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Economie énergie

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Une coalition d'associations interpelle Québec sur l’industrie forestière. Coupe forestière (archives) Photo : Marie-Hélène Lange/Radio-Canada L'industrie forestière québécoise est à la croisée des chemins, estime une coalition d'associations, qui exhorte le gouvernement Couillard à intervenir rapidement pour préserver plus de 59 000 emplois directs.

La coalition a effectué une sortie mercredi en citant deux études réalisées par la firme WoodMarkets ainsi que le Groupe DDM, dressant un « portrait sombre » du secteur forestier québécois. « Près de 20 000 emplois se sont envolés depuis une dizaine d'années. Malgré tout, c'est encore le deuxième secteur manufacturier en importance au Québec », a indiqué le président-directeur général du Conseil de l'industrie forestière du Québec (CIFQ), André Tremblay, au cours d'un entretien téléphonique depuis Québec. En plus du Conseil, la coalition regroupe la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ), l'Union des municipalités du Québec (UMQ) et la Fédération québécoise des municipalités (FQM). M. Yannick Jadot : «L’Europe garde le leadership dans les négociations, mais a perdu son ambition» Quel est le rôle de l’Union européenne dans le cadre de la Conférence sur le climat de Paris ?

L’Union européenne négocie pour le compte des 28 États qui la composent. Historiquement, elle a toujours eu un rôle extrêmement important, celui de leader face aux États-Unis et à la Chine qui, eux, n’ont pas d’intérêt à tirer la négociation vers le haut. Le fait qu’elle assume ce leadership n’est pas en soi une garantie de succès des négociations, mais n’en demeure pas moins une condition sine qua non.

Car l’Europe est la seule, avec les pays du Sud, à se battre, par exemple, pour que la COP aboutisse à un accord le plus contraignant possible. Certes, on sait aujourd’hui qu’on n’obtiendra pas à Paris de mécanisme de sanctions pour les pays qui ne respecteraient pas leurs engagements. C’est un recul. L’Union européenne est-elle tout aussi exemplaire sur le plan de ses propres engagements ? Elle l’a été. L’Europe ne fait pas assez pour arrêter les subventions aux énergies fossiles et nucléaire.

Économie d'électricité. 83% des Bretons se déclarent concernés. / Julien Boitel / RTE et ses partenaires ont lancé ce mardi la 8ème campagne d’ÉcoWatt Bretagne. Cette opération de réduction des consommations électriques en période de pointe compte aujourd’hui 56 150 ÉcoW’acteurs. Les résultats d’un sondage montre la forte adhésion des Bretons à la démarche. 83% se déclarent concernés par les économies d’électricité lors des pointes de consommation. La Bretagne ne produit qu'environ 13% de l’électricité qu’elle consomme. Ainsi, en période hivernale, aux heures de pointe de consommation, le réseau électrique de la région peut se retrouver à la limite de la saturation, avec un risque de coupure électrique sur tout le territoire breton, notamment en cas d’incident sur le réseau ou sur un site de production.

La démarche ÉcoWatt Bretagne incite ainsi les Bretons à modérer leur consommation d’électricité, notamment lors des pointes de consommation. Une démarche utile Changement des comportements Le top 5 des Éco’Gestes pour les Bretons, selon le sondage 1. Réduire la consommation d’énergie : écologique et/ou économique ? Réduire la consommation d'énergie liée à notre habitation, c'est penser aussi bien aux matériaux qu'à l'utilisation quotidienne de la maison et au transport. Et généralement, quand on dit « bâtiment durable », on pense directement « plus cher », mais ce n'est souvent pas le cas sur le long terme.Dans quelles proportions les mesures de réduction d'énergie sont-elles efficaces ? Quels sont leurs coûts et avantages financiers ?

Et par où faut-il commencer ? Le tableau (ci-dessous) reprend les mesures les plus efficaces et rentables (les chiffres avancés sont par ménage et étalés sur une durée de 50 ans, les montants sont en dollars américains d'aujourd'hui, sans compter l'inflation qui peut survenir en cinquante ans). Un résultat significatifAu niveau du transport (responsable de 49 % de l'utilisation d'énergie sur cinquante ans), les mesures analysées comprennent trois éléments :1. Un rôle pour chacunMais comment réduire effectivement la consommation d'énergie dans les bâtiments ? Noyon : un eurodéputé félicite la pépinière écoindustrielle.