background preloader

Mécanismes NTIC vecteur culture Occidentale

Facebook Twitter

Commotion, le projet d'un Internet hors de tout contrôle. Internet n'a pas à être "civilisé" LE MONDE | • Mis à jour le | Par Patrice Lamothe, PDG du moteur de recherche communautaire Pearltrees et Thomas Gomart, directeur du développement stratégique à l'IFRI "Au e-G8, je me sens comme un Indien ou un Africain en train de regarder les puissances coloniales s'armer pour conquérir ma terre".

Ce tweet du journaliste américain Jeff Jarvis résume le clivage entre le monde de l'Internet et ceux qui cherchent à le "civiliser", au premier rang duquel figure désormais Nicolas Sarkozy. Opération de communication, l'e-G8 aura eu le mérite de souligner l'importance croissante du numérique, longtemps cantonné en France à un secrétariat d'Etat, de mettre en scène des rapports de domination et surtout de révéler le choc de conception en matière de gouvernance entre les Etats et Internet. Commande politique financée par des industriels et orchestrée par un groupe publicitaire, l'e-G8 aura finalement traduit une conception étroite du système international.

John P. Barlow : Déclaration d’indépendance du Cyberespace (Hache/essais) Hier, l’autre grand invertébré à la Maison Blanche a signé le Telecom « Reform » Act of 1996, tandis que Tipper Gore prenait des photos numériques de l’événement pour les inclure dans un livre appelé 24 heures dans le Cyberespace [24 Hours in Cyberspace]. On m’avait aussi demandé de participer à la création de ce livre en écrivant quelque chose d’approprié à la circonstance. Étant donné l’horreur que serait cette législation pour l’Internet, j’ai jugé que le moment était bien choisi pour faire acte de résistance. Après tout, le Telecom « Reform » Act, qui est passé au Sénat avec seulement 4 votes contre, rend illégal, et punissable d’une amende de 250 000 dollars, de dire « shit » en ligne.

Comme de dire l’un des 7 mots interdits dans les médias de diffusion grand public. Ou de discuter l’avortement d’une façon ouverte. Ou de parler des fonctions physiques autrement que dans des termes purement cliniques. Eh bien, qu’ils aillent se faire foutre. Voici donc… Davos, Suisse 8 février 1996. La mutation du groupe de pirates LulzSec après sa dissolution. Documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/32621/C%26T_1990_21_47.pdf?sequence=1. SPÉCIAL INTERNET : "La force de l'intelligence distribuée.

Joseph Carl Robnett Licklider. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Joseph Carl Robnett Licklider Joseph Carl Robnett Licklider (né le - décédé le ) est un informaticien américain aussi connu sous les noms de J.C.R. ou Lick. Après des premiers travaux en psychoacoustique, il s'intéressa très vite aux technologies de l'information. À l'instar de Vannevar Bush, les idées de J.C.R. En 2013, il a été admis, à titre posthume, au temple de la renommée d'Internet, dans la catégorie des pionniers. Biographie[modifier | modifier le code] Un terminal SAGE. Il étudia à l'université Washington à Saint Louis, où il obtint un BA en 1937, (physique, maths et psychologie), et un master de psychologie en 1938.

En 1960, Licklider écrit son fameux papier Man-Computer Symbiosis, qui soulignait le besoin d'une interaction plus simple entre les ordinateurs et leurs utilisateurs. En 1968, J. Références[modifier | modifier le code] M. Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Www.strategie-aims.com/events/conferences/2-xixeme-conference-de-l-aims/communications/24-linnovation-comme-communaute-de-communautes-une-etude-de-cas-historique/download.

Washington veut déjouer la censure des dictatures avec un Internet "fantôme" Droits de l’Homme et développement durable : quelle articulation. Glossaire | | UNESCO. Droits humains et développement durable (1/3) Les droits de l’Homme ne sont cités qu’une seule fois dans les 240 pages de l’Agenda 21 -1992- [1] qui définit les actions à mener pour un développement durable au XXIe siècle. Au Sommet Mondial du Développement Durable, (Johannesbourg, 2002) les droits de l’homme font une entrée modeste comme élément d’une bonne gouvernance. La 13e séance de la Commission du Développement Durable des Nations Unies (2005) s’interroge sur le droit à l’eau, et trouve un texte de référence dans les travaux du Comité des Droits Économiques, Sociaux et Culturels [2]. Kofi Annan donne comme objectif au système des Nations Unies qu’il souhaite refonder : “une liberté plus grande : développement, sécurité, et respect des droits de l’homme pour tous” [3]. Les droits de l’homme ne sont-ils qu’un moyen ?

Tout au mieux une composante du développement durable ? La réflexion sur le développement durable n’a cependant pas profité des acquis de la mise en œuvre de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Annexe. Droits humains et développement durable (2/3) Les droits civils et politiques (reconnaissance individuelle, droit à la vie, droits familiaux, liberté d’opinion et d’expression, participation à la vie politique) sont bien identifiés.

Ils sont souvent la référence des déclarations politiques lorsqu’il s’agit de “droits de l’homme”. Les droits économiques, sociaux et culturels sont souvent ignorés. Cependant, il est essentiel de les comprendre dans le cadre de cette réflexion sur “droits de l’homme et développement durable”. En suivant la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, il s’agit du travail et des loisirs, des conditions de vie (habillement, logement, santé, sécurité sociale), de l’éducation, de la participation à la vie culturelle, et de la paix sociale et internationale. Comprendre les droits économiques sociaux et culturels Une approche traditionnelle est de mettre face à face les droits civils et politiques d’une part, et les droits économiques, sociaux et culturels, d’autre part. Par rapport à l’approche de J. Droits humains et développement durable (3/3)

La notion de développement durable est apparue à la convergence d’un premier courant soucieux de l’impact de l’activité humaine sur l’environnement et d’un second souhaitant promouvoir le développement. Elle sert aujourd’hui d’”attracteur” dans le débat politique. Sans vouloir arrêter une définition du développement durable, reprenons ici deux approches qui nous permettront d’avancer dans notre réflexion : • L’approche du rapport Brundtland, tel que repris dans le principe 3 de la Déclaration de Rio : “Le droit au développement doit être réalisé de façon à satisfaire équitablement les besoins relatifs au développement et à l’environnement des générations présentes et futures”. • L’approche due à Ignacy Sachs, initiateur de l’éco-développement lors de la Conférence de Stockholm de 1992 : “Le développement durable est un développement social, respectant l’environnement et viable économiquement [1] Quel est donc ce développement, au cœur du développement durable.

Le développement. “art. 5. Communiquer toujours plus vite 3/4 - Histoire. Internet peut-il rester neutre ? - Sciences. La cartographie d'Internet ©Radio France Une telle question peut paraître obscure à nombre d’entre vous qui n’êtes pas familiers des débats qui agitent le microcosme d’Internet. Pourtant, elle vous concerne directement. En effet, la neutralité d’Internet désigne l’absence d’intervention des différents acteurs, qu’il s’agisse des gestionnaires des infrastructures, des fournisseurs d’accès ou même des moteurs de recherche, sur les contenus et les applications qui se développent sur la Toile.

En d’autres termes, c’est de la liberté de la création et de l’innovation sur Internet dont il est question. Pour les internautes, cette liberté se traduit par une capacité d’accès égale à tous les contenus des sites Internet mais également par celle de créer de nouveaux contenus accessibles par tous ou de développer de nouvelles applications sans contrôle a priori.Internet existe depuis une cinquantaine d’années. En France, son développement n’a qu’une quinzaine d’années. Invités: Vidéos: Club de l'Hyper-République (public): Facebook, Wikileaks: hauts et bas du "soft power" US. Après l'impact, apparemment gigantesque, de Facebook sur les événements qui secouent le monde arabe, on peut se poser la question : assiste-t-on au triomphe du « soft power » américain?

Le soft power numérique a été notamment théorisé par Hillary Clinton, qui en a fait la marque de fabrique de la diplomatie américaine sous administration démocrate. Contrairement à l'administration Bush, adepte de la méthode forte, les États-Unis allaient dorénavant privilégier des relations extérieures appuyées sur la diffusion des technologies de l'information, de l'Internet et notamment des réseaux sociaux. Le paradoxe, c'est que Hillary Clinton et la diplomatie Obama ont payé les pots cassés d'une erreur de l'administration républicaine, dans le domaine des technologies d'information. L'affaire Wikileaks est due à une très sérieuse faille de sécurité dans le système d'information des ambassades américaines, tel qu'il a été remodelé à l'époque Bush.

L'Europe, par défaut? Pierre de La Coste. Democ.htm. CyberDemocracy: Internet and the Public Sphere Mark Poster University of California, Irvine Copyright(c) Mark Poster 1995 I am an advertisement for a version of myself. David Byrne The Stakes of the Question The discussion of the political impact of the Internet has focussed on a number of issues: access, technological determinism, encryption, commodification, intellectual property, the public sphere, decentralization, anarchy, gender and ethnicity. The issue of commodification also affords a narrow focus, often restricting the discussion of the politics of the Internet to the question of which corporation or which type of corporation will be able to obtain what amount of income from which configuration of the Internet.

Recently theorists such as Philippe LacoueLabarthe and Jean-Luc Nancy [. But there are further difficulties in establishing a position from which to recognize and analyze the cultural aspect of the Internet. Decentralized Technology The Internet as a Public Sphere ? Sypar.files.wordpress.com/2011/05/5-beuscart-dagiral-parasie-2009_sociologie-des-activitc3a9s-en-ligne.pdf. From counterculture to cyberculture ...