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Corneille et son théâtre

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Acte I scène 4 : "Ô rage, Ô désespoir" : Youtube. « La pompe d'un courroux ». Éclat et mesure des émotions chez les héroïnes tragiques de Corneille. Notes P. Corneille, Sophonisbe [1663], V, 7, v. 1801, Œuvres complètes, éd. G. Couton, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de La Pléiade », 1980-1987, t. III, p. 446. G. La distinction entre passions et émotions est proposée par Descartes, qui fait de l’émotion un mouvement intérieur de l’âme seule : « Et bien que ces émotions de l’âme soient souvent jointes avec les passions qui leur sont semblables, elles peuvent souvent aussi se rencontrer avec d’autres, et même naître de celles qui leur sont contraires. Voir les travaux d’Hélène Merlin-Kajman : Public et littérature en France au XVIIe siècle, Paris, Les Belles Lettres, 1994 ; L’Absolutisme dans les lettres et la théorie des deux corps.

Trois discours sur le poème dramatique, « Discours de la tragédie », OC, t. J. Trois discours sur le poème dramatique, « Discours de l’utilité et des parties du poème dramatique », OC, t. Médée, I, 1, OC, t. Lettre à René II de Voyer d’Argenson, OC, t. Ibid., p. 1335-1336. Examen de Théodore, OC, t. G. J. Le théâtre de Corneille. Corneille vu par Voltaire : portrait d'un artiste en poète froid. Les didascalies dans le théâtre de Corneille. Notes J’adresse ici mes plus vifs remerciements à Georges Forestier, qui a bien voulu relire ce texte et m’éclairer de ses conseils et de ses remarques.

Voir notre article « Les didascalies dans cinq pièces de Hardy : Didon se sacrifiant, Alphée ou la justice d’Amour, La Force du sang, Lucrèce ou l’adultère punie et Scédase ou l’hospitalité violée », Papers in French Seventeenth Century Literature, vol. XXXII, 60, hiver 2004. Comme tous ses contemporains, Hardy préfère aux didascalies externes les didascalies internes. Voir entre autres S. Chaouche, L’Art du comédien. Encore faudrait-il tenir compte des genres spectaculaires, comme la tragédie à machines et la comédie-ballet, où les didascalies figurent en grand nombre. Voir par exemple J. En outre, l’usage des italiques, qui s’impose dès les années 1630, souligne la spécificité du discours didascalique.

Nous retenons cette expression malgré son caractère anachronique. Selon la définition donnée par T. Voir les analyses de M. Ibid., p. 103. Lexique comparé de la langue de Corneille et de la langue du XVIIe siècle en général. Tome 1 / par M. Frédéric Godefroy, ... CORNEILLE et son théâtre. Pierre Corneille - Au 17ème Siècle. Pierre Corneille naquit à Rouen le 6 juin 1606. Son père, Pierre Corneille, était avocat du Roi à la table de marbre de Normandie et maître particulier des eaux et forêts du Vicomté de Rouen. Sa mère, Marthe Le Pesant de Bois-Guilbert était également de noble famille. Ils eurent sept enfants et Pierre Corneille en était l'aîné, le cadet ayant vingt-trois ans de moins que lui. Dans la famille Corneille, trois devinrent auteurs célèbres, Pierre Corneille, Thomas Corneille, un de ses petits frères qui composa la pièce à grand succès " La Devineresse " et leur neveu, le célèbre Fontenelle, fils de l'une de leurs petites soeurs, Marthe, Madame de Fontenelle.

Pierre Corneille fut élevé chez les Jésuites de Rouen, et devint avocat, non par vocation mais surtout pour ne pas déplaire à son père. Corneille fut secrètement amoureux d'une grande dame de Rouen, appelé Madame du Pont, épouse d'un des maîtres des comptes de la ville. En 1646, il fit publier " Théodore ".

Vie et Oeuvre de Corneille (1606 – 1684) Voici une petite biographie et une petite synthèse de l’œuvre de Pierre Corneille, dramaturge du XVIIe siècle. Plan de l’article : I-La vie de Corneille II-L’œuvre de Corneille III-La Querelle du Cid IV-A propos de la tragédie de CorneilleV-Bibliographie théâtrale I-La vie de Corneille : Pierre Corneille naît le 6 juin 1606 à Rouen. Il est issu d’une famille bourgeoise. II-L’œuvre de Corneille : La carrière théâtrale de Corneille débute en 1629. En 1634, Corneille fait représenter Médée, sa première tragédie. En 1635, Corneille fait représenter une nouvelle comédie, l’Illusion Comique.

En 1637, première représentation du Cid. En 1640, il se remet au théâtre, c’est la représentation d’Horace. En 1641, création de Cinna, tragédie mettant en scène le personnage d’Auguste. En 1644, il livre sa tragédie la plus violente et la plus sombre de toute son œuvre jusqu’alors, Rodogune. Tite et Bérénice voit le jour en 1670 alors que Racine produit sa propre Bérénice. III-La querelle du Cid : J'aime : Pierre Corneille (Œuvres)