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Roaarrr challenge sur Ma petite Médiathèque

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Mauvais genre - Ma petite Médiathèque. Couleur de peau : miel. Je préparais un article sur le manhwa (Et le Manhwa, alors ?)

Couleur de peau : miel

Quand, flânant dans les rayons BD jeunesse de notre médiathèque municipale, je suis tombée sur couleur de peau : miel de Jung. Jung, ça sonne coréen, alors j’ai cru tomber sur un manhwa. Je n’avais pas totalement tord, Jung c’est bien un nom coréen. Mais il ne s’agit pas du tout d’un manhwa, c’est une BD belge !! Et oui, Jung est un enfant coréen, adopté par une famille belge. Résumé : Le petit Jung fouille les poubelles pour trouver de quoi manger, quand un policier le trouve et l’accompagne dans un orphelinat. Jung envisage d’écrire un troisième et dernier tome après son retour en Corée. Ces 2 premiers tomes ont été adapté pour le cinéma. Mon avis : Mon regard à été attiré vers cette bande-dessiné, tout d’abord par le nom de l’auteur, puisque, comme je l’ai dit, je travaillais sur le manhwa.

Le visiteur du sud : un manhwa peu ordinaire. Le visiteur du sud – Le journal de Monsieur Oh en Corée du Nord de Oh Yeong Jin publié par les Éditions Flblb, n’est pas un manhwa comme les autres.

Le visiteur du sud : un manhwa peu ordinaire

Oh Yeong Jin est technicien du bâtiment d’une entreprise sud coréenne. Un jour son entreprise l’envoie superviser un chantier en Corée du Nord dans le cadre d’un accord de coopération entre les deux gouvernements coréens. Mais Oh Yeong Jin est aussi auteur de bande-dessinée ! A son retour en Corée du Sud, il met en image ses souvenirs du chantier. Cela donne un manhwa au style très caricatural, mettant en scène monsieur Oh en Corée du Nord.

Le dessins est très stylisé. Mon avis : Je ne peux pas dire que j’ai adoré cet oeuvre, ou que je soit fan du travail de Oh Yeong jin, mais cela tient plus de mes goûts personnels que de la qualité de l’oeuvre. L’envolée sauvage. L’envolée sauvage, BD publié par Bamboo éditions, collection Grand Angle en 2006 (T1) et 2007 (T2) Scénario : Laurent Galandon Dessin et couleurs : Arno Monin Résumé : Simon est orphelin et juifs.

L’envolée sauvage

Passionné par les oiseaux, il vit avec d’autres enfants chez un prêtre dans la campagne française. Le journal de mon père. Ce manga était sur mon étagère depuis des mois.

Le journal de mon père

Presque un an. Pourtant, je ne sais pas pourquoi, je ne me décidais pas à l’ouvrir. Comme si j’attendais le bon moment. Mais, quand est-ce le bon moment ? A force d’attendre, j’en avais presque oublié son existence. C’est il ya quelques jours, à la suite d’une conversation sur la page Facebook de Ma petite Médiathèque à propos de Taniguchi, que l’envie m’est venue de lire Le journal de mon père, enfin ! Une fois la lecture commencé, je ne l’ai pas regretté. 父の暦, (Chichi no koyomi) Jirô Taniguchi (谷口 ジロー) Shogakukan (1995) Casterman (2007) L’histoire : Yoichi apprend la mort de son père et doit se rendre dans sa ville natale pour la veillé funèbre et les obsèques. Ce que j’en ai pensé : Pour ce qui est de la forme, je possède une superbe version cartonné. Le pays de cerisiers ~ Fumiyo Kouno. 1955Dix ans se sont écoulés depuis le jour où l’éclair incandescent a fendu le ciel.

Le pays de cerisiers ~ Fumiyo Kouno

Dans la ville d’Hiroshima, l’espit d’une jeune femme est intensément bouleversé. Pour les plus faibles, qu’ont représenté la guerre et la bombe ? L’oeuvre polémique d’un auteur engagé ! C’est ainsi que l’éditeur présente ce manga de Fumiyo Kouno qui revient sur l’impacte que la bombe à laissé sur la ville d’Hiroshima et ses habitants bien des années après que la guerre soit finie. A vrai dire je ne vois pas vraiment ce que cette oeuvre à de polémique, ni de vraiment engagé.

Contrairement à d’autres œuvres traitant du sujet, les récit de Fumiyo Kouno sont particulièrement tendres. La ville du Yûnagi, premier récit de ce recueil, m’a beaucoup fait penser à Pluie noire. Par la voix de Minami, Fumiyo fait aussi parler les petites gens de Hiroshima, toutes ses habitants innocent qui ont perdu la vie dans une guerre qui les dépassé complètement. Légendes de la Garde – Automne 1152.

Dès la première fois que j’ai entendu parler de ce titre j’étais intriguée.

Légendes de la Garde – Automne 1152

Quand j’ai vu la couverture j’étais charmée. Quand l’équipe K.BD à proposé cette lecture commune, j’ai sauté sur l’occasion et aussitôt je l’ai réservé à la bibliothèque. Et je n’ai pas été la seule à tomber sous le charmes de ces petites souris ! Quand Mimiko a aperçu le tome 1 négligemment posé sur mon bureau, elle m’a harcelé de questions jusqu’à ce que je lui propose : « tu veux qu’on la lise ensemble ? » Voici donc notre avis à toutes les deux L’histoire : La garde, troupes d’élites chez les souris, assure la sécurité du territoire. Notre avis : Voilà un pitch bien sérieux pour une histoire de petites souris toutes mignonnes !