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Fichier_cache. Les éléments cachés sont des éléments qui ne sont pas visibles par défaut lorsque l'utilisateur affiche le contenu d'un dossier. Cette possibilité de dissimuler des éléments permet de protéger des fichiers de manipulations involontaires et d'alléger l'affichage des dossiers dans lesquels ils sont stockés. Les éléments cachés se reconnaissent au point précédant leur nom. Un fichier nommé ".test" sera donc reconnu par le système comme un fichier caché alors qu'un fichier nommé "test" ne le sera pas.

La plupart des gestionnaires de fichiers comportent une case-à-cocher située dans le menu «Affichage». Cette case est souvent nommée "Afficher les fichiers cachés". Par exemple, dans Thunar, déroulez le menu Vue et cochez la case "Montrer les fichiers cachés". Dans le menu «Ouvrir…» ou «Enregistrer sous…» de certaines applications, les deux méthodes précédentes ne fonctionnent pas, il peut pourtant être utile d'enregistrer un fichier dans un dossier caché. Ls ls -a man ls Masquer ou afficher #! Permissions. Voir aussi droits. Les systèmes d'exploitation inspirés d'Unix (dont Linux fait partie) possèdent la capacité de définir de façon poussée la gestion de droits d'accès aux divers fichiers de votre OS. Les droits d'accès paramétrés sur les fichiers et répertoires ne sont pas immuables : ils peuvent être changés, afin d'accommoder des nouveaux besoins apparaissant au fil du temps d'utilisation de votre système Ubuntu.

Le présent article explique les différentes manipulations pouvant être appliquées sur des fichiers et répertoires afin d'en changer les propriétaires et les permissions. Les droits d'accès définissent la possession d'un fichier ou d'un répertoire à un utilisateur et à un groupe d'utilisateurs. Ils gèrent aussi quelles actions les utilisateurs ont le droit d'effectuer sur les fichiers (lecture, écriture et exécution), selon qu'ils sont propriétaire du fichier, membre du groupe propriétaire du fichier ou ni l'un ni l'autre. Graphiquement En ligne de commande ls -l drwxr-xr-x etc. Xfce. Introduction Atouts Légèreté. Moins lourd que GNOME (même beaucoup moins) et KDE (but premier), il peut être installé sur des configurations vieillissantes ; Prise en charge des applications GNOME ou KDE ; Tableau de bord avec applets similaires à ceux de GNOME ; Possibilité de configurer des raccourcis clavier pour le lancement de vos commandes préférées (vous pouvez vous configurer ctrl+alt+f pour lancer Firefox par exemple) ; Interface de configuration claire où l'on trouve presque tous les outils de gestion pour gérer son interface et son bureau sans rien oublier et facilement ; Raccourcis claviers pré-enregistrés : molette sur une barre de titre pour l'enrouler ou la dérouler, Alt + Inser / Suppr pour ajouter ou enlever des bureaux et ne pas en avoir plus que nécessaire, Ctrl + Alt + Echap pour XKill, etc. ; Gestionnaire de session capable de mémoriser les applications à la fermeture d'une session pour les relancer à la prochaine connexion.

Peu de ressources demandées Installation. Gestionnaire_de_fenetres. Un gestionnaire de fenêtres (Window Manager) est un programme qui se charge d'organiser l'agencement des fenêtres sur votre écran. Les tâches du gestionnaire de fenêtres sont : créer un cadre autour des programmes contenant un titre et une bordure ; c'est ce que l'on appelle une fenêtre ; gérer la position de ces fenêtres sur votre écran, de même que d'en gérer la taille et l'ordre d'affichage (la superposition des fenêtres) ; gérer les apparences et effets graphiques qui se rattachent aux fenêtres (miniaturisation, ombrages, transparence, icônification, etc.). Gestionnaires de fenêtres et environnements Un gestionnaire de fenêtres n'est pas à proprement parler un environnement de bureau. L'environnement de bureau est une collection, une sélection de plusieurs logiciels qui, ensemble, donnent une expérience unique à l'utilisateur.

De son côté, le gestionnaire de fenêtres ne fait que gérer les fenêtres. Quelques gestionnaires de fenêtres Kwin Xfwm4 Compiz-Fusion Fluxbox Enlightenment Openbox Fvwm. GNU. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. GNU est un système d'exploitation libre lancé en 1983 par Richard Stallman, puis maintenu par le projet GNU. Son nom est un acronyme récursif qui signifie en anglais « GNU’s Not UNIX » (littéralement, « GNU n’est pas UNIX »). Il reprend les concepts et le fonctionnement d’UNIX[1]. Le système GNU permet l’utilisation de tous les logiciels libres, pas seulement ceux réalisés dans le cadre du projet GNU.

Historique[modifier | modifier le code] Le projet GNU initie alors en 1990 le projet de production d'un noyau nommé Hurd. Hurd ne dépassera jamais réellement le stade de curiosité de laboratoire de recherche, en revanche, le travail réalisé a permis de finaliser une variante du système GNU basée sur le noyau Linux[8]. L’esprit hacker et le projet GNU[modifier | modifier le code] Logo GNU. La philosophie du logiciel libre et la FSF[modifier | modifier le code] Stallman introduit alors la notion de copyleft, et formalise ainsi celle de logiciel libre. Systeme_de_fichiers. Les systèmes de fichiers, il en existe de multiples, gèrent l'organisation des informations mémorisées sur les périphériques de l'ordinateur. Chacun offre des avantages pour certains types d'utilisation… et des désavantages pour d'autres. Connaître leurs principales caractéristiques est nécessaire pour la bonne utilisation d'un équipement.

Qu'est-ce qu'un système de fichiers ? Dans le cœur d'un ordinateur, tout est constitué de 1 et de 0, mais l'organisation de ces données n'est pas aussi simple. Un disque dur (hard drive ou hard disk) stocke toutes vos données : à chaque fois que vous enregistrez un fichier, vous écrivez des milliers de 1 et de 0 sur un disque métallique, le piquant littéralement et créant une indentation qui pourra plus tard être relue en tant que 1 ou 0 par votre ordinateur. Il y a tellement de données sur un disque dur qu'il doit obligatoirement y avoir un moyen de les organiser.

Les qualifications d'un système de fichiers La taille maximale d'un fichier df -h. Structure du MBR et des tables des partitions sur le disque dur. Retour au sommaire MBR et tables des partitions Le MBR est le premier secteur physique d’un disque dur. Comme tous les secteurs, le MBR a une taille de 512 octets. La position absolue du MBR dépend de la méthode d’accès que l’on utilise : en CHS (Cylindres/Têtes/Secteur, anciens mode d’accès aux disques durs), le MBR est le secteur n°1 de la tête n°0 et sur le cylindre n°0 en LBA (accès linéaire à tous les secteurs du disque dur, en partant de zéro), le MBR est le secteur n°0 (premier secteur physique) Dans tout ce qui suit, je n’utiliserai que le mode LBA pour accéder et pour désigner les secteurs du disque dur : je ne parlerai pas de cylindres ni de têtes (ou de pistes).

En LBA, chaque secteur possède un numéro absolu, le premier secteur du disque (le MBR) étant le secteur numéro zéro. Le MBR contient principalement 2 éléments, vitaux pour le démarrage du PC : le programme de boot que le BIOS lancera après le test du matériel la table des partitions principales Structure du MBR : où : Ubuntu: installation 32 bits ou 64 bits? (Page 1) / Questions et informations avant l'installation. IntroductionLe débutant se pose souvent la question: dois-je installer une version 32bits ou une version 64bits? Ce topic a pour vocation de répondre aux questions les plus souvent posées à ce sujet. Quelques premières précisions de langageLorsque l'on parle de systèmes 32 et 64 bits, cela recouvre 2 réalités:- La partie hardware, c'est à dire le processeur. Il existe des processeurs 32 bits, et d'autres 64 bits.- La partie software, c'est à dire le système d'exploitation et les logiciels utilisés.

Concrêtement, qu'est ce que c'est que cette histoire de 32bits et de 64bits? 64 = 2x32. Prenons l'analogie suivante:Supposons que je doive effectuer en voiture un trajet entre la ville A et la ville B. Etudions les 2 scénarios suivants:Cas 1: je fais le trajet un jour où il y a peu de circulation.Dans ce cas, la circulation est fluide sur les 2 autoroutes. Cas 2: je fais le trajet un jour de grand départ en vacances.Ce jour là, il y a énormément de trafic. Raccourcis_clavier. Voici les raccourcis claviers originaux les plus couramment utilisés, les plus pratiques, dans différentes interfaces graphiques. Vocabulaire Backspace : c'est la grande touche flèche qui va vers la gauche et qui sert à effacer dans un traitement de texte, par exemple.

On la représente par « ⇐ », « ⌫ » comme ici ou bien par « Ret.Arr. » (pour « Retour arrière »). Super ou "Meta" ou "Logo" : sur la plupart des claviers représentée par le logo Windows et appelée couramment "touche Windows", et sur quelques claviers linuxiens par un manchot ou un logo Ubuntu, c'est la touche qui se trouve entre les touches "Ctrl" et "Alt" (Ou entre les touches "fn" et "alt" sur certains claviers d'ordinateur portables) Syst (aussi nommée « SysRq » sur certains claviers) est en fait celle de l'impression d'écran : « Impr. écran », « Print screen » ou autre.

Elle est généralement située en haut à droite du clavier. Les deux touches Super (à gauche et à droite du clavier) sont distinctes sous Linux (source ici) Les raccourcis clavier utiles. [Tuto] - Mon optimisation / finalisation Xubuntu (et autres variantes) (Page 1) / XFCE. Me souvenant que j'ai débuté et ramé, je détaille ! Avant de commencer, si vous débutez, je conseille toujours les versions LTS - plus stables et surtout vous fichant la paix pour quelques années plutôt que quelques mois : * c'est quoi une LTS ? - Si vous n'avez pas encore fait votre choix; voici les versions que je suggère. suivant la Ram disponible. Maintenant, commençons. Les trucs indispensables sont... partout dans le post ! Ça peut paraître fastidieux, mais ensuite votre vie sera bien simple -> lisez tout ce post ! L'application complète du post vous prendra une vingtaine de minutes. Pour faire tout ça simplement et rapidement on utilise le terminal (ou console).Pour les débutants, ne vous inquiétez pas, moi aussi j'ai eu les chocottes en voyant ce truc, mais c'est super facile.Évitez juste les interprétations : remplacer une commande ou un nom de logiciel par un autre donnera... un autre résultat que celui que nous attendons Rincevent --> sudo apt-get update sudo apt-get dist-upgrade.

Tutoriel Installation d’un environnement LAMP (Apache, PHP, Mysql) | Journal d'un Admin Linux. Article publiée le 4 Octobre 2013 Mise à jour le 5 Octobre 2013 En parcourant une fois de plus les forums je me suis aperçus que beaucoup d’admins débutants avaient des difficultés pour installer un environnement LAMP (Apache, PHP, Mysql). Ci-dessous un tutoriel complet sur l’installation d’un environnement LAMP avec quelques astuces en plus!

Ce tutoriel est adapté aussi bien pour les utilisateurs de Centos/RedHat que pour les utilisateurs de Debian/Ubuntu Server 1) Installation Apache Sous Debian: apt-get install apache2 Sous Redhat/Centos: yum install httpd service httpd start Attention sous RedHat/Centos, n’oubliez pas de désactiver le firewall ou de le paramétrer en conséquence. Vérifiez que les services apaches fonctionnement correctement en vous connectant via votre navigateur ) à l’ip ou le dns de votre machine. Cette page devrait être affichée (pour les utilisateurs de Debian): Pour les utilisateurs de Centos/RedHat: 2) Installation de PHP Sous Debian apt-get install php5 php5-mysql On vérifie: