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Fantasy etc

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Marie des Bois. La forêt, comme la sorcière, est celle qui encharme, séduit, fait peur et rassure. Elle entraîne au sein de systèmes merveilleux et met en contact avec des entités fantastiques. Elle inspire, revitalise, insuffle l'énergie, et, par des sentiers ombreux et scabreux mène vers la lumière de la clairière, nymbée de soleil ou ruisselante du scintillement des étoiles. Domaine des pulsions, des rêves, des elfes et des Lutins, des chevaliers en quête de prouesses ou de belles détenant des secrets ou des coupes d'immortalité, sanctuaire des dieux oubliés, d'intensité, d'amour et de fécondité,lieu chargé par le nouveau culte de terreurs innomées afin de le repousser dans le monde du dehors, à la christianisation, Elle devint l'ennemie.

Elle était sacrée, elle devint proscrite, comme les sorcières ou les loups, à cause des mêmes clichés, des mêmes mensonges. Mais l'énergie vitale ne meurt jamais. Sylphe (créature) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sylphe. Les sylphes (« sylphides » au féminin) sont des esprits de l'air fictifs[1]. Elles sont décrites comme des élémentaires de l'air par Paracelse. Le terme vient du latin sylphus qui signifie « génie ».

Les sylphes proviennent des mythologies gauloise, celte et germanique. Dans le monde anglo-saxon, les sylphes évoquent le poème épique d'Alexander Pope, The Rape of the Lock (en) (La Boucle de cheveux enlevée), où ils constituent des sortes d'anges gardiens chargés de protéger les jeunes filles. Les sylphes doivent leur nom au mot latin sylphus, « génie ». Les sylphes et sylphides sont un symbole de beauté, de subtilité et d'aspiration spirituelle.

Nicolas-Pierre-Henri de Montfaucon de Villars, dit l'abbé de Villars, dans un roman célèbre, le Comte de Gabalis ou Entretiens sur les sciences occultes (1670) simplifie Paracelse dans sa théorie des « esprits élémentaires » : Fantasy. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition[modifier | modifier le code] Le Journal officiel du 23 décembre 2007 a adopté le néologisme « fantasie » comme équivalent du grec fantasia (« imagination ») en la définissant de la manière suivante : « genre situé à la croisée du merveilleux et du fantastique, qui prend ses sources dans l’histoire, les mythes, les contes et la science-fiction »[1]. De son côté, le Grand dictionnaire terminologique de l’Office québécois de la langue française a proposé en 2003 le terme « merveilleux »[2]. En pratique, le mot anglais reste le plus utilisé, aux côtés de termes français recouvrant des domaines voisins mais non identiques, en particulier le merveilleux[3].

Dans son acception actuelle, le terme fantasy serait apparu pour la première fois aux États-Unis avec la revue The Magazine of Fantasy en 1949[4]. Pour l'écrivain et éditeur André-François Ruaud, la fantasy peut être considérée comme un sous-genre du fantastique : De même, J. . — J.

Petit peuple

Lampyridae. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lampyres femelles Lampyris noctiluca LampyridaeLatreille, 1817 Sous-familles de rang inférieur Amydetinae Olivier, 1907Cyphonocerinae Crowson, 1972Lampyrinae Latreille, 1817Luciolinae Lacordaire, 1857Ototretadilinae Crowson, 1972Ototretinae McDermott, 1964Photurinae Lacordaire, 1857Pterotinae LeConte, 1861 Un Lampyridae au microscope à balayage Lucioles mâles : noter les gros yeux noirs, très sensibles à la lumière Les traits jaunes matérialisent le vol de lucioles, qu'il est de plus en plus rare d'apercevoir dans les zones urbanisées ou d'agriculture intensive Les yeux, sensibles à de faibles intensités lumineuses sont situés sous la tête, proches l'un de l'autre et protégés du soleil Bien que ces espèces fassent partie des coléoptères, la plupart des femelles ne peuvent pas voler, ressemblent à leurs larves, d'où le nom de "ver".

Cycle reproductif[modifier | modifier le code] Les œufs et les larves peuvent aussi émettre de la lumière. La Fantasy au quotidien - Elbakin.net. Univers parallèle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On nomme univers parallèle, ou monde parallèle, un univers séparé du nôtre possédant ses propres dimensions d'espace et de temps. Il peut s'agir d'un univers engendré par des phénomènes physiques hypothétiques, ou dans les œuvres de fiction par une modification arbitraire d'un événement.

Selon les œuvres de fiction, ces univers sont décrits pour eux-mêmes ou en les faisant interagir avec notre univers, le principal pour nous. En physique[modifier | modifier le code] Les réalités d'Everett[modifier | modifier le code] Hugh Everett a proposé une interprétation de la fonction d'onde en mécanique quantique : pour lui, cette fonction décrit la réalité, et toute la réalité.

Malgré sa complexité et les doutes sur sa réfutabilité, cette interprétation est utilisée en physique au même titre que celle de la décohérence et celle de Copenhague, et présente ainsi les lois quantiques comme exactes et complètes, plutôt que simplement statistiques.