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Hurt Locker

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The Hurt Locker / Démineurs | iDrann. I'll be blog » Blog Archive » Démineurs. Démineurs est un film de guerre. Une guerre que l’on n’a pas l’habitude de voir. Une guerre où l’on ne se tire pas dessus – enfin, pas trop – , et qui se gagne en débranchant des fils. Une guerre sans scène d’action flatteuse ni explosions gratuites – ce n’est pourtant pas faute d’occasions.

Une guerre où la peur n’est pas dans le bruit mais dans le silence, où son pire cauchemar n’est pas de mourir à cause d’une balle perdue, mais d’une bombe retrouvée Bref, Kathryn Bigelow fait du neuf avec du vu et revu : il reste peu de temps à une compagnie de Démineurs avant la quille, et nous la suivons au fil des missions en apprenant à connaître chacun de ses membres. Le grand talent de Kathryn Bigelow est de nous plonger dans le réel avec le moins d’artifices possibles – pas de musique stressante lorsque le démineur coupe le fil, pas d’explosion montrée sous trois angles différents… – , et de nous faire ressentir la tension qui tord les tripes des protagonistes. Démineurs - Geek Culture. Démineurs, la critique. Lorsqu’une réalisatrice veut mettre le public sous tension, elle nous plonge au côté de Démineurs pendant la guerre en Irak. Préparez-vous à être soufflés. Kathryn Bigelow est une réalisatrice plutôt « burnée» .

Après Strange Days ou Point Break, elle met cette fois en scène Démineurs, un film réussi sur la guerre en Irak. Attention, ici pas de guerriers héroïques. La réalisatrice suit une troupe d’officiers démineurs en terrain hostile , leur quotidien, leur stress, la pression qui monte, l’adrénaline qui s’empare de ces soldats. Les émotions passent aussi par les comédiens tous impeccables, en particulier Jeremy Renner (28 Semaines plus tard) qui nous fait comprendre pourquoi certains soldats veulent retourner au front. Mais revenons-en à l’essentiel.

Plus d’infos sur ce film. Démineurs (The Hurt Locker, 2008. On peut dire qu’elle a manqué au cinéma l’ex-femme de ! 6 ans d’absence et si on élimine les très moyens et il faut remonter à 1995 pour tomber sur son dernier grand film, ! Et son retour elle le fait en plus par la petite porte, ayant souffert d’une sortie en catimini un peu partout, un mode de distribution incompréhensible quand on voit la puissance de ce petit bijou. Le jury de la Mostra de Venise ne s’y est pas trompé en lui attribuant tout un tas de prix amplement mérités, car il s’agit là d’un des films majeurs de cette année, sans l’ombre d’un doute! Le sujet est simple, a déjà été abordé avant mais aucun film ne s’était concentré exclusivement là-dessus, et il tient dans la tagline : « War is a Drug ». Et pour démontrer l’addiction à l’adrénaline que peut procurer la guerre, autant s’intéresser au métier le plus extrême, démineur! Et comme à son truc c’est l’efficacité à tout prix, elle nous sort une scène monstrueuse en ouverture de son film.