deux partenariats public-privé pour la numérisation et la diffusion d’une partie de ses collections. Deux contrats négociés par la filiale de la BnF, « BnF-Partenariats », créée en 2012 pour nouer des alliances avec des acteurs privés sur des projets de numérisation et de diffusion de ses fonds. 70 000 livres, dont seuls 3500 immédiatement en ligne - Le premier accord porte sur la numérisation de 70 000 livres anciens français datant de 1470 à 1700, confiée à la société américaine ProQuest.
Le projet concerne tous les exemplaires des incunables imprimés avant 1500 et un exemplaire par édition pour les imprimés des XVIème et XVIIème siècles. La colère contre la politique de numérisation de la BnF mobilise d’autres associations impliquées dans les problématiques culturelles de l’univers numérique. Polémique autour de la numérisation des œuvres de la BNF | Cinquième-pouvoir.fr. Le ministère de la culture a annoncé via un communiqué avoir conclu « deux partenariats d’envergures pour la numérisation et la diffusion des collections de la Bibliothèque de France » dans le cadre des investissements d’avenir. Si à première vue la numérisation semble être une étape de plus vers l’accès universel au savoir de nombreuses critiques pleuvent ces dernier jours sur ces accords, au premier rang desquels l’accusation de monétiser le domaine public. Sur quoi portent ces accords ?
Le premier accord, conclu avec la société ProQuest, prévoit la numérisation de 70 000 livres datant de 1470 à 1700. Cela concerne précisément tous les exemplaires des incunables imprimés avant 1500 et un exemplaire par édition pour les imprimés des XVIè siècle et XVIIème siècle. Le second accord, conclu avec Believe Digital Memnon Archiving services, concerne lui la numérisation et la valorisation de 200 000 disques vinyles 78 et 33 tours. Pourquoi est-ce critiqué? En savoir plus : Martin Ralury. Œuvres corporelles ou incorporelles? Les accords BnF entre deux eaux. <Mise à jour du 5 mai 2013/> Dans une réponse à une question parlementaire de la députée Françoise Guégot, le Ministère de la Culture et de la Communication affirme froidement que les accords signés font naître une exclusivité sur les fichiers numérisés et que ces derniers ne relèvent pas du domaine public de la propriété littéraire et artistique.
Autrement dit, pour le Ministère de la Culture, la numérisation ferait renaître des droits sur les œuvres. D'autre part, la confusion entre la domanialité publique (ouvrages physiques) et le domaine public de la propriété littéraire et artistique (œuvres) continue à être savamment entretenue : "les documents physiques, qui sont la source de la numérisation et qui relèvent du domaine public, ne sont grevés d'aucune exclusivité : ils peuvent toujours être numérisés ou communiqués à qui en fera la demande" Oui, mais à quoi bon, si les œuvres ne sont plus libres ?
</Mise à jour du 5 mai 2013> Mais de quel domaine public parle-t-on ici ? ... Partenariats BnF : pour un plat de lentilles. Esaü abandonne son droit d'aînesse à Jacob pour un plat de lentilles Le Louvre Numérisation du domaine public : l'affaire des contrats passés entre la BnF et trois opérateurs a fait grand bruit dans le Landernau des bibliothèques et c'est légitime.Une fois passées les premières émotions dues au grandissime bouleversement que chacun juge à l'aune de ses activités, qu'en retenir ?
Ce qui me paraît le plus frappant, c'est la négation absolue de ce que j'appelle la culture numérique. Je la définirais ainsi : - une attention portée aux usagers : que veulent-ils ? - une réelle volonté de partage, dont les conditions doivent se situer au plus près des préoccupations essentielles : pertinence des données numérisées, dissémination aisée (formats, coûts d'accès, gratuité du bien), échange collaboratif... - une avancée de l'intelligence collective : partager pour créer et produire, créer pour partager ; Parlons argent, nerf de la guerre numérique. A suivre ... L'April soutient la déclaration "Non à la privatisation du domaine public par la Bibliothèque nationale de France !"
L'association April apporte son soutien à la déclaration "Non à la privatisation du domaine public par la Bibliothèque nationale de France ! " dont voici le texte : Paris, le 18 janvier 2013 — Le ministère de la Culture a annoncé hier la conclusion de deux accords, signés entre la Bibliothèque nationale de France et des firmes privées, pour la numérisation de corpus de documents appartenant pour tout (livres anciens) ou partie (78 et 33 tours) au domaine public. Les fonds concernés sont considérables : 70 000 livres anciens français datant de 1470 à 1700, ainsi que plus de 200 000 enregistrements sonores patrimoniaux. Ces accords, qui interviennent dans le cadre des Investissements d’avenir et mobilisent donc de l’argent public, vont avoir pour effet que ces documents ne seront pas diffusés en ligne, mais uniquement sur place à la BnF, sauf pour une proportion symbolique. Toute tentative infondée ou trompeuse de s’approprier des œuvres du domaine public doit être punie légalement.
Corsari francesi all’attacco del Pubblico Dominio | Carlo Blengino. Il 15 gennaio il Ministro della Cultura e della Comunicazione francese ha annunciato la sottoscrizione di due accordi per la digitalizzazione di una parte di opere letterarie e musicali detenute dalla Bibliothèque nationale de France (BnF). La società ProQuest si occuperà di digitalizzare circa 70.000 libri stampati tra il 1470 ed 1700, mentre Believe Digital e Memnon Archiving Services riverseranno in byte circa 200.000 supporti fonografici a 78 e 33 giri.
Detta così è una buona notizia e non è una novità. Molte sono le iniziative per la digitalizzazione dei patrimoni delle nostre biblioteche e discoteche. Il problema è normalmente quello della fruibilità delle opere digitalizzate che, divenute potenzialmente accessibili su internet, sono in realtà bloccate per l’intricato sistema dei moltiplicati diritti d’autore e connessi, e per il rischio della temuta pirateria. La notizia francese però è particolare. Solo che, dove non ci sono i pirati, ci sono i corsari, almeno in Francia. L'état d'esprit de la politique en France et la numérisation à la BNF.
En 2005, c'est à dire pendant la préhistoire, Jean-Noël Jeanneney, alors directeur de la Bibliothèque Nationale de France, avait tempêté contre Google qui venait de démarrer son programme de numérisation des fonds de littérature présents dans les bibliothèques de grandes universités américaines. Ce programme a depuis été étendu à diverses bibliothèques de par le monde, y compris celle de Lyon. Les œuvres tombées dans le domaine public y sont disponibles librement, comme on peut le constater. Jeanneney dénonçait alors le risque d'une domination écrasante de l'Amérique. En 2008, la rumeur courut que, finalement, un accord eût pu se conclure avec l'implacable ennemi, mais rien ne se fit. Cet évènement, même s'il est d'une dimension limitée, est révélateur de travers de la vie publique française.
Ensuite, on peut voir le biais cocardier. Enfin, il y a la peur de la nouveauté et un état d'esprit qui ne voit que les menaces et pas les opportunités. Les profs disent le domaine public. 18120 de Mme Françoise Guégot (UMP - Seine-Maritime) 17775 de Mme Isabelle Attard (ECOLO - Calvados)
VU. VU2. Copyfraud de la Bnf (with images) · Biblioveilleur.