background preloader

Space

Facebook Twitter

Des particules mesurées à une vitesse dépassant celle de la lumière. LE MONDE | • Mis à jour le | Par David Larousserie Ils ont attendu six mois avant de révéler leur secret à la communauté scientifique.

Des particules mesurées à une vitesse dépassant celle de la lumière

Vendredi 23 septembre, Dario Autiero, chercheur au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et membre de la collaboration Opera, devait en effet annoncer au Laboratoire européen pour la physique des particules (CERN), en Suisse, qu'après moult contrôles et calculs, lui et son équipe ont détecté des particules filant plus vite que la lumière. L'écart relatif, bien que faible, est significatif : quelque 0,002 % de plus. Un des piliers de la physique, le caractère indépassable de la vitesse de la lumière (près de 300 000 kilomètres par seconde), serait donc ébranlé. "Nous avons beaucoup hésité à communiquer, mais nous ne pouvions pas accepter que la rumeur se répande. Il n'était pas prévu que cette expérience internationale ébranle les fondements de la physique actuelle.

"Bien entendu, il faut confirmer ou infirmer ce résultat. Espace: 26 fragments d'un satellite US tomberont bientôt sur la Terre (NASA) Vingt-six fragments du satellite américain UARS, d'une masse totale de 500 kg, tomberont prochainement sur la Terre, le fragment le plus lourd pesant environ 150 kg, a annoncé vendredi Nicholas Johnson, directeur du département des débris orbitaux de la NASA.

Espace: 26 fragments d'un satellite US tomberont bientôt sur la Terre (NASA)

"Vingt-six fragments tout au plus, d'une masse totale d'un peu plus de 500 kg, atteindront la surface de la Terre", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse, ajoutant que leur chute était attendue fin septembre. Le porte-parole du commandement stratégique des forces armées américaines, Michael Duncan, a pour sa part fait savoir que les paramètres de la chute des fragments seraient précisés au fur et à mesure de la descente du satellite. Selon M. Duncan, de nombreux facteurs influent sur la date et l'endroit d'entrée de l'UARS dans l'atmosphère, si bien qu'il est pour le moment impossible d'indiquer une zone à risque plus précise que la région située entre le 57e degré de latitude nord et le 57e degré de latitude sud.

La première Station spatiale commerciale en gestation. ASTRONOMIE – Ce soir, vous pourrez observer une éclipse totale de Lune. Ce soir, la Lune sera rouge.

ASTRONOMIE – Ce soir, vous pourrez observer une éclipse totale de Lune

Car notre satellite naturel s'éclipsera totalement dans l'ombre de la Terre et sera momentanément privé de la lumière provenant du Soleil. Il prendra alors une couleur cuivrée causée par la réfraction de la lumière provenant de l'atmosphère terrestre, explique Le Parisien. Le phénomène sera visible de France, aux alentours de 22 heures, et durera 101 minutes, soit une période extrêmement longue. La dernière éclipse la plus longue remonte ainsi au 16 juillet 2000 et avait duré 107 minutes. Depuis, à raison de deux éclipses totales de Lune chaque année, aucune éclipse n'a duré aussi longtemps. L'éclipse sera observable au télescope, avec des jumelles ou à l'œil nu, en fonction des conditions météorologiques. Photo : JEWEL SAMAD / AFP Cette entrée a été publiée dans Actualité, Sciences. Meteorite hints at life’s origins.

Des bulles magnétiques aux confins du système solaire. Les confins de notre système solaire se présentent comme une zone de turbulences remplie de bulles magnétiques, selon des observations des vaisseaux américains Voyager 1 et 2, sondes les plus éloignées de la Terre, ont indiqué jeudi 9 juin les responsables de la mission.

Des bulles magnétiques aux confins du système solaire

Utilisant un nouveau modèle informatique pour analyser les données transmises par les sondes, ces chercheurs ont déterminé que ces bulles magnétiques mesuraient approximativement 160 millions de kilomètres de largeur. Elles se forment quand les lignes courbées du champ magnétique se réorganisent, ont expliqué les astronomes dans le journal Astrophysique du 9 juin. Le nouveau modèle informatique laisse penser que ces lignes se sont brisées pour former ces bulles déconnectées du champ magnétique du Soleil. "Ce champ magnétique s'étend jusqu'aux confins du système solaire", explique Merav Opher, une astronome de l'université de Boston et l'une des auteurs de cette communication.