La monarchie en France de 1815 à 1848 (CORRECTION) Sujet question problématisée : Dans quelle mesure la monarchie constitutionnelle est-elle acceptée par les Français de 1814 à 1848 ? H1CH2 Activité 3 « construire des hypothèses sur une situation historique » La Liberté guidant le peuple, Eugène Delacroix. Achevé en décembre, le tableau est exposé au Salon de mai 1831.
Il semble né d’un seul élan. Mais il découle des études faites pour les œuvres philhellénistes et d’une recherche nouvelle de détails et d’attitudes.C’est l’assaut final. La foule converge vers le spectateur, dans un nuage de poussière, brandissant des armes. Elle franchit les barricades et éclate dans le camp adverse. "La liberté guidant le peuple" Delacroix - d'Art d'Art. Février et juin 1848. Le 24 février 1848, Louis-Philippe, qui régnait depuis la révolution de juillet 1830, abdique.
Sur la place de la Bastille, Charles Lagrange, membre de la Charbonnerie, futur gouverneur de l’Hôtel de Ville et futur député, s’assied sur le trône royal, amené du Palais-Royal pour être brûlé. Beaucoup d’artistes sont solidaires du peuple qui va imposer la IIe République. ACTIVITE 4 : CHARTES. Trace écrite S2. "La séance est ouverte": La loi de 1825 sur le sacrilège. Nous nous accoutumons à l'actualité telle qu'elle est est en 2015 mais, convenons-en, il y a peu d'années l'objet du débat parlementaire de 1825 que nous allons restituer aurait paru incongru : "faut-il que la loi de l'Etat punisse ses sacrilèges, et comment ?
". Ce débat a paru tel aussi à bien des Français de la Restauration qui considéraient comme acquise l'abolition en 1791 des délits de sorcellerie, d'hérésie, de blasphème et de sacrilège. Dans les années 1816-1820, Louis XVIII regnant avec prudence et son favori Decazes, gouvernent dans un esprit d'ouverture, pareil grand bond en arrière n'aurait d'ailleurs pas paru convenable. "La séance est ouverte" : Une tentative d’abolition de l’esclavage en 1844. Montesquieu dans L’Esprit des lois recommandait pourtant la fin de l’esclavage dès 1744.
Une première abolition avait bien été proclamée par la Convention, mais Napoléon étant revenu à l’état ante, les anti-abolitionnistes avaient pu avoir l’impression qu’on repartait de zéro. Sauf que les Anglais précipitaient dorénavant le mouvement. Ils avaient obtenu des Français au Congrès de Vienne en 1815, la promesse de la fin de la traite d’Afrique. Ils abolissaient eux-mêmes l’esclavage dans la Caraïbe britannique en 1833.