background preloader

Ver à soie pour la jeunesse

Facebook Twitter

Ver à soie - Bombyx mori - Ver à soie du mûrier. Parmi les chenilles qui produisent de la soie, l'espèce Bombyx mori ou ver à soie du mûrier, est celle qui donne les produits les plus beaux et les plus estimés. Bombyx mori. © DR Originaire de la Chine méridionale, le ver à soie y était déjà élevé 2.700 ans avant J. -C. Les œufs furent importés en Inde, en Perse, dans diverses parties de l'Asie, et ce n'est qu'au VIe siècle qu'ils apparaissent à Constantinople ; ensuite on fit de l'élevage en Grèce, en Arabie, en Espagne, en Italie, et enfin en France, au XIIIe siècle. Lyon commença à produire des soieries vers 1450. L'élevage du vers à soie connut son essor en Touraine du XVIe au XVIIIe siècle. Fabrication de la soie. © DR La fabrication de la soie au fil des siècles Les demeures troglodytiques offrent un atout majeur : il règne dans les caves souterraines une température constante (entre 12 et 14 °C) tout au long de l'année, une aubaine pour le Bombyx du mûrier qui redoute les variations de températures !

Description du Bombyx mori La soie. Le ver à soie t'apprend la patience - Les secrets de Zoé. Dans sa création Dieu a placé des exemples qui servent à notre instruction. Un vieux proverbe japonais dit : « Avec du temps et de la patience, la feuille du mûrier devient soie ». Au Japon, autrefois, dans chaque ferme on gardait un coin humide et chaud où l’on soignait et nourrissait les vers à soie avec des feuilles de mûrier. Lorsque, au bout de quelques semaines, le ver atteint environ cinq centimètres de longueur, il commence à tisser le fil de soie autour de son corps.

Pour ce faire il extrait un suc, qui fournit le fil. Cela demande évidemment énormément de temps. Chaque cocon est constitué par un fil unique, ininterrompu, d’environ cent mètres ou plus de longueur. Et, quand le temps est venu, les cocons sont plongés dans l’eau bouillante, où ils sont battus afin d’en libérer les fils. Chaque fil est si fin qu’on les assemble généralement par deux ou trois pour n’en faire qu’un.

La patience ! Jacques 5 /7-8: " Soyez donc patients, frères jusqu'à l'avènement du Seigneur. Pays de Vierzon - VIERZON (18100) - Les vers à soie sous toutes les coutures au jardin du Tisserand. Le ver à soie, cet inconnu. De l’étude des cristaux à la fermentation et aux expériences sur la génération spontanée, les recherches de Pasteur s’apparentent à un fleuve qui s’élargit jusqu’à se fondre dans la mer de la microbiologie, où le scientifique français fera les découvertes les plus intéressantes et les plus fascinantes pour le grand public. Mais, au seuil de ses 40 ans, Pasteur voit son activité déviée de son cours principal et poussée vers un objet à mille lieues de ses études précédentes : les maladies du ver à soie.

Immergé dans les minéraux, les substances chimiques ou les ferments, Pasteur ne sait rien du ver à soie, ignore que la production de soie est un des secteurs les plus avancés de l’industrie française et ne soupçonne pas qu’une maladie menace cet empire économique. C’est Jean-Baptiste Dumas, son ancien professeur, ministre de l’Agriculture et du Commerce en 1850 et, à l’époque, sénateur, qui l’entraîne vers cette nouvelle voie. Une crise internationale. Elever des vers à soie, de l'oeuf à la chenille, du cocon au papillon. Comment fabrique-t-on la soie ? - Questions des enfants. La soie est une fibre textile, fabriquée par un animal : le ver à soie. On s'en sert pour faire des vêtements comme des chemises ou des écharpes. Le ver à soie est en réalité une chenille, celle du Bombyx, qui vit sur les mûriers. Pour récupérer de la soie, il faut donc commencer par élever des Bombyx : on appelle cela la sériciculture. Lorsque la femelle Bombyx pond ses œufs (plusieurs centaines), ceux-ci sont placés dans une couveuse où ils sont maintenus au chaud.

Lorsqu'un œuf éclot, le ver qui en sort fait quelques millimètres. La chenille ainsi obtenue va s'attacher à un support à l'aide d'un fil qu'elle fabrique, puis va filer son cocon. Les cocons sont donc placés dans une étuve (à 70 ou 80°C) pour tuer la chrysalide, puis trempés dans l'eau bouillante. Enfin, ce fil est travaillé en plusieurs étapes (torsion, nettoyage, teinture...) avant d'être tissé pour obtenir de la soie. Ver à soie (Le) – STAROSTA Paul – Patte à patte – Catalogue Jeunesse – Editions Milan.