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Gestion des commentaires

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Blog: de l’art du commentaire » Article » OWNI, Digital Journalism. Pour Laurent Bourrelly, les commentaires sont une part essentielle d'un billet. Quelle sont les règles pour s'exprimer et quel bénéfice en tirer des deux côtés ? Entre spam de base pour chasseurs de liens en dofollow et réponse développée sous forme de billet, il existe tout une gamme de commentaires qui méritent de s’attarder sur cette zone dédiée à la discussion sur un blog. Voyons voir quels sont les bénéfices d’une pratique maîtrisée du commentaire – tant au niveau du lecteur que du blogueur. Tout d’abord, je dois faire mon mea culpa car j’ai de gros défauts dans la gestion des commentaires sur ce blog. Principalement, j’ai du mal à entretenir la conversation sur les anciens billets et je réponds parfois sur les récents avec un retard qui dépasse le délai raisonnable.

Je présente toutes mes excuses à ceux qui voient leur message répondu tardivement ou pas du tout. Les bénéfices du commentaire de blog Tous les blogs ont besoin de commentaires. Bénéfices pour le blogueur. Toward a more thoughtful conversation on stories | Analysis & Opinion | Visitors to this space may recall that I wrote this summer about the issues Reuters and other news organizations face in dealing with reader comments on stories. I’ve become increasingly concerned about the quality of discourse in comments on news stories on Reuters.com and on other major news sites.

On some stories, the “conversation” has been little more than partisans slinging invective at each other under the cloak of anonymity. I believe our time-challenged, professional readers want to see a more rewarding conversation—and my colleagues who lead Reuters.com are introducing a new process for comments that I believe will help bring that about. The new process, which gives special status to readers whose comments have passed muster in the past, won’t address the anonymity issue, but I do think it is an important step toward a more civil and thoughtful conversation.

Let me introduce Richard Baum, Reuters Global Editor for Consumer Media, to tell you about the new process: What did you say your name was? | Analysis & Opinion | Let’s see who’s been commenting on Reuters stories and blogs in recent days and weeks. There’s gadfly, WeNotMe, Blisterpearls, northboundgirl, Snowshoes and JacktheBear, among others. I strongly suspect those are not their real names.

I don’t mean to call out these particular commenters, and I’m happy to see our readers taking the time to engage in robust discussion on Reuters.com. But I’m beginning to think our discussion would be even more robust and insightful if those making comments signed their real names. News organizations have grappled with how to handle reader comments practically since the dawn of online media. When I was at MSNBC.com in the 1990s we had message boards that at first were heavily monitored (at a fairly high cost) and then were largely unmonitored.

By 1998, no matter what the purported subject of the board, the discussion would be taken over by frenzied postings on the Clinton-Lewinsky scandal. Isn’t this a good thing? I’ve always thought so. So what? Chime in. Charte des commentaires. A lire avant de commenter ! Quelques dispositions à respecter pour rendre les débats passionnants sur Rue89. Commentez pour enrichir Le but des commentaires est d'instaurer des échanges enrichissants à partir des articles publiés dans Rue89. Les auteurs des articles vous lisent Les auteurs de Rue89 considèrent que leur travail ne s'arrête pas avec la publication de leurs articles et participent, dans la mesure de leur disponibilité, aux discussions qui les prolongent. Ils assurent eux-même la modération des commentaires, parfois avec l'aide de modérateurs issus de la communauté.

Respectez vos interlocuteurs Pour assurer des débats de qualité, un maître-mot : le respect des participants. Inscrivez-vous pour commenter et pour voter Une condition pour pouvoir commenter : être enregistré(e) sur le site. Il n'est pas permis de choisir comme nom d'utilisateur le nom d'une autre personne physique ou morale (entreprise, institution, etc.). Un critère, la pertinence Contenus illicites et prohibés. Le problème des commentaires ne vient pas des commentaires. Le mur John Lennon à Prague, devant l’ambassade de France (Eisenheim/Flickr) J’en viens à penser que le problème avec la qualité des commentaires en ligne est une question de timing.

Quand, dans les médias, nous avons fini notre travail, nous autorisons le public à commenter. Nous envoyons notre produit de l’autre côté du mur et laissons les gens réagir tandis que nous nous retirons dans notre château pour ne pas les entendre. Ils savent alors qu’ils ne parlent qu’aux briques et, du coup, ils crient et les couvrent de graffitis. Nous avons simplement le pouvoir de nettoyer ce désordre mais nous avons déserté la scène et les murs du château se retrouvent rapidement couverts de graffitis.

Ce timing, insultant pour le public, vient de la manière dont les vieux médias voient Internet. Ouvrir la conversation plus tôt dans le processus Nous devons arrêter de regarder Internet comme un média. Internet est un lieu, pas un média La question de l’anonymat n’est pas le problème principal.