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Enseignement

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De l'ABCD de l'égalité à la Théorie des Genres : De ci, de là, cahin-caha, va chemine, va trottine. De ci, de là, cahin-caha, va chemine, va trottine De l’ABCD de l’égalité à la Théorie des Genres Ce n’est pas Jean-François Coppé avec “Tous à poils” qui m’a donné l’idée d’aller lire les productions ministérielles sur ce sujet mais Gaspard Proust, l’humoriste de Salut les Terriens (Canal+ samedi 8/2/2014 vers 20h vers 2mn45) pour vérifier si tout ce qu’il avait sélectionné pour son sketch était bien réel. Et ça l’est : “Je confirme ce que j’ai vu c’est vraiment de la branlette … mais attention de classe internationale” dit-il ! Et de railler, après avoir donné un aperçu de l’activité “GRS avec Ruban et Ballon” : “Tu feras de la GRS esthétique mon fils et tu donneras des coups de boule ma fille… et ainsi ils affronteront la Mondialisation”.

(On trouvera l’histoire de l’album HECTOR, en page 5 de “Dentelles, Rubans, Velours et Broderies”). Salut les Terriens du 08/02 - Gaspard Proust Jouer aux “ Gendarmes et Voleur Roi clandestin Roi. OPPIDUM, modèle de gouvernance pour les territoires. Comment éviter les pertes d’argent public engendrées par des choix d’équipements inadaptés aux besoins des enseignants, aux configurations des écoles, à l’accompagnement pédagogique que l’Education Nationale est susceptible de délivrer ?

C’est l’une des problématiques pour lesquelles le dispositif OPPIDUM, Observatoire des Pratiques Pédagogiques Innovantes et Des Usages du Multimédia, a été conçu et mis en place par la maire adjointe aux usages numériques de Saint Maur des Fossés (Val de marne), Pascale Luciani-Boyer, par ailleurs en charge des questions Education et Numérique pour l’AMF, et membre du Conseil national du Numérique. par Marie-France Bodiguian, Cabinet AMO-TICE Réfléchir avant d’agir, en impliquant tous les acteurs concernés « Les achats d’équipements restant du ressort des collectivités, il était légitime que celles-ci se posent la question de l’efficience avant de faire les choix d’investissement avec le fruit de l’impôt collecté.

Avis aux lecteurs de cette rubrique : There's A Boom In Teaching People How To Code. Until last February, Janine Holsinger had never typed a single line of code. But the Columbus, Ohio, entrepreneur wasn’t going to let that get in the way of her dreams. She signed up for a service called Treehouse, paid the monthly fee of $25, and devoted 8-10 hours a day to learning Ruby on Rails. “Within a few days, I was building my own Rails application,” she said. “Within 30 days, I’d launched my company website, NextChapter.” Holsinger’s experience shows just how empowering and lucrative learning to code can be. But some startups are learning there’s even more to be made in teaching the skill to others.

Code Breaking Records Within the last two years, more and more companies have saturated the market with the express purpose of teaching everyone and anyone our generation’s hottest new job skill: programming. This April, learn-to-code startup Treehouse announced that it raised a “war chest” of new funding. One of Treehouse’s biggest competitors is the omnipresent Codecademy. "L"étrange déprime" française: l'école en cause, comme en 1940 . En cette rentrée où l’on ploie sous les mauvaises nouvelles économiques, et où fleurissent, comme d’habitude, de nombreuses analyses sur l’école, c’est la relecture d’un livre exceptionnel écrit en 1940 - « L’Etrange défaite » de l’érudit historien Marc Bloch - qui nous retient. Car on comprend bien - même si François Hollande ne nous l’a pas tellement expliqué - que le désespérant état de langueur actuelle de la France ne résulte pas juste de la crise économique de 2008 (dite des « subprimes »).

Notre dette grimpe sans interruption depuis plus de 25 ans, l’effondrement de notre balance commerciale s’aggrave de façon inexorable depuis 10 ans, la perte de compétitivité de notre industrie n’est pas survenue subitement, elle est signalée de longue date par nombre d’études, la décrépitude de nos universités était patente depuis des décennies, et on sait depuis au moins 15 ans que 150 000 jeunes sortent chaque année du système éducatif sans le moindre bagage monnayable, sans y remédier. Présidentielle 2012 : la question Jeunes. Samedi 22 octobre 6 22 /10 /Oct 12:42 La campagne présidentielle 2012 s’amorce.

L’occasion de parler de sujets importants, des réformes structurelles dont la France a besoin. Dans cette perspective, une première lecture incontournable, dont j’ai déjà parlé ici, est l’ouvrage de Landais, Piketty et Saez. La France souffre d’un système fiscal injuste, réformer ce système permettrait d’une part de tendre vers plus de justice sociale et d’autre part de se doter de marges de manœuvre pour financer des dépenses publiques utiles. Un deuxième ouvrage, qui aborde une autre thématique essentielle, vient d’être publié : « la Machine à trier », co-écrit par Cahuc, Carcillo, Galland et Zylberberg. Il pose la question de la jeunesse française, coupée en deux, avec, d’un côté, des jeunes diplômés qui s’en sortent bien et, de l’autre, des jeunes non ou faiblement diplômés, condamnés à vie.

Réformes qui coûteront chers et que la situation des finances publiques pourrait contrarier. La Machine à trier : comment la France divise sa jeunesse. La jeunesse française est coupée en deux ; certains s’en sortent, d’autres non. Cette césure est le résultat d’un système social élitiste, au sein duquel l’école et le marché du travail servent de machines à trier. La conséquence est grave : les plus faibles sont implacablement éliminés, tout en étant pratiquement exclus des aides sociales jusqu’à vingt-cinq ans. Mis à l’écart d’une société “à statuts”, le sentiment d’injustice qui les anime les écarte des urnes et des fondements de la démocratie. L’urgence à agir a été amplifiée par la crise ; c’est pourquoi les économistes Pierre CAHUC, Stéphane CARCILLO et André ZYLBERBERG ainsi que le sociologue Olivier GALLAND* ont écrit cet ouvrage.

Les émeutes urbaines de 2005 l’ont montré, les dangers sont réels pour notre société. Le système scolaire étant organisé pour préparer les jeunes au marché du travail tel qu’il est aujourd’hui, c’est à ce dernier chantier qu’il faut s’attaquer en premier. . * Les auteurs de “La Machine à trier” : Olivier Bouba-Olga : Blog d'un économiste qui suit et commente l'actualité - C’est bientôt les élections régionales. Le débat tourne un peu à l’aigreur pour nombre d’universités. On se souvient des arbitrages du « grand emprunt » qui préfigurent un paysage universitaire restreint à une dizaine d’universités « d’excellence » et sans indications claires sur le devenir des autres.

Elle deviendront certainement des universités de « proximité », tout juste bonnes à faire du premier cycle. Cette orientation est fort discutable tant elle est restrictive. Si elle se réalise, elle aura de très lourdes conséquences sur l’aménagement du territoire. Certes, avoir 80 universités en France n’est pas raisonnable. C’est presque une par département, sans compter les antennes de proximité que l’on a implantées un peu partout dans les villes de petite ou moyenne importance. Les lauréats du « grand emprunt » seront très certainement les lauréats du plan campus.

Réforme Lycée - Rapport Richard Descoings. Spintank. La France doit-elle emmener 50% d’une classe d’âge à la licence. Sur la "masterisation" du recrutement des enseignants | skhole.f. Le projet de réforme du recrutement des enseignants - la "masterisation" - mérite qu'on s'y intéresse de très près, car il est évident que tout ce qui touche à la formation des enseignants eux-mêmes est de la plus haute importance pour l'ensemble du système et des acteurs scolaires.

Et, tout porte à croire que le projet actuel - à moitié suspendu pour l'instant - va bien dans le sens d'une dégradation de la qualité de cette formation. Nathalie Bulle a publié ici-même "La phobie de l'échec scolaire", où elle montre que la "professionnalisation" annoncée cache en réalité une baisse de la durée et du niveau de formation des maîtres, en particulier sur le plan académique. Il faut ajouter que de son côté, la suppression prévue de l'année de stage rémunérée n'apparaît guère en mesure d'améliorer la formation pratique des futurs enseignants...

Au total, ce qui est présenté comme un effort de professionnalisation se revèle en fait une perte nette de formation tant pratique qu'académique.