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Ukiyo-e

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Votre recherche - : 592 résultats - Gallica. Japanese Art, Asian Art and Japanese Prints. Japanese Art, Ohara Koson and Japanese Prints. L'estampe japonaise. « Vivre uniquement le moment présent, se livrer tout entier à la contemplation de la lune, de la neige, de la fleur de cerisier et de la feuille d’érable […], ne pas se laisser abattre par la pauvreté et ne pas la laisser transparaître sur son visage, mais dériver comme une calebasse sur la rivière, c’est ce qui s’appelle ukiyo. » Le Japon à l’époque d’Edo (1603-1868) L’époque d’Edo correspond au gouvernement des Tokugawa, qui siégea pendant plus de deux siècles et demi.

L'estampe japonaise

Après d’interminables guerres civiles entretenues par des clans rivaux, et des soulèvements politiques, à la fin du XVIe et au début du XVIIe siècle, Ieyasu Tokugawa reçut, en 1603, le titre de shogun (généralissime), de l’empereur, qui résidait à Kyôto, capitale administrative du pays jusqu’en 1868. Il instaura un gouvernement militaire (bakufu), siégeant à Edo, et exerça son pouvoir sur 270 daimyô, seigneurs de domaines provinciaux. Une discipline sévère fut imposée. Une effervescence urbaine Des quartiers réservés. A la rencontre d’Hokusai, des mangas, et de l’art des estampes. - Le fils et le père, tentent chacun de leur côté, de rejoindre le Mont Fuji, le seul qui pourra les aider et les réunir.

A la rencontre d’Hokusai, des mangas, et de l’art des estampes. -

Mais la route est longue, parsemée de doutes et d’embûches, mais heureusement, certaines gens ou la beauté de la nature renaissante les encouragent. Les deux dernières pages de l’album nous apportent quelques informations sur l’artiste, le Japon, ses croyances, ses arts… Cet album est d’autant plus émouvant qu’il est issu d’une histoire vraie, comme cela est révélé. Durant la période Edo (environ 1600 à 1853), le Japon vivait replié sur lui-même, personne ou presque, n’entrait ou ne sortait du pays, sous peine de mort.

Depuis toujours, les côtes nippones sont frappées par des tsunamis. Le vieux fou de dessin. François Place aux éditions Folio Junior Collection Drôle d’aventure Résumé : Le jeune Tojiro est un petit vendeur ambulant qui distribue ses gâteaux de riz dans les rues d’Edo.

Le vieux fou de dessin

Parmi ses clients il compte un vieux peintre qui lui achète toujours quelques gâteau. Tout au long de ce court roman pour enfant on découvre les secrets de la fabrication des estampes : on visite l’atelier du graveur, on découvre des anecdotes sur la vie et l’oeuvre du grand maître… et la vie dans les rue d’Edo à la fin du 19° siècle. Mon avis : Le langage est très simple, le roman s’adresse aux enfants à partir de 9 ans. Conseil dispensé par le vieux peintre à son disciple : Apprends à regarder en silence, si tu ne veux pas que le bruit chasse devant tes yeux la beauté des choses fragiles… Un bon conseil pour les petit et les grand !

Le livre à été réédite en 1999. Un pont ~ album jeunesse. Dans la même collection et par les mêmes auteurs de Une balle, une pomme, Un pont trace un chemin entre la peinture de Monet et les estampes de Hokusai (parmi lesquelles s’est glissé une estampe de Hiroshige, je ne comprends pas bien pourquoi).

Un pont ~ album jeunesse

On retrouve le même principe que dans l’album précédent : à chaque double page, une peinture/estampe originale reprise par les dessins de Eric Battut à partir de laquelle l’histoire prend forme. Le texte est plus poétique que celui de une pomme, une balle. Alors que le précédent album faisait réfléchir à la condition sociale des personnages tout droit sortis des peinture de la fin du XIX, ici on nous invite à la contemplation. Contemplation des paysages, des instants qui s’envolent… Ma barbe est blanche et mes sourcils aussi.J’ai gardé mon chapeau, mes pinceaux,mes couleurs et mes souvenirs.Il y a longtemps j’était voleur.Je volais les lumières du temps.As-tu vu la lumière dans l’océan ?

Sous la grande vague d'Hokusai avec un regard d'enfant. Aujourd’hui je vous propose une sélection d’album jeunesse autour du grand maître de l’estampe japonaise : Hokusai.

Sous la grande vague d'Hokusai avec un regard d'enfant

Comment parler Hokusai sans passer par sa très fameuse Grande Vague ? Un pari que n’auront pas relevé les deux albums que je viens de découvrir . Hokusai et le cadeau de la mer Beatrice Alemagna (texte) – Olivier Charpentier (illustrations) éditions de la Réunion des musées nationaux – Grand Palais trouvez le ICI Dans ce livre on voit Hokusai assis sur une plage, il observe la mer, il attend. Ce bleu, c’est le bleu de Prusse, qu’il fut le premier à utiliser en Extrême-Orient. ça on l’apprends dans la petite page explicative que l’on retrouve à la fin du livre avec un brève bio de Hokusai, quelques info sur la fameuse grande vague et la reproduction de l’estampe. Le texte, composé de phrases très courtes voire de simple mot, est accompagné de très jolies illustration imitant le style des estampes japonaises.