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À propos du manga

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Histoires et généralité sur le manga

Manga : petit guide de lecture pour néophytes | Ma petite Médiathèque. Cet article fait suite à un premier qui présentait un bref historique du manga au Japon, l’arrivée du manga en France ainsi que les genres de manga les plus connus : Le Manga Ici je présenterai les principales caractéristiques du manga. Ce petit guide de lecture s’adresse principalement aux néophytes qui n’ont pas l’habitude d’en lire. Les fans, quant à eux, sont déjà habitués à ce qui fait la particularité de la bande-dessiné japonaise.

Cependant, si certains passionnés veulent participer à l’amélioration de cet article, qu’ils n’hésitent pas à me faire part de leur suggestions. Bonne lecture à tous ! Noir et blanc : La première différence qui frappe, c’est le fait que le manga est entièrement publié en noir et blanc, contrairement à la plupart de BD occidentales. Si le manga est en noir et blanc c’est d’abord pour des raison économiques. Quand les séries ont du succès en prépublication, elle sortent en tomes. Magazine : Weekly Shonen Jump N°16 de 2012 - prix : 240 yen soit environ 2,18€ Le Manga | Ma petite Médiathèque. Dans mon entourage il y a très peu de lecteur de manga, et il n’est pas rare qu’on me dise « ah bon?

Tu lis des manga, toi? » Et oui. Je lis des manga, et j’adore ça ! Alors j’ai eu envie d’écrire cet article pour tous ceux qui m’entourent et qui ne connaissent pas. Bonne lecture à tous (^_^) Brève histoire du Manga: Le mot « manga » fut inventé par Hokusai en 1814 pour désigner ses recueils de caricatures satiriques et autres croquis. Feuilletez le manga de Hokusai exposé à la BnF en 2008 : link La tradition des récits illustrés remonte à loin au Japon. Les premiers mangas au sens moderne font leur apparition au Japon dans les années 20, notamment sous l’influence des strip humoristiques à l’occidentales publiés dans les journaux. Norakuro, manga de Tagawa Suiho, crée en 1931 et publié jusqu’en 1941 dans la revue Shônen Kurabu.

Le manga offre une très grande variété. Dans l’après guerre apparaît le « gekiga » (qui se traduit par image dramatique). Mais, revenons au travail des éditeurs. Le manga, enfant de la bombe ? de J-M Bouissou | Ma petite Médiathèque.

Aujourd’hui je vais vous parler d’un article, paru dans le numéro spécial de l’Histoire (n°333) : Le Japon des samouraïs aux manga. Si je vous conseille la lecture de toute la revue, très intéressante, c’est plus particulièrement de l’article de Jean-Marie Bouissou que je vais vous parler ici. Dans cette article de 4 pages, intitulé « Le manga, enfant de la bombe? » Bouissou revient rapidement sur les ancêtres du manga : rouleau peints, estampes, théâtre kabiki, kibyoshi (roman populaires de l’époque Edo, rencontre avec les techniques occidentales…) Pour Bouissou, comme pour beaucoup de ses confrères, le manga moderne naît avec Tezuka et la parution de sa Nouvelle Ile au trésor en 1947. Avec Tezuka, les manga adopterons des scénario beaucoup plus long et des techniques de dessins inspirées du cinéma.

A l’instar des autres mangaka de sa génération, Tezuka était trop jeune pour participer à la guerre mais assez vieux pour être profondément marqué par la bombe atomique et la défaite du pays. Manga et traduction | Ma petite Médiathèque. Dans le numéro d’été de Animeland (n° 193) j’ai lu un petit article intéressant sur les traducteurs de manga. La traduction est un sujet qui m’intéresse beaucoup et souvent, en lisant des œuvres étrangères, qu’il s’agisse de romans ou de bande dessinées, je m’interroge sur les difficulté qu’à pu rencontrer le traducteur et à quel point l’oeuvre originale à du être adapté… Je profite donc de l’occasion qui m’est offerte par cet article publié dans Animeland pour revenir sur un thème fort intéressant. L’article ne s’intéresse pas du tout au côté travail de traduction, qualité ou parti pris sur la traduction de tel ou tel aspect du manga.

Il se concentre essentiellement sur les conditions de travail des traducteurs et leur statut aux yeux de la loi. Ainsi j’ai découvert que le droit français considère les traducteurs comme des auteurs et qu’à ce titres il sont protégé par les règles de droit d’auteur. Tout d’abord une intéressante interview réalisé par Mackie-senpai :

Le shojo