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Finances Publiques

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Pourquoi OpenSpending est un «trésor» pour les journalistes | Nouvelles des médias. Credit: Thinkstock It has been almost two years since the OpenSpending project was set up by the Open Knowledge Foundation, sparked by the launch of Where Does Your Money Go, which focuses on how taxes are used by the UK government. The idea then moved to Germany, where Offener Haushalt was set up, before the decision was made to offer a central platform for "mapping the money" which could help spread the resource further around the world.

Speaking to Journalism.co.uk at the International Journalism Festival in Perugia last week, Friedrich Lindenberg, who worked on the project and is also a Knight Mozilla OpenNews fellow at Spiegel Online, said the data covers two main areas, with "high-level budgetary information" on the one hand, and "fine-grain transactional data" on the other. The platform can be used in a number of different ways, as the website outlines. "We have a lot of fantastic resources in here and it's hardly even used by journalists," he said. Open Spending Commmunity. Brisons des mythes : la loi 73-7, la dette souveraine… Cette loi, affublée de tous les défauts, aurait en plus de celui, bien caractéristique, "d'interdire à l'Etat d'emprunter à sa banque centrale", ce qui soumettrait la nation aux marchés et donc l'endettement puisque l'Etat se trouverait alors contraint d'émettre des obligations pour se financer.

Un propos qui a évolué depuis, précisant que l'Etat ne peut emprunter "gratuitement" à la Banque de France. Ben non, ce n'est pas le cas! La loi 73-7 dite "Pompidou-Giscard" n'a bien évidemment à voir avec l'endettement. Et pour cause, contrairement à ce qui est prétendu, elle n'interdit nullement d'emprunter à la banque centrale. Le propos a d'ailleurs sensiblement évolué puisqu'aujourd'hui on trouve de plus en plus de monde pour préciser qu'en fait, finalement elle n'empêche pas l'Etat d'emprunter à la BdF, mais le contraint à payer des intérêts.

Explications : l'article 19 de la loi autorise expressément l'Etat à "obtenir des emprunts et des avances". Le contenu réel de la loi de 73. Données publiques / Open Data. Dette publique de la France. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dette publique de la France, en % du PIB, et en milliards d'euros courants, en fin d'année, 1978-2010. Dette publique et affichage des couleurs politiques des gouvernements (source : INSEE) La dette publique, « au sens de Maastricht » estimée par l'Insee, a été évaluée pour la fin du quatrième trimestre 2013 à 1 925,3 milliards d'euros, soit 93,5 % du PIB[1]. Elle représentait 663,5 milliards d'euros à la fin de 1995, ou 55,5 % du PIB et avait atteint 1 211,6 milliards d'euros (64,2 % du PIB) à la fin de l'année 2007[2].

Ce chiffre, qui sera à rembourser par les administrations publiques, est à comparer à leurs recettes annuelles. un déficit public annuel qui ne devrait pas excéder 3 % du PIB[3].une dette publique[4] qui devrait rester inférieure à 60 % du PIB[5] Depuis 2007, la France ne respecte aucun de ces critères. La question de la gestion et de l'avenir de la dette publique occupe aujourd'hui le débat public. La dette publique, faux coupable de la crise européenne. Englués dans une crise européenne sans précédent, les chefs d’État et de gouvernement de la zone euro se sont concertés à Bruxelles dans la nuit du 26 octobre 2011.

À l'issue de ce sommet, ils ont promis une aide à la Grèce pour le remboursement de sa dette, en échange d'une stricte politique de rigueur (ils ont pour cela, fait sans précédent, sollicité l'aide de la Chine). Les dirigeants européens ainsi que les banquiers et la plupart des économistes et des médias s'inquiètent de l'explosion des déficits budgétaires en Grèce comme dans les autres États méditerranéens de l'Union : dans les dernières années, leurs dépenses publiques (administrations, dépenses sociales, services publics...) ont cru plus vite que les recettes fiscales (taxes et impôts). De la sorte, les déficits budgétaires en arrivent aujourd'hui à dépasser 6% ou 7% du PIB (Produit Intérieur Brut ou richesse nationale). De la «déflation» à la «rigueur», un même échec - le contre-exemple allemand de 1930 : Dette extérieure.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En économie, la dette extérieure désigne l'ensemble des dettes qui sont dues par un pays, État, entreprises et particuliers compris, à des prêteurs étrangers. Il est important de faire la distinction entre la dette extérieure brute (ce qu'un pays emprunte à l'extérieur) et la dette extérieure nette (différence entre ce qu'un pays emprunte à l'extérieur et ce qu'il prête à l'extérieur). Ce qui est le plus significatif, c'est la dette extérieure nette. Un niveau trop élevé de dette extérieure nette témoigne d’un risque-pays élevé : en cas de fluctuations de la devise nationale, les montants des intérêts et du principal de la dette extérieure, si elle est libellée en monnaie étrangère, peut rapidement par effet de levier inverse, conduire a la crise économique voire au défaut de remboursement.

Dette publique nette et dette publique brute[modifier | modifier le code] Liste de pays par dette extérieure brute[modifier | modifier le code] Déficits jumeaux. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Déficits jumeaux aux États-Unis. Balance fiscale (noir) et balance courante (rouge). En économie, les déficits jumeaux ou double déficit désignent la situation d'un pays enregistrant en même temps un déficit public et un déficit de sa balance courante, c'est-à-dire une situation dans laquelle les dépenses des administrations publiques excèdent leurs revenus, et où les importations de biens et services sont supérieures aux exportations.

L’expression de déficits jumeaux est utilisée pour caractériser l’économie des États-Unis au début des années 1980, et au cours des années 2000. La relation de causalité entre les déficits extérieur et public à partir du modèle à générations imbriquées a été proposée par Olivier Blanchard en 1985. Les équations comptables à la base des déficits jumeaux[modifier | modifier le code] Soit les équations de la demande intérieure issue de la comptabilité nationale: Demande intérieure : Nous obtenons donc: Soit: On a:

Balance des paiements. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir balance. Par construction, la balance des paiements est toujours équilibrée, aux erreurs et omissions près, car les opérations sont enregistrées selon le principe de la comptabilité en partie double. En effet, aucun échange ne peut avoir lieu sans avoir été financé. Par contre, les soldes intermédiaires (des sous-balances) peuvent être excédentaires ou déficitaires. Ainsi, on dit couramment, par abus de langage, que la balance des paiements est en déficit (ou en excédent) lorsqu'on veut dire en réalité que la balance des transactions courantes (ou parfois la balance commerciale) est déficitaire (importations plus importantes) ou excédentaire (exportations plus importantes).

Réserves de devises et d'or, diminuées de leur dette extérieure totale (publique et privée), d'après les données de 2010 du CIA Factbook. Comptabilité européenne[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Balance courante. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir balance. On parle aussi de balance des opérations courantes, de balance des paiements courants ou encore de solde des opérations courantes. Le compte associé est le compte des opérations courantes ou compte courant. Schéma simplifié de la balance courante (selon la comptabilité française) Traditionnellement, on considère qu'une balance courante positive permet au pays de rembourser sa dette ou de prêter à d'autres pays.

Épargne, investissement et balance courante[modifier | modifier le code] La balance courante ( ) équivaut à peu près à la balance commerciale, c'est-à-dire au solde des échanges internationaux, exportations ( ) moins importations ( , les exportations et les importations étant toutes deux mesurées dans la monnaie nationale et évaluées au prix hors taxe (le prix de la valeur ajoutée). Le PIB ( et L'épargne ( [4]) est la part de la production non consommée. Ce qui équivaut à : On arrive à : . On a L'égalité.