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Ecologie numerique

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Données, recherches Web, équipements : neuf pratiques à adopter pour être un internaute responsable. Selon certaines estimations, la pollution générée par l’industrie du net et son impact sur le climat sont équivalents à ceux du secteur de l’aviation, rappelle Greenpeace. Une pollution invisible mais bien réelle. D'après le rapport Clicking Clean publié le 10 janvier 2017 par l'association de protection de l'environnement, le secteur informatique représente par ailleurs environ 7 % de la consommation mondiale d’électricité. Entre la fabrication du matériel utilisé pour accéder au Web - souvent soumis à l'obsolescence technologique programmée et peu recyclé -, la multiplication des infrastructures composant le réseau d'exploitation mondial et les data centers très énergivores où nos données numériques sont stockées, nul doute : le net consomme et surconsomme !

25 % des émissions de gaz à effet de serre générées par le numérique sont dues data centers, 28 % aux infrastructures réseau et pas moins de 47 % aux équipements des consommateurs (smartphones, tablettes, ordinateurs...). 1. 2. 3. Le mail : un petit clic pour un grand choc écologique ! - OVEA. Diminuer ses consommations électriques Parmi les pistes d’amélioration à envisager le fournisseur devra : accroître la virtualisation de ses services car migrer l’hébergement d’un serveur physique vers une machine virtuelle c’est réduire de 90% son empreinte carbone (source / VM Ware).choisir ses équipements (serveurs, équipements réseau…) notamment pour leur performance énergétique.

Le coût ne doit pas être le seul critère de choix. Un serveur qui consomme 1W de moins représente un gain annuel de 13,6 kwh, la consommation d’un frigo A+ pendant 1 mois.optimiser sa plate-forme afin de ne pas sur-consommer en la développant selon les besoins des clients. Cela permet d’avoir un taux optimal d’utilisation des équipements, tout en conservant un niveau d’élasticité inhérent au métier.utiliser du matériel basse consommationêtre à proximité géographique des utilisateurs pour limiter la distance entre le serveur et le poste client.

Utiliser des énergies renouvelables. Les écologeeks anonymes. 8 à 10 milliards d’emails sont envoyés chaque heure à travers le monde. 10 milliards de l’heure, ça fait une belle somme, et c'était avant que la moitié des internautes de la planète soient confinés derrière leurs écrans. Quand on ajoute à cela tous les spams, qui ne sont pas comptabilisés dans ce chiffre, la somme paraît astronomique. Mais le problème ne se résume pas aux flux : il faut aussi considérer l’impact de l'infrastructure, des terminaux (ordinateurs, mobiles, box Internet etc.), l’énergie consommée par tout ça et le stockage des données sur des serveurs. Les écologeeks anonymes vous éclairent sur l'impact et les enjeux des emails. Numérique Responsable : le b.a.-ba en 111 principes. Les acteurs publics doivent encourager les citoyens à opter pour les solutions numériques souveraines [tribune] - Le blog Mailo. Il est urgent de sensibiliser la population à la souveraineté numérique, alertent dans une tribune publiée dans Le Journal du Net les fondateurs de Mailo Philippe Lenoir et Pascal Voyat, Thomas Fauré de Whaller et les députés Philippe Latombe et Jean-Michel Mis.

N’hésitez pas à lire et à partager cet appel sur vos réseaux sociaux ! Dans la crise actuelle, les acteurs publics doivent encourager les citoyens à opter pour les solutions numériques souveraines ! Notre souveraineté numérique ne cesse de s’affaiblir au profit des géants du numérique, en particulier les GAFAM. Dans ce contexte, des acteurs à la pointe du combat sur le sujet prennent la parole. Tribune signée par Thomas Fauré, président de Whaller, Philippe Latombe, député de la 1ère circonscription de Vendée et membre de la commission des lois, Jean-Michel Mis, député de la Loire et membre du Conseil national du numérique, Philippe Lenoir et Pascal Voyat, cofondateurs de Mailo. Lire la tribune sur le Journal du Net. Impacts du smartphone (Les) - La librairie ADEME.

Empreinte environnementale du numérique mondial. English version Réalisée par GreenIT.fr , dans le cadre de ses travaux sur le numérique responsable et la sobriété numérique, entre décembre 2018 et juillet 2019, cette étude porte sur les impacts environnementaux du numérique mondial et leur évolution de 2010 à 2025. Elle s’appuie sur une méthodologie d’Analyse du Cycle de Vie (ACV) de type screening. Fiche détaillée Etude : Empreinte environnementale du numérique mondial Date de publication : octobre 2019 Première édition : mai 2015 Auteur principal : Frédéric Bordage, GreenIT.fr Contributrices et contributeurs : Fabien Abrikh, Camille Aiguinier, Annaïg Antoine, Céline Berthaut, Jérémy Chatard, Sébastien Delorme, Philippe Derouette, Hugues Ferreboeuf, Bertrand Keller, Julie Orgelet, Nicole Paul, Dominique de Prémorel, Sébastien Solère, Geneviève Van Diest, Olivier VergeynstPérimètre : mondeAnnées considérées : 2010 à 2025Type d’étude : Analyse du Cycle de Vie (ACV) simplifiée Contact Français English.

Pollution liée au numérique : 13 conseils réalistes pour (vraiment) la réduire au quotidien. « La meilleure façon de réduire votre pollution numérique est de supprimer vos emails ». En réalité…. pas tant que ça ! La portée de cette action est anecdotique : le stockage de simples emails – surtout sans pièce jointe – n’occupe que peu d’espace en data centers (comparés à d’autres types de données). Il existe de nombreux autres réflexes à adopter en priorité car bien plus efficaces d’un point de vue environnemental. Il s’agit par exemple de s’attaquer aux impacts – massifs – liés au stockage de vidéos en ligne ou à la fabrication de nos appareils. En voici 13 exemples : La fabrication de mes appareils… … est (de loin) la première source d’impacts environnementaux liés au numérique ! 1- J’opte pour le reconditionné … c’est-à-dire les achats d’appareils d’occasion, testés, réparés si besoin et vendus sous garanties par des professionnels.

En achetant un ordinateur portable reconditionné plutôt que neuf, c’est ainsi en moyenne 836kg de matières premières que vous préserverez ! Related. Sensibilisation au numérique responsable - L'état de la planète. La pollution numérique, qu’est-ce que c’est ? La pollution numérique désigne toutes les formes de pollution engendrées par le secteur informatique : émissions de gaz à effet de serre, contamination chimique, érosion de la biodiversité, production de déchets électroniques.

Le gros de cette pollution a lieu au moment de la fabrication du matériel (et non lorsqu'on les utilise). Lutter contre la pollution numérique c’est donc d’abord utiliser moins d’objets informatiques, et les faire durer plus longtemps. La pollution engendrée par la fabrication de nos terminaux numériques Dans l’ère numérique, paradoxalement, plus on « dématérialise », plus on utilise de matière et d’énergie. Par exemple, saviez-vous que la production d'un téléviseur exige d'extraire 2,5 tonnes de matières premières, et génère 350 kg de CO₂ ? A cette démesure énergétique, s’ajoutent la pollution des écosystèmes et les drames humains liés à l'activité minière. Quant à la fin de vie de ces équipements, ce n'est pas plus reluisant. 1. 2. L'écologie numérique : infographie, chiffres-clés et conseils pour une dématérialisation plus verte. La dématérialisation est-elle écologique ?

Avec le numérique, est-on respectueux de l’environnement ? À l’heure où se multiplient les alertes sur la santé vacillante de la planète, notre infographie dédiée aux chiffres clés de la pollution numérique le prouve : il y a urgence à agir, du côté individus comme des organisations. Ce dossier explore les initiatives "vertes" et les bilans énergétiques, notamment dans les domaines du matériel informatique, des logiciels et des data centers et vous invite à suivre au quotidien dix conseils écoresponsables. Découvrez le Brief de la Démat, la newsletter thématique gratuite d'Archimag dédiée aux professionnels de la dématérialisation et de la transformation numérique ! Voir aussi : Tous nos articles dédiés à la Dématérialisation écoresponsable Sommaire du dossier sur l'écologie numérique : (Cliquez sur l'infographie Pollution numérique : les chiffres clés pour l'agrandir ou la télécharger) Notre Terre compte environ 7,6 milliards d’habitants.

. + repère. Greenpeace et l'impact environnemental du numérique. Le web engloutit des quantités considérables d’énergie : pour protéger les données, les ranger, les partager, nous avons recours au cloud, un nuage non-dénué d’impact sur l’environnement. Il est temps de renouveler Internet, selon Greenpeace, qui veut pousser les acteurs du numérique à se convertir aux énergies renouvelables. Fabriquer et alimenter nos appareils, faire tourner les centres de données, demande d’énormes quantités d’énergie : le secteur informatique représente aujourd’hui environ 7 % de la consommation mondiale d’électricité. La consommation d’électricité du secteur mondial du numérique ne cesse de croître. Aujourd’hui, ce seul secteur a une consommation d’électricité comparable à celle de certains des plus grands pays du monde.

Il est temps d’adresser la question de son impact sur l’environnement. (source greenpeace) L’engagement se traduit par une augmentation importante de la part du renouvelable dans l’alimentation électrique des centres de données. Source : Greenpeace.