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Le problème d'Arnaud Montebourg, c'est sa famille d'accueil. Cher Arnaud Montebourg, Le 9 octobre 2011, j’ai sorti un euro de ma poche pour signer une certaine reconnaissance aux idées anti-mondialistes que vous portiez. Ne vous affolez pas, je ne vous redemanderais pas cette somme, mais il est vrai que cette monétarisation subite de mon affection aux valeurs de la gauche, m’a interpellé, moi qui fut élevé dans une région minière ou ceci n’avait jamais besoin d’être prouvé. J’ai soupesé longtemps les propos sur la démondialisation.

Il y avait la radio. Mais son flux constant éparpille, et je m’en sert plutôt comme harpon pour regarder ailleurs. Il y avait le monde diplomatique. Je me suis donc déplacé pour ce vote. Vous pourriez également me prendre pour un anarchiste individualiste, voire hédoniste. Et j’ai donc voté avec joie pour vous, devant les yeux éberlués de deux préposés qui n’en revenaient pas d'une telle conviction, dans un bureau de vote glacial qui n’empilait depuis le matin que des voix pour Martine Aubry. C’était un peu mon cas. La carte de la désindustrialisation département par département. RCEA | Transfert au Département de la RCEA : Nathalie Kosciusko-Morizet dit oui à l’écotaxe. Notez cet article : le 07/02/2012 à 16:40 Vu 5234 fois Le financement Le Conseil Général de Saône-et-Loire annonce cet après-midi par un communiqué que Mme Nathalie Kosciusko-Morizet, Ministre de l'Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement a "dit oui à l’écotaxe" dans le dossier de la mise à 2x2 voies de la RCEA.

Le le Conseil général précise toutefois qu'il "reste méfiant quant aux faibles garanties que l’État se dit disposé à apporter pour la mise en oeuvre de la mise à 2x2 voies". Le communiqué : "Nathalie Kosciusko-Morizet, dans un courrier en date du 27 janvier 2012, vient de répondre favorablement à la demande du Conseil général de financement de la mise à 2x2 voies de la RCEA par l’écotaxe, qui passerait par un transfert de cette route dans le patrimoine départemental. Arnaud Montebourg à l'IEP de Bordeaux et à SaintAndréDeCubzac - CécileCommarieu - Picasa Albums Web.

GQ Les hommes de l’année 2011: le palmarès. Vidéo : @ux sources (non politiques) d'Audrey Pulvar. Arnaud Montebourg hausse le ton contre les Verts. Montebourg refuse d'appliquer l'accord PS-EELV. "Acte de résistance". C'est le terme qu'emploie Arnaud Montebourg pour qualifier son refus d'appliquer l'accord électoral pour les législatives conclu entre son parti, le PS, et EELV d'Eva Joly. Le troisième homme de la primaire socialiste l'a affirmé à France 3 Bourgogne, ce jeudi. Président du conseil général de Saône-et-Loire, il refuse d'appliquer l'accord dans son département quitte à être "exclu" du PS.

"C'est un acte de résistance par rapport à des accords politiques concoctés sur un coin de table à Paris entre deux appareils politiques. Nous ne sommes pas d'accord et toutes les forces de la fédération sont rassemblées et unifiées autour de cette perspective de résistance", a-t-il déclaré. "Des gros coups de canif dans cet accord" "Ça ne me gênerait pas d'être exclu du PS. D'après l'accord PS/EELV, la deuxième circonscription de Saône-et-Loire, actuellement détenue par l'UMP Jean-Marc Nesme, est réservée à un candidat d'Europe Ecologie-Les Verts.

Avec. Non, Montebourg n'a pas eu un électorat bobo ! La Revue du Projet, n°12, décembre 2011. Une taxe Tobin en France : la position nuancée du PS - Politique. Arnaud Montebourg : 'Le protectionnisme européen est inéluctable', Interviews. SeaFrance : Sarkozy adoube Montebourg. En liquidation judiciaire, la société de ferries SeaFrance a un avenir plus qu’incertain. Son sauvetage peut passer par une société coopérative et participative. Une Scop. C’est le souhait de Nicolas Sarkozy qui s’est impliqué directement dans le dossier. Une manière pour la droite de valider, bien involontairement, une des idées fortes d’Arnaud Montebourg.

L’ancien candidat socialiste à la primaire prône depuis plusieurs mois un capitalisme coopératif. 1Le gouvernement ne voulait pas de Scop, Sarkozy en a décidé autrementSur europe1.fr Pour permettre le sauvetage de SeaFrance, le président de la République a demandé à la SNCF d'apporter son aide au projet de Société coopérative et participative (Scop), alors que jusque-là, le gouvernement s'était montré dubitatif sur cette piste.Nicolas Sarkozy ne veut pas donner l'impression de "lâcher" une entreprise en difficulté à quelques mois de la présidentielle.

"Avec 830 salariés sur le carreau, nous serions jugés responsables. Arnaud : le nettoyeur. Il dénonce des élus socialistes du PS de la fédération du Pas-de-Calais, suspects de corruption d'après les dénonciations de l'ancien maire (socialiste) de Hénin-Baumont, Gérard Dalongeville. Montebourg, comme il l'avait fait dans les Bouches-du-Rhône, faisant ainsi exploser le système Guérini, met en avant le problème éthique. Comme il l'avait fait dans le Languedoc-Roussillon en condamnant les dérives féodales du Frêchisme, dont Robert Navarro est aujourd'hui la survivance désuète utilisée par Hollande, il dénonce. Il prévient Martine Aubry que sa "gestion calamiteuse" à Marseille ne doit pas se reproduire à Liévin, comme le montre le courrier que s'est procuré le Monde (Article du Monde). Comme lors de ses combats pour la rénovation du PS, pour le non-cuml des mandats, pour la limitation d'âge des candidats, pour les Primaires... il va continuer à s'aliéner des caciques du parti, de puissantes "fédé" plus féodales que fédérales.

Chevalier blanc? Peut-être. L'Elysée «verrouille» les postes-clés de l'Etat, accuse le PS. Plusieurs ténors socialistes ont accusé mercredi Nicolas Sarkozy d'avoir engagé «des nominations en série à des postes-clés de l'Etat» y voyant un signe de «fébrilité» de l'Elysée et une volonté de «verrouillage», à l'approche de la présidentielle. «Magistrature, police, préfectorale, les nominations des amis de Nicolas Sarkozy aux postes-clés de la République s'accélèrent», a ainsi estimé dans un communiqué François Rebsamen, chef de file des sénateurs PS et responsable de la sécurité dans l'équipe de François Hollande. «C'est sans doute le signe de sa fébrilité face à l'échéance de mai 2012, mais c'est aussi l'expression de sa conception de la République», ajoute le sénateur-maire de Dijon, critiquant un Nicolas Sarkozy qui «joue au DRH de l'Etat». André Vallini, chargé des questions de justice pour le candidat PS, a mis en cause, dans un communiqué distinct, «le grand verrouillage» de la magistrature «avec la nomination de magistrats réputés proches de la droite à des postes-clés».

Politique : Les lecteurs du "Figaro " jugent Arnaud Montebourg. Politique : Les lecteurs du "Figaro " jugent Arnaud Montebourg 22 déc 2011 - DERIOT Daniel Le quotidien "Le Figaro" a invité ses lecteurs mercredi à répondre à la question suivante : "Arnaud Montebourg est-il un handicap pour la campagne de François Hollande ? " . Les résultats à cette question sont publiées ce jour : Non : 38 % Oui : 62 % . Il y a eu 11 481 Votants, c'est en page une de ce quotidien national de ce jeudi. "La corruption pousse les Français vers le F.N " Le secrétaire national chargé de la Rénovation au sein du PS continue "d'attirer à lui " les médias, notamment suite aux affaires du PS dans le département du Pas de Calais.

Dans cet entretien, M.Montebourg confiait à propos des rapports internes au sein du P.S "Mes amis ont été l'objet de tous les ostracismes. "Contester Angela Merkel, ce n’est pas de la germanophobie" Les Tops et les Flops de com’ de 2011 | Yes They Can. En com’ politique, comme en cinéma ou en musique, il y a des réussites, des surprises et des grosses gamelles. Pour terminer 2011 sur un clin d’oeil, Yes They Can a établi un classement des tops et des flops de l’année au niveau des opérations de com’. Ce hit-parade est totalement subjectif et on est certain qu’il suscitera de nombreux commentaires.

A vous. 1er – Arnaud Montebourg : homme politique de l’année 2011. Il se classe troisième de la Primaire PS. « Démondialisation », « mise sous tutelle » des banques, stand-ups politiques, Arnaud Montebourg est très fort dans la mise en forme de ses idées et dans leur adéquation avec les « envies » de la société. Décliner le concept de « démondialisation » avant l’éclatement de la crise, c’est très bien pensé. 2e – Ségolène Royal et François Hollande : des larmes à la victoire. 3e – Dominique de Villepin : l’événement de la fin d’année. 4e – Jean-Luc Mélenchon : l’imagination au pouvoir. 5e – Marine Le Pen : ascension danger. Condamnation de Jacques Chirac – communiqué. La gauche et la VIe République : entre le mythe et la réalité (1) Il y a dix ans était créée autour du jeune député Arnaud Montebourg, encore peu connu, la Convention pour la VIe République (C6R), reprenant ainsi des idées présentes dans son livre-manifeste La Machine à trahir.

Rapport sur le délabrement de nos institutions (Denoël, 2000), dans le but de faire un peu de bruit dans le landerneau politique et intellectuel de la gauche française. Aujourd'hui, il faut reconnaître que cette structure est cliniquement plus ou moins morte et que les derniers signes de vitalité qu'elle a démontrés remontent à 2008, lors de la révision constitutionnelle, qui, de fait, avalisait une partie de ses thèses, en renforçant – bien plus en théorie qu'en pratique – un parlementarisme, qui n'avait pourtant jamais été autant rationnalisé que sous l'hyper-présidence sarkozyste.

L'origine et les idées qui sous-tendent l'initiative citoyenne de la C6R sont relatées notamment par Paul Alliès – lequel préside la C6R depuis 2009 – dans son bel ouvrage Le grand renoncement. La gauche et la VIe République : entre le mythe et la réalité (2) Durant la campagne des primaires, la VIe République n'a pourtant pas été absente des débats et certaines, telles Ségolène Royal ou Martine Aubry, s'en étaient relativement rapprochées, reprenant en particulier le chantier du non-cumul des mandats. Avant le second tour opposant Martine Aubry à François Hollande, Arnaud Montebourg avait d'ailleurs osé l'expression sans doute trop audacieuse de « VIe République en acte » lorsqu'il adressa aux deux « impétrants » une lettre ouverte exposant de manière transparente ses idées et ses réserves et, de façon cavalière, les appelant à lui répondre sur différents points, et en particulier sur la question des institutions.

Changer de République ou changer la République ? C'est pourtant bien cette vision que Paul Alliès désignait comme étant un « grand renoncement » mais il faut admettre aujourd'hui que les egos, omniprésents au Parti socialiste, ont trouvé des institutions à leur mesure avec celles de la Ve République. Back to 2005 ? « Bertrand Monthubert. Back to 2005 ? La semaine dernière, un « tweetclash » a eu lieu entre Jean Quatremer, journaliste à Libération, et Arnaud Montebourg.

Certains se sont délectés de l’attaque du journaliste, et de sa tactique pour apparaître comme un victime de la réponse de Montebourg. Mais nous ne sommes pas dans une cour de récréation. Et il faut prendre au sérieux ce qui se passe. On pourrait, dans un premier temps, mettre sur le compte du format très réducteur de Twitter l’aspect provocateur, ou insultant selon le point de vue, du premier message de Jean Quatremer.

Revenons au fameux tweet qui a tout déclenché. Arnaud Montebourg, face à cette attaque indigne d’un journaliste sérieux, décida de demander si la position du journaliste de Libération relevait de la ligne éditoriale de ce journal : « Les attaques sectaires de Jean Quatremer contre mes positions deviennent lassantes de malveillance. Contre la mondialisation-mayonnaise de Raphaël Enthoven - DIDR 33 - la gironde avec Arnaud Montebourg. Lundi 12 décembre 1 12 /12 /Déc 16:37 Libération Rebonds, lundi 12 décembre 2011, p. 24 Par David Djaïz Elève à l'Ecole normale supérieure (Ulm) et François-Xavier Petit Professeur agrégé d'histoire La démondialisation s'est installée dans le débat présidentiel et n'en finit plus de susciter commentaires et débats.

Loin de nous l'idée saugrenue d'empêcher le philosophe de se mêler de la chose publique car, comme Althusser, nous pensons que la philosophie se doit d'être «intervention théorique dans la politique, intervention politique dans la théorie». Le 27 novembre, lors du forum de Libération à Lyon, vous avez à nouveau sonné la charge contre la démondialisation, dans des termes très durs. L'on serait en droit d'attendre des arguments pour étayer un propos aussi virulent.

Plus grave encore, la démondialisation serait selon vous une notion «fausse», «parce qu'elle repose sur l'idée qu'on peut remonter le temps. Aristote faisait de l'étonnement l'origine de la philosophie. Vu d'Espagne. Olivier Besancenot : "le virage à gauche" du PS "n'a pas eu lieu" - Flash actualité - Politique - 23/10/2011. Olivier Besancenot, du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), a jugé dimanche que "le virage politique à gauche" du Parti socialiste n'a pas eu lieu à l'occasion de la primaire, avec la désignation de François Hollande comme candidat pour la présidentielle de 2012.

"Autour de ces primaires, je note que le virage politique à gauche qui était attendu par certains n'a pas eu lieu. Je pense à ceux qui ont pu voter, par exemple, pour Arnaud Montebourg", a-t-il déclaré sur Canal+Selon Olivier Besancenot, "la question qui se pose est de savoir s'il y a une autre gauche qui existe et si, oui ou non, on cherche à donner une autre orientation au PS, qui s'inscrit dans une orientation social-libérale". Jean Leonetti, ministre moderne. Remporter une victoire, ce n’est pas seulement gagner une élection. Imposer dans le débat public un concept est assurément une gageure. Exhumer une idée que l’on croyait reléguée au rang de vieille lune et obtenir qu’on en débatte est une belle réussite. Aussi Arnaud Montebourg peut-il se féliciter d’avoir gagné son pari démondialisateur. Si l’on ne sait pas ce que deviendra l’homme, ni quelle sera sa place dans la campagne socialiste, l’avenir du protectionnisme en tant qu’idée est quant à lui assuré.

De cela, on peut être certain lorsqu’on constate que tous, y compris les adversaires politiques de « l’impétrant », se voient contraints de se positionner sur un thème devenu « fashion ». Que Jean-Claude Trichet soit hostile à la démondialisation n’est pas très étonnant. Cette scène n’est ni le fruit d’une élucubration, ni un morceau choisi du dernier roman d’anticipation à la mode.

Encore un petit effort, Monsieur le Ministre. Article en accès libre. Envoyer More Sharing Services. Baromètre Ipsos-Le Point : le clivage gauche-droite reprend le dessus. Il n'y a pas de quoi parler d'"état de grâce", mais François Hollande, désormais investi candidat du Parti socialiste à la présidentielle, assoit toujours plus sa cote de popularité : en grappillant deux petits points au baromètre des personnalités politiques préférées des Français Ipsos-Le Point* au mois d'octobre, le candidat "normal" culmine désormais à 56 % d'opinions favorables (87 % chez les sympathisants socialistes, contre 79 % pour Martine Aubry) et reste en tête de notre classement. Signe que le député de Corrèze est dorénavant considéré comme le principal adversaire du président sortant, il ne perd pas moins de dix points chez les sympathisants UMP. Copé divise Le centriste François Bayrou progresse sensiblement, mais surtout auprès des sympathisants socialistes (+ 5).

Côté UMP, en revanche, il s'effondre de 9 points.