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Biotipe

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Slime. Rapport version du 11. Protocole expériences. Protocole culture. Physarum culture. Mic 25 1 47. Jbacter00395 0084. Jbacter00393 0461. Bn 7 page25 38 myxomycetes 1403163091. BIO. A Simple Method of Growing the Plasmodial Slime Mold. World Of Fungus Documentary - Molds And Fungus - World Documentary HD. DURAND 13. Le blob, une intelligence sans cervelle? Fiction ou réalité: Audrey Dussutour at TEDxToulouse. Comment faire croître des bactéries dans une boîte de Petri. Étapes Partie 1 Préparer les boîtes de Petri <img alt="Image intitulée Grow Bacteria in a Petri Dish Step 1" src=" width="728" height="514" class="whcdn" onload="WH.performance.clearMarks('image1_rendered'); WH.performance.mark('image1_rendered');">1Préparez l’agar-agar.

Comment faire croître des bactéries dans une boîte de Petri

Il s’agit d’une substance gélatineuse utilisée pour cultiver des bactéries. Elle est fabriquée à partir d’une sorte d’algue rouge qui fournit une surface de croissance idéale pour de nombreuses variétés de bactéries. <img alt="Image intitulée Grow Bacteria in a Petri Dish Step 3" src=" width="728" height="514" class="whcdn">3Refroidissez la boîte de Petri jusqu’à ce qu’elle soit prête à l’emploi. Partie 2. Protocole experimental K06 gel agarose. PLASMODE. Masse de protoplasme visqueux, appartenant à des organismes singuliers, qui se rattachent, les uns aux bactéries (myxobactéries), les autres aux champignons (myxomycètes).

PLASMODE

Les plasmodes de myxobactéries se rencontrent sur des milieux organiques humides (débris végétaux, sol moussu, etc.), sous l'aspect de masse gluante immobile, dotée d'une forme définie (vésicules, parfois attachées sur des pédicelles), contenant des inclusions non digérées et des bâtonnets ressemblant à des bactéries. Ils forment des spores. Les plasmodes de myxomycètes se trouvent sur les sols de forêts humides, sous l'apparence de masses de protoplasme nu, mobiles grâce à des pseudopodes, et pouvant recouvrir des zones de quelques centimètres à deux ou trois décimètres de diamètre. On dirait une amibe géante, et l'affinité de ces plasmodes avec les protozoaires ou avec les champignons peut encore être discutée.

Les plasmodes de myxomycètes ont servi de matériel d'étude pour les mouvements propres du cytoplasme. Le métro de Tokyo et les routes des États-Unis modélisés par un micro-organisme. Si, comme moi, vous avez l'insigne honneur d'habiter en banlieue parisienne, vous avez sans doute un jour été confronté à l’aberration du réseau des transports publiques.

Le métro de Tokyo et les routes des États-Unis modélisés par un micro-organisme

Entre Paris et la banlieue, le réseau est plutôt performant, mais lorsque l'on voyage de banlieue à banlieue, on se retrouve souvent à faire des trajets complètements loufoques. A la moindre panne, c'est à dire tous les trois jours, c'est une pagaille apocalyptique. Certes, nous ne pouvions pas, à l'époque où les premiers tronçons ont été construits, prévoir l'évolution des besoins ni réaliser de jolies simulations sur ordinateur. Mais peut-être aurions nous pu demander de l'aide à la créature la plus improbable qui soit : une moisissure gluante et visqueuse, Physarum polycephalum.

Physarum et le réseau du métro de Tokyo Comment optimiser un réseau de transport et de distribution ? Un champignon capable d'apprendre sans neurones. Un champignon est-il capable d’apprendre ?

Un champignon capable d'apprendre sans neurones

De retenir une leçon et d’en tirer des conclusions ? De ne pas refaire la même erreur ou de changer son comportement pour s’adapter à une situation ? Indice : il n’a pas de cerveau ni même de système nerveux. Et pourtant, la réponse aux questions est oui… Le Physarum polycephalum, une sorte de champignon – un protiste – jaune citron qui vit dans les sous-bois, large de plusieurs centimètres et pourtant composé d’une unique cellule avec des milliers de noyaux, fait preuve d’étonnantes capacités sous l’œil des chercheurs.

L’étude a été publiée ce mercredi par la Royal Society : une équipe du Centre de recherches sur la cognition animale, à l’université Toulouse III, s’est amusée à proposer une course d’obstacles à notre champignon jaune. Au début réticent à passer sur la quinine, Physarum polycephalum apprend par habituation à ignorer la substance. Culture de Physarum polycephalum en laboratoire (à gauche). Camille Gévaudan.