074 CDS 11 F - INFORMATION ET SECURITE NATIONALE. 1. La révolution numérique en marche pose une série de défis d’ordre politique, culturel, économique et sur le plan de la sécurité nationale. L’évolution des communications, de l’informatique et des systèmes de stockage des informations remet en question des concepts tels que la confidentialité, l’identité, les frontières nationales et les structures de la société. Les profonds changements inhérents à cette révolution modifient également la façon dont nous envisageons la sécurité, souvent sous des formes assez inattendues, et réclament des solutions innovantes.
On dit qu’à cause de cette révolution, le temps nécessaire pour traverser l’atlantique est désormais de 30 millisecondes, contre 30 minutes pour les missiles balistiques intercontinentaux et plusieurs mois en bateau. Par ailleurs, une série d’acteurs entièrement nouveaux surgissent sur la scène internationale, dont des groupes d’"hacktivistes" virtuels. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. On War #325: How the Taliban Take a Village (Lind/Sexton) - LIND. William S. Lind December 7, 2009 EDITOR’S NOTE: The following is a guest column, written by a reserve NCO with Special Forces, Mark Sexton. It is based on his personal observations in Afghanistan.
It represents his analysis only, not any position taken by DOD, the U.S. Army, or any other agency of the U.S. government. In my opinion, it represents exactly the sort of intelligence analysis we need but seldom get. How the Taliban Take a Village A current method used by Taliban in Afghanistan to gain control of an area deemed of strategic interest to the Taliban leadership operating from safe havens in Pakistan or within Afghanistan is to identify and target villages to subvert. For a non-Afghan or foreigner to understand how the Taliban can subvert a village, we can use a simple social structure model to identify the key nodes of influence within a typical Afghan village. The Taliban look for villages and areas which they can operate within and use as a base against US and Afghan forces. Droits d’auteur Bienvenue chez les Shadocks - Que Choisir en ligne. Perception de droits sur la diffusion des œuvres à la radio ou à la télévision, taxe sur la copie privée prélevée sur les ventes de CD ou de disques durs, mise à contribution des chaînes de télévision et des fournisseurs d’accès à Internet, perception de droits sur les spectacles vivants (qu’il s’agisse de superproduction ou de kermesse de village), perception sur les sites de musique en ligne, etc. : les prélèvements de droits d’auteur au sens large prennent aujourd’hui de multiples formes.
Visant à rémunérer la création, ils sont supportés par le consommateur, généralement sans que ce dernier prenne conscience des sommes en jeu. Elles sont loin d’être anecdotiques. En 2008, les différentes sociétés de perception et de répartition des droits (SPRD) ont collecté 1,26 milliard d’euros. Contrairement à ce qui a souvent été dit pour justifier la lutte contre le téléchargement illégal de musique et de films, ces montants sont en augmentation rapide. . « Les limites de la complexité » 1. L’histoire étonnante et instructive de la page Facebook « Armée de l’Air » Sur Facebook, il est parfois difficile de faire la différence entre des pages officielles et des pages qui ne le sont pas. Cela vaut pour toutes les institutions, y compris pour les armées. La réaction des institutions militaires à l’égard de ces « fausses » pages officielles varie selon les pays.
Aux Etats-Unis, les armées disposent d’un contact direct chez Facebook en la personne d’Adam Conner, auteur du document intitulé Facebook and Government 101. Si les armées constatent qu’une « fausse » page officielle existe, elles envoient un message à Facebook qui se charge non seulement de supprimer la page en question mais, de surcroît, de transférer les fans vers la page officielle. Les armées britanniques fonctionnent peu ou prou de la même manière avec le bureau de Facebook à Londres. En revanche, Facebook ne dispose pas de bureaux en Allemagne ni en France. L’Armée de l’Air française a adopté une approche différente.