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Check-in - Check-IN je like - Skyrock tagge les marques. Skyrock tagge les marques Publié le 23 février 2011 Imaginez 25 millions de skybloggeurs et skybloggeuses qui voudraient clamer leur amour pour une marque ou une activité. Faire partager cette attraction réciproque, et plus si affinités. Skyrock leur propose depuis un an de se «tagger» sur ses 34 millions de blogs. D’afficher leurs musiques, marques, sports, jeux vidéo, artistes, peoples, auteurs, séries préférées… Et de révéler ainsi au monde entier leurs envies, et leurs choix de consommation. Et les d’jeunes taggent, taggent, taggent: plus de 5 millions ces deux derniers mois.

Donnant ainsi des indices inestimables pour mieux comprendre cette nouvelle génération qui n’a pas peur d’affirmer haut et fort ses préférences. «Lorsqu’un internaute tagge sur son blog, une marque ou une activité, il le fait volontairement. Chaque mois, Skyrock révèlera son TOPTAG, un classement des 100 premiers tags. Alors, quel est le centre d’intérêt numéro un de la Skyrock generation? Toptag-janvier-2011.pdf. Les jeunes Français sont pessimistes. Les jeunes... Deux mots qui sonnent, depuis l'automne, comme une insurrection. Politiques et syndicalistes semblent s'être pris d'une soudaine passion pour cette génération descendue dans la rue contre la réforme des retraites et qualifiée un peu vite de "sacrifiée". Ségolène Royal réclame un "pacte national de confiance pour l'emploi des jeunes" ; Rama Yade, elle-même ex-jeune de la politique, publie une Lettre à la jeunesse. Le sujet sera sans doute récurrent lors de la prochaine campagne présidentielle.

La foisonnante enquête sur La jeunesse du monde menée par la Fondation pour l'innovation politique (Fondapol), sous la houlette de son directeur, le politologue Dominique Reynié, ne pouvait pas mieux tomber. 25 pays sondés, 32 700 personnes consultées. L'Express a eu la primeur de ce vaste sondage, qui apporte une mine d'informations sur les 16-29 ans et offre une passionnante mise en perspective du "cas français".

On savait notre jeunesse affligée d'un petit moral. Roulez jeunesse ! Après dix ans passés à donner vie à des clichés de mode, de sport ou de publicité, le photographe Hugues Lawson-Body consigne dans un ouvrage la jeunesse parisienne. Fidèle à ses clichés de toujours, Hugues Lawson-Body s’attache à magnifier et restituer l’humain au centre de ses travaux. Son dernier projet aura duré 3 ans, période de conception chargée d’énergie durant laquelle il capture au fil de ses coups de coeur, un public junior représentatifs de la capitale française. A partir de ces jeunes gens sollicités dans les rues de Paris, ces clichés “Street Style” apportent des réponses immédiates sur le poids de l’apparence, de l’appréciation personnelle et du jugement d’autrui; symptômes propres à toute une génération fragilisée et conditionnée par les diktats modernes.

Un témoignage positif et bienveillant, parfois provocant, mais jamais moraliste. Sociétés : Les entreprises qui font rêver les adolescents. Dans leur cœur, les géants de l'informatique -Apple, Microsoft et Google- côtoient l'Éducation nationale et Air France. En revanche, aucun patron du CAC 40 ne figure parmi les modèles qu'ils aimeraient suivre. Cliquez sur l'aperçu pour agrandir l'infographie. Entre rêve et inquiétude, les adolescents affichent une vision de leur avenir professionnel à la fois marquée par les paillettes médiatiques et par la crise économique.

Les géants de l'informatique -Apple, Microsoft et Google- côtoient l'Éducation nationale et Air France, dans leur palmarès des grandes entreprises dans lesquelles ils aimeraient travail­ler, selon une étude réalisée par l'Observatoire de la parentalité en entreprise auprès de 500 jeunes âgés de 14 à 17 ans. «C'est la génération Internet. Apple arrive en tête des entreprises où les adolescents aimeraient travailler. L'Éducation nationale, la Défense ou les hôpitaux restent cependant une référence pour 20% des adolescents interrogés.

«Un idéal un peu immature» La génération Y n'existe pas. Publié le 02/12/2010 Attention, cet article a été publié le 02/12/2010. Ce dispositif d'archives vous donne accès à l'ensemble des publications du site FocusRH. Assurez-vous de lire les dernières dépèches et dossiers publiés en utilisant notre moteur de recherche Professeur en gestion des ressources humaines à Rouen business school, Jean Pralong a réalisé une étude sur l’image du travail selon la génération Y. Pour quelles raisons avez-vous réalisé cette étude sur la génération Y ? La question des générations revient sur le devant de la scène tous les 25 ans, avec un circuit de production assez classique qui démarre généralement par des recherches dans les universités nord-américaines, puis de la littérature que s’approprient les consultants. Comment avez-vous procédé ? Nous avons constitué quatre échantillons distincts composés d’étudiants et de jeunes cadres de la génération Y (20-30 ans), de cadres de la génération X (30-45 ans) et de cadres baby-boomers.

«Pire», «Ou pas»: parlez-vous le jeune ? Mais qui sont ces jeunes en permanence branchés à Internet ? De la BOF génération à la LOL génération. Les générations postérieures à mai 68 ont souvent été qualifiées de BOF générations –titre d’un numéro du Nouvel Observateur qui date de 1978! Désabusés, «incapables de trouver la passion dans un monde sans émotion» (La Bof Génération, Renaud Hantson, 1997), peu engagés en politique, les gens de 20 ans semblaient avoir renoncé à rivaliser avec l’inoxydable génération de 1968 –qui, soit dit en passant, s’attarde encore aux places du pouvoir. Aucune relève d’impertinence n’apparaît à l’horizon: la plupart des jeunes «bricolent» en attendant des jours meilleurs et le tiercé (capital culturel de la famille, filière scolaire d’excellence, et soutien économique des parents) demeure immuablement gagnant pour trouver une place dans la société.

La jeunesse aurait-elle définitivement baissé la garde? Peut être pas. Ne regardez plus la rue, mais les blogs et les réseaux sociaux, là où germe la LOL génération. Publicité Le monde par le rire Le LOL repose parfois sur un mème. Be stupid Monique Dagnaud. Les jeunes n’ont pas le moral: encore un cliché! - A Paris, le 21 octobre 2010. REUTERS/Charles Platiau - L’angoisse de la jeunesse. A chaque manif lycéenne ou étudiante, la société s’abime dans cette constatation désolante: les jeunes ont le moral en berne. On finit par être hypnotisé par ce cliché. En réalité, ce pessimiste porte sur l’avenir de la société française (71% de non confiance).

Mais sur leur propre avenir, les trois-quarts d’entre eux sont confiants et presque tous comptent sur eux-mêmes ou sur leurs proches pour s’en sortir (Baromètre Ifop 2010). Ce qui, tout de même, introduit plus qu’une nuance. Ce déficit de confiance englobe donc l’ensemble de la société et ses institutions: partis, gouvernements, médias et dans une moindre mesure, les syndicats.

Publicité La face sombre de notre fameux modèle social, c’est, précisément, l’insertion des jeunes. Les non bacheliers pénalisés Les jeunes qui s’engagent dans l’enseignement supérieur représentent 50% d’une classe d’âge. Un diplôme, oui, mais le bon Monique Dagnaud.