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Dodin-Bouffant

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Eloge d'une cuisine universelle. La vie et la passion de Dodin ... Marcel Rouff. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marcel Rouff, né à Genève en 1877 et mort à Paris en 1936, est un poète, romancier et gastronome français d'origine suisse. Compagnon de Curnonsky, il est l'un des fondateurs de l'Académie des gastronomes.

Il est principalement connu pour son livre La vie et la passion de Dodin-Bouffant, gourmet, qui raconte sous une forme humoristique la vie d'un passionné de gastronomie, fortement inspiré de Curnonsky. Une adaptation télévisée (on disait « dramatique » et non téléfilm) en fut tirée vers 1965 mais jamais rediffusée. Principales publications[modifier | modifier le code] Les Hautaines, poésies, 1896La Grande Angoisse. Liens externes[modifier | modifier le code] Curnonsky. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Maurice Edmond Sailland, dit Curnonsky, né à Angers le 12 octobre 1872 et mort à Paris le 22 juillet 1956, est un gastronome, humoriste et critique culinaire français, surnommé « le prince des gastronomes ». Biographie[modifier | modifier le code] À partir de 1921, il publie avec son ami Marcel Rouff La France gastronomique, une collection de 28 recueils (sur 32 prévus) sur la cuisine régionale et sur les meilleurs restaurants de France.

Faisant partie de l'Automobile Club de France, il participe dès 1926 à la naissance du guide Michelin[7]. En 1927, il est élu « prince des gastronomes » après un vote des cuisiniers, restaurateurs et gastronomes organisé par la revue Le Bon Gîte et la Bonne Table, titre qui lui reste attaché au XXIe siècle. Son rival finaliste, Maurice des Ombiaux, sera élu « Prince de la Treille ». En 1930, il fonde l'Académie des gastronomes et l'Académie de l'humour avec Romain Coolus. Postérité[modifier | modifier le code] La vie et la Passion de Dodin-Bouffant, gourmet , Livres. De la table à l'écrit. Le pot-au-feu de Dodin-Bouffant.

"Il faut mettre le pot-au-feu dès le matin" , dit Furetière en 1691. Pot-bouille, jusqu'à Zola, désigne un ustensile ordinaire de la cuisine. Le pot-au-feu, plat emblématique de la cuisine ménagère, s'est peu à peu embourgeoisé et figure même à l'empyrée de la haute gastronomie. Le Pot-au-feu de Mary Meerson, de Léone Jaffin (La Différence, 2005, 256 p., 20 euros), raconte l'histoire d'un personnage de légende dont beaucoup se souviennent encore.

Elle était la compagne d'Henri Langlois, fondateur de la Cinémathèque française, cette institution généreuse qui forma tous les cinéastes des années 1950 et 1960. Habituée du Montparnasse des années 1920, amie de Kiki, noctambule, à la fois danseuse russe et modèle des grands peintres, elle épousa le décorateur Lazare Meerson, celui de La Kermesse héroïque. Puis, en 1938, elle devint la collaboratrice d'Henri Langlois, maigre jeune homme né à Smyrne et fabuleux collectionneur de films.