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Anonymat

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Facebook te fiche. Supprimer l’anonymat des blogueurs ? Nan mais dans tes rêves ! 2 minutes avant d'aller me faire couper les tifs, j'apprends via Manhack que Jean Louis Masson, sénateur (UMP je crois ah non, ils l'ont viré du parti...) et Ingénieur en chef des Mines (c'est lui là) venait de déposer au Sénat (le 3 mai), une proposition de loi (et là je cite : ) "tendant à faciliter l'identification des éditeurs de sites de communication en ligne et en particulier des « blogueurs » professionnels et non professionnels" Du coup, tondu de la caboche et de retour, je décide d'en savoir un peu plus sur ce qui se cache sous cette proposition de loi.

Avant toute chose, sachez que ce n'est pas parce qu'une proposition de loi est débile et liberticide qu'elle ne peut pas être votée... On l'a bien vu avec le bourbier de leur Hadopi. Il existe en France, une loi (LCEN - Loi pour la Confiance en l'Economie Numérique) qui permet à chacun de connaitre le nom, l'adresse, le numéro de téléphone de la société ou de la personne qui édite un site PROFESSIONNEL... Ah ?

[Photo] Blogueurs, vos papiers. Le 3 mai, Jean-Louis Masson, sénateur non inscrit de Moselle (UMP jusqu'en 2004), a déposé une proposition de loi tendant à interdire l'anonymat des blogueurs. Il s'agit d'un article unique modifiant la loi sur la confiance dans l'économie numérique de 2004 imposant à toute personne s'exprimant sur Internet les obligations des éditeurs professionnels, à savoir la communication aux lecteurs des nom, prénoms, adresse et numéro de téléphone de l'auteur du blog, alors que le blogueur n'est tenu aujourd'hui que de faire connaître le contact de son hébergeur qui, lui, est censé pouvoir l'identifier et le contacter. Désormais, le blogueur serait assimilé au directeur de la publication d'un journal et responsable au civil comme au pénal de ce qui est publié sur son blog, qu'il en soit ou non l'auteur (en particulier pour les commentaires).

Ce n'est, certes, qu'une proposition de loi, non soutenue par la gouvernement ni par un groupe parlementaire. Un sénateur s'attaque à l'anonymat des blogueurs : Crise dans le. Proposition de loi du sénateur Jean-Louis Masson. P comme Pseudo (société anomyme) - vive les sociétés modernes - Le point de départ de ces remarques, c’est le malaise que j’ai éprouvé en découvrant le nom d’un proche sur un site commercial d’évaluation des professeurs par les élèves, lancé au début de 2008, qui a remporté un certain succès pendant quelques jours, avant de se voir condamné par la justice et la CNIL.(1) L’entreprise a rapidement sombré, mais les raisons du malaise demeurent et méritent réflexion.

Sur le site en question, les noms des professeurs apparaissaient en toutes lettres, avec l’indication de leur adresse professionnelle, offerts ainsi aux internautes, c'est-à-dire au genre humain. Les notateurs en revanche restaient bien entendu anonymes. Cette initiative m’a saisi comme une menace. Mais le rapprochement que je suggère avec la surveillance généralisée dans les sociétés totalitaires n’est-il pas excessif, indécent même ? L’individu se retire de la conversation commune, tout en croyant s'y avancer et y participer plus pleinement grâce à de nouveaux procédés.

Philippe de LARA. Anonymat : ne nous trompons pas de combat. Les débats ont fait rage ce week-end sur l’anonymat des blogueurs. Je vous renvoie juste au Pearltrees de Yann (qui n’est pas anonyme) et à l’appel pour la défense du droit à l’anonymat que je vous invite à commenter pour montrer votre soutien. Je vais néanmoins faire un billet désagréable vis-à-vis des billets que j’ai lus sur le sujet et des commentaires laissés à la pelle à l’appel.

Ce qui ne m’empêche pas d’être un farouche défenseur de ce droit. Tout le monde à le droit à l’anonymat et à ne pas être repéré, dans les blogs, par sa belle mère, son futur employeur, son épouse, son maire ou son patron de bistro. Je remarque néanmoins que les anonymes utilisent des pseudos original ! Il devient alors absolument facile de repérer toutes les interventions de cestarés sur la toile. L’anonymat est presque plus dangereux que la célébrité… Je vais être désagréable, disais-je, car je constate que les défenseurs de l’anonymat le font au nom de la liberté d’expression. Pourquoi renonçons-nous à notre anonymat sur Internet ? - Cédric. La vie secrète de nos pseudos, ou pourquoi je ne veux pas blogue. Génération Pseudo et pas pseudo Génération !… « La Toile de Davi. Les outils du blogueur anonyme et dissident » Article » owni.fr,

Le débat sur l'anonymat des blogueurs nous permet de traduire ce billet de l'Electronic Frontier Fondation, qui rappelle comment préserver un certain anonymat et protéger son activité. Sous la proposition de loi du sénateur Masson transparaît à la fois une méconnaissance de l’Internet, une peur qui en découle et une volonté sous-jacente de contrôle d’un environnement qui échappent aux politiques ne maîtrisent plus depuis longtemps. Quoiqu’il en dise, l’anonymat sur Internet est d’une importance cruciale. Voilà quelques conseils pour bloguer sans être ni découvert, ni retrouvé, ni inquiété.

Les blogs sont un mélange de conversations téléphoniques privées et de journaux. C’est l’outil parfait pour partager votre recette préférée de mousse au chocolat avec vos amis – ou pour soutenir les fondements de la démocratie en informant le public qu’un membre du gouvernement a été corrompu par votre patron. Si vous bloguez, il n’est pas garanti que vous attirerez des milliers de lecteurs. Jean-Louis Masson veut lever l'anonymat des blogueurs. - Faits e. Il est leur nouvelle bête noire . Au point de faire passer Frédéric Lefebvre pour un bisounours !!! Le vibrionnant sénateur (apparenté UMP) de la Moselle s'est trouvé un nouveau cheval de bataille : mettre fin à l'anonymat des blogueurs.

Pour la petite histoire, il a en travers de la gorge une série de billets anti Marie-Jo Zimmermann qui ont, selon lui, abouti à la victoire du socialiste Dominique Gros lors de l'élection municipale de Metz en 2008. Des billets qui auraient été téléguidés (il le dit dans le vidéo ci-dessous) par l'un des 2 député mosellans du secteur. Lequel des Deux ? Bref, pour régler des comptes presque personnels et accessoirement compléter son CV d' empêcheur de tourner en rond au sein de la Droite mosellane (où il reste incontournable, les cantonales et les sénatoriales c'est l'an prochain...), Masson vient donc il y a quelques semaines de déposer sa proposition de loi . Le 1er à avoir levé le lièvre est Authueil sur son blog . Hypothèse sur l’avenir des blogueurs non anonymes.

Des critiques, de la polémique et de l’anonymat, depuis Sumer ju. Sur Internet, on n’envisage pas l’anonymat « Piratage(s) Une autre saillie contre le net. Cette fois-ci contre les blogueurs. L’attaque est portée par J.L. Masson, sénateur mosellan de son état qui souhaite ni plus ni moins, réviser la loi du 21 juin 2004 sur la confiance dans l’économie numérique. Son objectif : mettre un terme à l’anonymat des blogueurs en obligeant ces derniers à se plier aux mêmes contraintes que les éditeurs de sites professionnels. Nom, prénom, numéro de téléphone, toute cette batterie d’infos devra désormais être visible si cette proposition de loi passe… La croisade d’un allumé de première La charge est rude et l’on peut légitimement s’interroger sur les raisons d’une telle croisade. Pour les gens de pouvoir, il s’agit ici de mettre un visage sur une menace potentielle.

On peut donc s’interroger sur les raisons de cette attaque contre une activité non constituée, versatile, et finalement si peu influente ? Presse/Blog analogie inepte Sélection naturelle Le pleutre se camoufle pour commettre ses méfaits. Finalement J.L. Massonnade sur la LCEN. Le sénateur Jean-Louis Masson vient de sortir une proposition de loi qui touche de près les blogueurs. Jean-Louis Masson est un hurluberlu bien connu des assemblées parlementaires. Il est d'ailleurs non inscrit, ayant fondé son propre parti. Bref, personne ne le prend au sérieux, sauf que là, visiblement, sa proposition de loi semble destinée à aller au bout, puisqu'une rapporteure, Marie-Thérèse Bruguière, a été désignée. Cela mérite qu'on y regarde donc de plus près.

Sa proposition de loi vise à aligner le régime applicable aux blogueurs, donc non professionnels, sur celui des professionnels en ce qui concerne l'identification. Il modifie donc la LCEN en supprimant la possibilité pour "les personnes éditant à titre non professionnel un service de communication au public en ligne" de s'abriter derrière l'hébergeur pour préserver leur anonymat. d) Le nom, la dénomination ou la raison sociale et l'adresse et le numéro de téléphone du prestataire mentionné au 2 du I (l'hébergeur).