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Physique - Expériences

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La course à la lumière lente. Laboratoire Kastler Brossel. À la une Record d’intrication sur une puce à atomes Des physiciens du Laboratoire Kastler Brossel ont mis au point une nouvelle méthode pour intriquer des atomes et cartographier leur état quantique. Cette méthode ouvre la voie à l’intrication d’un grand nombre de particules avec des applications dans le domaine de la métrologie. La mécanique quantique introduit l’idée d’intrication comme un élément clef de notre compréhension de la nature. Dans un état intriqué, plusieurs particules peuvent être dans plusieurs états (...) Lire la suite Etats comprimés en intensité avec des micropiliers semiconducteurs La génération de champs lumineux comprimés et intriqués est un ingrédient essentiel pour la réalisation de protocoles d’Information Quantique.

Lire la suite Stocker le twist d’un photon dans une mémoire quantique Lire la suite Actualités Jean-Michel Raimond, Lauréat du prix Edison-Volta 2014 Lire la suite Laboratoire Kastler Brossel Directeur : Antoine Heidmann Lire la suite À noter Recrutements 2014. Des constantes fondamentales changeraient dans le temps et l'espace. Sur ce schéma, la raie d'émission d'un quasar est bien visible dans son spectre avec la forêt Lyman alpha sur sa gauche, comme il est expliqué dans le texte ci-dessus. © Michael Murphy Des constantes fondamentales changeraient dans le temps et l'espace - 2 Photos Revoilà le serpent de mer de la variation de la constante de structure fine... Ce n’est pas la première fois que Michael Murphy et John Webb font état d’observations suggérant que la valeur de cette constante fondamentale, fixant l’intensité des forces électromagnétiques entre des particules chargées, n’était pas la même dans le passé reculé de l’univers.

Aujourd'hui, l’équipe entourant ces deux chercheurs annonce que non seulement les observations portant sur la lumière des quasars sont plus solides, mais qu’en plus d’une variation dans le temps, on observe maintenant une variation dans l’espace ! La constante de structure a déjà fait couler beaucoup d’encre dans le domaine de la physique. Α-1 = 137,035.999.074 (44) Boson de Higgs, supersymétrie, théorie des cordes au. Peter Higgs contemplant le détecteur CMS au LHC. Crédit : Maximilien Brice-Cern Boson de Higgs, supersymétrie, théorie des cordes au LHC pour 2010 ? - 7 Photos C’est la troisième fois que je me retrouve au Cern en moins de deux ans. Il faut dire que les grands événements s’y multiplient...

Il y eut d’abord la journée historique des premiers faisceaux du LHC, le 10 septembre 2008. Le début de décembre 2009 fut aussi un grand moment en raison de la présence au Cern de plusieurs des architectes du modèle standard des particules élémentaires. Le 30 mars 2010 promettait lui aussi d’être un jour à marquer d’une pierre blanche. Peut-être d’ailleurs ne se limitera-t-il pas à cela. Etrange sensation que de se retrouver poussières d’étoiles et au bout du processus évolutif d'une biosphère, prêt à se pencher sur les forces et les énergies à l’œuvre au début du monde, avant que n’existent ni galaxies, ni étoiles et pas même des atomes. Une visite à Atlas La masse du Higgs, MH, est inconnue. Electrons à masse négative dans les semi-conduct. Le prix Nobel de physique Félix Bloch. Crédit : Weizmann Institute of Science Des électrons à masse négative dans les semi-conducteurs ?

- 1 Photo Les premiers modèles de conduction des électrons dans les métaux sont presque aussi anciens que la découverte de ces particules puisque c’est en 1900 que Paul Drude a proposé le sien, basé sur une analogie avec la théorie cinétique des gaz. Pourtant, ce modèle ne permet pas vraiment de comprendre la conductivité des métaux, car il fournit des valeurs bien trop faibles. Ce n’est qu’avec la découverte des principes de la mécanique quantique que les physiciens ont commencé à y voir plus clair. En se basant sur le comportement ondulatoire des électrons, le prix Nobel de physique Felix Bloch, dont le nom a été donné à la chaire de physique qu’occupe actuellement Léonard Susskind, a donné une explication plus satisfaisante. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. Spins et statistiques : réussite Quantique. Une photos du dispositif de l'expérience de l'Université de Berkeley. Les faisceaux laser apparaissent en vert.

Crédit : Damon English-UC Berkeley Spins et statistiques : un test réussi pour la théorie quantique - 2 Photos La théorie quantique des champs relativistes est née des travaux de Werner Heisenberg et Wolfgang Pauli dans les années postérieures au congrès Solvay de 1927. Elle n’aurait cependant pas pu se développer pleinement sans la découverte en 1928 par Paul Dirac de la généralisation relativiste de l’équation de Schrödinger pour un électron, et si Pascal Jordan n’avait pas posé les bases de la quantification du champ électromagnétique à la fin de l’année 1925. La théorie quantique des champs de cette époque est en fait l’électrodynamique quantique relativiste.

Ses créateurs attendent d’elle qu’elle puisse décrire tous les détails des interactions entre protons, électrons et photons à des vitesses arbitrairement proches de la lumière. Le principe en est simple.