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Prothèses myoélectriques - Chabloz Orthopédie. Principe de fonctionnement Les prothèses myoélectriques fonctionnent grâce aux contractions musculaires contrôlées du patient. Des électrodes fixées dan l'emboîture sont au contact de la peau. Elles captent les signaux musculaires qui sont envoyés à un moteur placé dans la main. Le moteur se met en action grâce à l’énergie fournie par une pile, déclenchant ainsi l’ouverture et la fermeture de la main.

Pour un fonctionnement optimal de la prothèse, le choix du positionnement des électrodes est primordial. Nous utilisons le testeur MyoBoy qui permet de visualiser sur un écran d’ordinateur une représentation des contractions musculaires, mais aussi de simuler les différents types de mains myoélectriques. On peut ainsi valider le point où le muscle est le plus efficace pour activer le fonctionnement de la main : le point moteur. Dans certains cas, l’impulsion musculaire est trop faible ou inexistante ; le seuil de déclenchement pour faire fonctionner une prothèse ne sera pas atteint. Potentiel d'action. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le potentiel d'action, autrefois et encore parfois appelé influx nerveux, correspond à une inversion transitoire, locale, brève et stéréotypée de la membrane plasmique des neurones, selon une loi du tout ou rien.

La membrane plasmique présente une perméabilité sélective, modulable par différents facteurs comme son degré de polarisation ou par des neurotransmetteurs, à l'égard de différents ions (en particulier, sodium, potassium, chlore et calcium). La différence de concentration ionique résultante détermine la valeur locale du potentiel transmembranaire. Au repos, il existe un potentiel transmembranaire d'environ -70 mV : c'est le potentiel de repos. Étant donné que la membrane mesure 7 nm d'épaisseur, cela correspond à un champ électrique de dix millions de volts par mètre : Le potentiel d'action est constitué d'une succession d'événements : Le potentiel d'action dure entre 1 et 2 millisecondes. §Mise en place[modifier | modifier le code] Physiologie : transmission neuromusculaire (ameliorée)

Antigène HLA. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir HLA. Certains leucocytes (globules blancs) comme les monocytes dans le sang ou les macrophages dans les tissus, possèdent en plus une molécule de présentation d'éléments extérieurs au corps (ou antigènes), c'est le CMH de classe II. En génétique, HLA désigne plutôt le groupe de gènes correspondant, on parle du système HLA (situé sur le bras court du chromosome 6).

§Quelques généralités[modifier | modifier le code] Certains types de HLA semblent entraîner des prédispositions à certaines maladies autoimmunes, par exemple le lupus érythémateux, la myasthénie acquise, le syndrome de Sjögren et la sclérose en plaques. Via un processus similaire, des protéines (natives et étrangères, comme celles des virus) générées généralement à l’intérieur des cellules sont présentées aussi aux antigènes HLA (spécifiquement CMH de classe I) à la surface cellulaire. §Classification[modifier | modifier le code] L'essentiel sur le système immunitaire. Les missions du système immunitaire Le système immunitaire a une double fonction pour permettre à l’organisme de fonctionner correctement : reconnaître et contrôler ce qui appartient à l’organisme (le « soi ») ; lutter contre les agressions extérieures (le « non soi »). Il est constitué d’un ensemble de cellules et de molécules capables d’une part de détecter et de reconnaître des anomalies, et d’autre part, de réagir.

Ainsi, lorsqu’un corps étranger pénètre notre organisme, le système immunitaire peut le détecter et déclencher une série de processus qui nous permettra de le détruire. Principes généraux Soi et non-soi Le premier principe du système immunitaire est de distinguer le « soi » du « non-soi ». On peut retenir de grands principes qui régissent le fonctionnement du système immunitaire : Immunité innée et acquise Les principaux agents, dits « effecteurs » du système immunitaire Zoom sur...

Les lymphocytes Les lymphocytes sont les agents de l’immunité adaptatrice. Pour aller plus loin. Nerf ulnaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Schéma de la face antérieure du bras gauche; le nerf ulnaire est noté ulnar Le nerf ulnaire ou nerf cubital est un nerf du membre supérieur chez l'homme.

§Anatomie[modifier | modifier le code] Son trajet se poursuit dans la partie médiale de l'avant-bras, revenant dans la partie antérieure après être passé sous l'arcade du muscle fléchisseur ulnaire du carpe. Le nerf ulnaire accède au poignet en passant sous le rétinaculum des fléchisseurs, dans un petit dédoublement interne au contact de l'os pisiforme, la loge de Guyon, accompagné par l'artère ulnaire. Il s'épuise en rameaux sensitifs et moteurs pour la main. §Branches et innervation[modifier | modifier le code] Le nerf ulnaire est principalement un nerf moteur, bien qu'il soit en charge d'une partie de l'innervation sensitive de la main.

Branches terminales : Nerf digital palmaire commun du 4e espaceNerf digital dorsal commun du 4e et 3e espace Innervation motrice : Collagène. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le collagène est une famille de protéines, le plus souvent présente sous forme fibrillaire. Elle est présente dans la matrice extracellulaire des organismes animaux. Ces protéines ont pour fonction de conférer aux tissus une résistance mécanique à l'étirement.

Il s'agit de la protéine la plus abondante dans un organisme humain (également la protéine la plus abondante du règne animal), représentant le quart de la masse protéique [précision nécessaire]. Contrairement à l’élastine présente aussi dans les tissus conjonctifs, le collagène est inextensible et résiste bien à la traction. D'un point de vue industriel et économique, il faut noter que le collagène constitue la matière première permettant la production de gélatine. §Une protéine structurale[modifier | modifier le code] La triple hélice de tropocollagène §Une molécule très abondante[modifier | modifier le code] Les protéines se séparent en deux catégories. Portail de la biochimie. La main de Léonard de Vinci - Dominique Le Nen, Jacky Laulan. La main de Léonard de Vinci - Dominique Le Nen, Jacky Laulan. Anatomie de la main. L’anatomie de la main est très complexe comme l’est sa fonction.

Nous resterons simple dans la description anatomique. LES OS : La main est constituée de nombreux petits os qui s’articulent les uns aux autres. Le carpe est constitué de 8 os qui sont répartis en deux rangées : la première rangée s’articule avec les deux os de l’avant bras, le radius et le cubitus pour former le poignet.

Dans la première rangée on trouve de dehors en dedans : le scaphoïde, le semi lunaire, le pyramidal et le pisiforme. La deuxième rangée s’articule en haut avec la première et en bas avec les pétacarpiens. Dans la deuxième rangée on trouve de dehors en dedans : le trapèze, le trapézoïde, le grand os et l’os crochu. Les métacarpiens sont au nombre de 5 et s’articulent en haut avec la deuxième rangée du carpe et en bas avec les premières phalanges. Os de la main. L’arthrose de l’épaule | Le site de l'épaule. L’épaule correspond à l’articulation entre la cavité de l’omoplate (glène) et l’humérus.

Les surfaces articulaires sont recouvertes de cartilage qui facilite leur glissement. L’arthrose de l’épaule (ou Omarthrose) correspond à l’usure du cartilage. La disparition du cartilage laisse nu l’os se trouvant sous ce dernier rendant difficile les mouvements de glissement de la tête de l’humérus dans la glène. L’arthrose évolue de façon inexorable et imprévisible, les douleurs ne sont pas proportionnellement liées au stade évolutif de l’arthrose. L’épaule arthritique fait mal et devient progressivement raide. Les radiographies La radiographie standard utilize les rayons X pour visualiser les os à l’intérieur du corps.

Dans une articulation normale (sans arthrose): 1: Radiographie normale 2: la tête de l’humérus est sphérique 3: il existe un espace entre la glèbe et l’humérus qui correspond au cartilage (qui n’est pas visible sur la radiographie) Dans une épaule arthrosique: Scanner ou IRM: Prothese1-1.jpg (JPEG Image, 369 × 193 pixels) Qu'est-ce que l'arthrose ? L'arthrose se définit par une dégénérescence du cartilage ; toutefois, au cours de son évolution toutes les structures de l'articulation vont être atteintes. 1 - L'articulation normale Mais commençons par voir de quoi est constituée une articulation pour comprendre comment se traduit l'atteinte arthrosique. Articulation normale Les deux extrémités osseuses ("os sous-chondral" : situé sous le cartilage) qui composent une articulation sont recouvertes de cartilage. Les muscles, par l'intermédiaire de leurs tendons, s'insèrent sur la capsule et sur l'os péri-articulaire.

On se rend compte ainsi, que le cartilage joue un rôle primordial dans le bon fonctionnement de l'articulation, en permettant la glisse des surfaces articulaires l'une sur l'autre, lors des mouvements. Le cartilage est un tissu spécialisé, un peu particulier : il n'est pas vascularisé, et se nourrit donc par imbibition à partir du liquide articulaire sécrété par la membrane synoviale. 2 - Le processus arthrosique. Moelle épinière. La moelle épinière appartient au système nerveux central. Fonction de la moelle épinière La moelle épinière constitue le prolongement du cerveau de la boîte crânienne, à partir du bulbe rachidien et ce tout le long de la colonne vertébrale dans laquelle elle est contenue. Son rôle est de distribuer les nerfs entre le cerveau et les différentes parties du corps.

Elle est impliquée dans les réflexes, par exemple lorsque l’on retire sa main d’une plaque de cuisson brûlante, directement sans passage de l’information nerveuse au cerveau. Structure de la moelle épinière La moelle épinière est un cordon blanc de 1 centimètre de diamètre et de 50 centimètres de longueur. Racine postérieure ou sensitive ;racine antérieure ou motrice. Tous les nerfs rachidiens sont donc mixtes : moteurs et sensitifs. La coupe transversale de la moelle épinière présente deux régions : TypologieMusculaire. Muscle ischio-jambier. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Planche anatomique montrant la face postérieure de la cuisse. Un muscle ischio-jambier appartient à un groupe musculaire de la cuisse permettant l'extension de la hanche et la flexion du genou, Ce groupe rassemble des muscles polyarticulaires qui vont de la hanche jusqu’à l’arrière du tibia et de la fibula (péroné). Ces muscles correspondent aux muscles de la loge postérieure de la cuisse.

Ce groupe se compose de trois muscles : Le grand adducteur est parfois considéré comme un ''ischio-jambier inachevé'' en raison de sa continuité intime avec le ligament collatéral tibial, qui l’amènerait jusqu'à la jambe. §Insertions des ischio-jambiers[modifier | modifier le code] Muscle biceps fémoral (ou biceps crural ou long biceps) (biceps femoris captus longum) : il est composé par deux chefs.

Le semi-membraneux ne fait pas partie de muscle de la patte d'oie, car il se termine par un tendon distinct. §Innervation motrice[modifier | modifier le code] Plexus nerveux. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir plexus. Les principaux plexus du corps humain sur la centaine décrite sont : Parfois les plexus lombaire et sacré sont regroupés sous le terme de plexus lombosacré. Au niveau thoracique, l'organisation segmentaire simple des nerfs spinaux est conservée, il n'y a donc pas de plexus thoracique.

Ganglion nerveux. Définition Un ganglion nerveux est une structure organique composée de tissus cellulaires, de type neurones et de leur prolongement, appelé dendrite. Le ganglion nerveux est en liaison avec les fibres nerveuses. Les ganglions nerveux peuvent être de deux natures : les ganglions sensitifs spinaux et crâniens et les ganglions sympathiques et parasympathiques.

Ces derniers ne permettent pas aux synapses, les connexions entre plusieurs neurones qui déclenchent des réactions physiologiques ou motrices, de s'effectuer. Publi-information A voir également Dans la même catégorie Réalisé en collaboration avec des professionnels de la santé et de la médecine, sous la direction du Docteur Pierrick HORDÉ. Biomatériau. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un biomatériau (à ne pas confondre avec un écomatériau) a été défini, selon la Société Européenne des Biomatériaux, comme « matériau conçu pour interagir avec les systèmes biologiques, qu'il participe à la constitution d'un dispositif à visée diagnostique ou à celle d'un substitut de tissu ou d'organe ou encore à celle d'un dispositif de suppléance (ou d'assistance) fonctionnelle » (Conférences de Chester (Royaume-Uni), 1986 et 1991). Il peut ainsi être considéré comme tout matériau utilisé pour remplacer une partie ou une fonction du corps de manière sure et fiable, acceptable d’un point de vue économique et physiologique[1].

La science des biomatériaux est un domaine de la Science des matériaux. Définition[modifier | modifier le code] Le concept de biomatériaux étant polysémique, il en existe diverses définitions. Une définition souvent acceptée dans le domaine de la biologie et de la médecine est : Applications[modifier | modifier le code] Corrosion des céramiques.