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Qualité de vie et bien-être en entreprise

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Stratégie de création d'entreprise. Si vous êtes prêt ou réfléchissez à vous lancer dans l’entrepreneuriat, vous vous demandez probablement quelle est la meilleure stratégie à adopter pour la création de votre entreprise. « Dois-je m’associer ? Dois-je lever des fonds ? Est-il plus intéressant pour moi de me lancer dans la création d’une startup ? La franchise n’est-elle pas la meilleure solution pour limiter les risques ? » Tant de questions fondamentales qui vont avoir un impact important sur l’avenir de votre future entreprise. Voilà pourquoi, il est important de ne pas prendre tout cela à la légère ! Dans un premier temps, pour revenir aux bases et clarifier au mieux votre stratégie, je vous conseille fortement d’étudier en profondeur les 4 points suivants : Votre idéeLe marchéLe financementVotre but Tout d’abord, l’idée.

La première étape dans votre création d’entreprise est celle de transformer une idée en un projet professionnel ambitieux. Enfin, nous en arrivons à la motivation ultime : votre but ! Les 7 ingrédients pour la convivialité. Octobre est le Mois de la santé au travail - Participaction. Freedom Inc. : Libérer les salariés, un modèle anti-crise ? Comment améliorer la motivation des salariés dans un contexte économique aussi morose?

" En libérant l'initiative dans l'entreprise ", répond, sans hésiter, Isaac Getz, professeur de leardership et d'innovation à l'ESCP Europe (1). Sa méthode : un nouveau mode d'organisation, baptisée " Liberté SA " (Freedom.Inc, en anglais) qui favorise l'initiative et la responsabilisation des collaborateurs, gage de rentabilité. Fin de la bureaucratie... et des privilèges " Les entreprises les plus performantes sont agiles, démantèlent la bureaucratie et savent créer un environnement au sein duquel les salariés peuvent donner le meilleur d'eux-mêmes ", indique le chercheur.

Un concept qui signe la fin des modèles de gestion traditionnelle, issus du taylorisme, devenus totalement inefficaces. Concrètement, la mise en place de ce type d'organisation implique un profond bouleversement. Un lien de subordination plus agréable Plusieurs entreprises appliquent, d'ores et déjà, les théories de Getz. On parle de son travail avec ses collègues mais...ça sert pas à grand chose. Près de 3 salariés sur 4 parlent régulièrement du travail, autant dans leur sphère professionnelle que privé. Et pas forcément parce que les conditions y sont mauvaises. L'Anact (Association nationale pour l'amélioration des conditions de travail) a interrogé plus d'un millier de salariés sur la place accordée au dialogue sur le travail dans l'entreprise. Mais de quoi parlent-ils ? Des relations sociales, du contenu et de l'organisation du travail. Mais seuls 25% des salariés (36% des cadres) évoquent l'organisation du travail avec la direction et 17% avec les représentants du personnel.

Résultat : ce sont les discussions informelles qui priment sauf lorsqu'il s'agit d'évoquer le parcours professionnel. Une question demeure : certes les salariés parlent du travail mais le « pensent-ils » pour reprendre l'expression en vogue chez les psychologues du travail ? Stress, la souffrance de l'homme insuffisant. ( 1 Appréciation ) Détails Catégorie : Sens dessus dessous Publié le lundi 10 septembre 2012 17:06 Écrit par Gérard AYACHE Affichages : 442 {*style:<b> </b>*} Le névrosé souffrait parce qu'il était l'objet d'un conflit entre le désir et l'interdit.

L'homme contemporain est placé dans l'obligation, l'impérieuse nécessité, d'agir à tout prix et de plus en plus vite. Il est patent que dans l'entreprise, les modèles disciplinaires de ressources humaines, déclinés de Taylor ou de Ford, reculent au profit de normes qui incitent le personnel à des comportements autonomes, y compris dans les échelons inférieurs de la hiérarchie. Management participatif, groupes d'expression, cercles de qualités, etc., constituent de nouvelles formes d'exercice de l'autorité qui visent à inculquer l'esprit d'entreprise à chaque salarié. La contrainte imposée à l'ouvrier n'est plus l'homme-machine du travail répétitif, mais l'entrepreneur du travail flexible.

Loading... Copyright JAComment. Crise oblige, l'absentéisme dans les entreprises a baissé - Economie. Le taux d'absentéisme dans les entreprises a atteint l'an dernier son niveau le plus bas depuis 2007 avec 3,84%, soit 14 jours d'absence par an et par salarié, selon le Baromètre de l'absentéisme d'Alma Consulting Group publié mardi. Ce chiffre est en baisse par rapport à 2010 où il s'établissait à 4%, soit 14,5 jours par an et par salarié, et d'un point depuis trois ans, soit 3,8 jours de moins.

L'absentéisme baisse globalement dans le secteur privé mais enregistre des records dans les secteurs de la santé et des transports avec respectivement 6,61%, soit 24 jours, et 5,13% soit 18,7 jours. Les grands groupes connaissent un absentéisme plus faible que les PME et les cadres obtiennent la palme de l'assiduité avec un taux d'absence de 1,53%, soit 5,6 jours par an. Fait inédit : le Nord dépasse le Sud Fait inédit en matière d'absence au travail, le Nord et la région Rhône-Alpes dépassent le Sud, qui était en tête depuis cinq ans.

Entreprise

Oser être paresseux au travail... pour être plus efficace. A l'heure où tout s'accélère et alors que beaucoup ont le sentiment de se consumer dans leurs tâches quotidiennes, je conseille de passer en mode paresse. Il ne s'agit pas de fainéantise mais d'une paresse intelligente afin de ne faire que le " juste-nécessaire ". L'idée consiste à prendre du recul dans un temps d'oisiveté choisi puis à se simplifier la vie en se débarrassant de l'encombrant. Démonstration en sept mots clés. 1. Etonnement. Elaguez. N'y a-t-il pas des choses inutiles et superflues dans votre activité ? 2. 3. 4. 5. 6. 7. . (1) Organisme de formation. 5 techniques pour trouver de nouveaux prospects sur LinkedIn.

LinkedIn est un définitivement un formidable outil. Dans ma carrière professionnelle de salarié, il est vrai que j’avais plutôt concentré ma présence sur Viadéo… Mais au fur et à mesure que je découvre les nouvelles fonctionnalités, les techniques et surtout l’activité du site qui est beaucoup plus dynamique, je dois dire que je suis conquis. Bref, pour bien démarrer la semaine, je vous propose de découvrir 5 techniques pour trouver de nouveaux prospects sur ce formidable réseau social professionnel : LinkedIn.

Ce tutoriel s’adresse aux entrepreneurs et commerciaux qui souhaitent utiliser LinkedIn dans le cadre de leur activité B2B. 1- Développez vos connections Si vous venez de vous inscrire sur LinkedIn, il est possible que vous soyez un peu… tout seul. Difficile de développer son réseau dans cette situation. En haut à droite de votre écran, vous disposez d’un lien qui s’appelle « Ajouter des relations ». Cette manipulation se fait en deux étapes : 2- Recherchez les Questions/Réponses. LIBRE AVEC SOI MEME: LES PERSONNALITES ET LES PORTES DE TAIBI KAHLER.

Chaque personne est différente en fonction de sa personnalité bien-sûr ( sa position de vie , son scénario de vie, son driver, ses injonctions, ses croyances sur elle-même et les autres, ses sentiments ) et réagit donc aux stimulus de manière différente. Afin d'établir une communication constructive et authentique avec son interlocuteur, il convient d'utiliser le bon canal de communication. En effet, vous ne pouvez pas aborder de la même manière avec la même efficacité une personne qui est sensible et une personne énergique. Souvent, nous avons l'impression de ne pas avoir été entendu et compris par notre interlocuteur parce que nous n'avons pas utilisé le bon canal. "Ça lui passe au-dessus " ou " Ça rentre par une oreille et ressort par l'autre ". En entreprise, le sens du travail, la motivation, le besoin de reconnaissance sera différent selon les personnes. LES EMPATHIQUES: Ce sont des personnes sensibles, chaleureuses, compatissantes, à l'écoute.

Ride des soucis entre les yeux. OXYMORE – J’aime plus Paris, capitale mondiale de la qualité de la vie. AP/Jacques Brinon Voilà une information qui surprendra plus d'un Parisien. La Ville Lumière fait un bon spectaculaire dans le palmarès mondial des 27 villes les plus attractives, réalisé chaque année par le cabinet PricewaterhouseCoopers (PwC) et publié jeudi. Huitième l'an dernier, Paris est désormais quatrième, intercalé entre Toronto et Stockholm, derrière New York et Londres.

Plus surprenant : la capitale française décroche la palme d'or de la qualité de vie devant Sydney, Hongkong et San Francisco. "Grâce à un réseau de transport étendu et accessible, Paris se positionne comme une ville carrefour, attirant des touristes du monde entier", estime PwC. Hasard du calendrier, le même jour paraît un sondage CSA pour Provemploi, le "Salon pour vivre et travailler en province", selon lequel 54 % des Franciliens envisageraient de "quitter un jour" la région parisienne.

Signaler ce contenu comme inapproprié Cette entrée a été publiée dans Actualité. Le blog de Pierre Raynaud : les techniques d'influence et de persuasion. Comment transformer l'entreprise sans "casser" les salariés? La Tribune - Tous les manuels de management et de conduite de changement s'accordent sur un point: grâce à l'implication forte de la DRH et de la Direction Générale, la conduite humaine du changement doit être envisagée en amont du changement, et non uniquement en aval pour limiter les risques ou la casse. Mais il y a souvent loin de la théorie aux actes... Bruno Lefebvre - Certes, dans un rapport du 19 avril 2011 dressant un bilan des accords conclus sur la prévention du stress et les risques psychosociaux dans les entreprises de plus de 1000 salariés, la Direction Générale du Travail a pointé l'implication relative des dirigeants sur ce sujet.

Nous sommes donc face à un paradoxe: d'un côté des dirigeants de plus en plus tenus sur le plan médiatique ou juridique de se saisir du sujet des répercussions humaines des décisions d'entreprise, et de l'autre, une réticence à s'aventurer au-delà de mesures cosmétiques ou individualisantes. On parle parfois de "courage managérial". Pourquoi? Formation gestion du temps et efficacite personnelle, pour managers entrepreneurs, methode STATERA. Une nécessité Aujourd'hui peut-être, devez-vous répondre simultanément à de nombreuses sollicitations, et en même temps atteindre des objectifs ? Pour cela dans une même journée, conduisez-vous de multiples actions ? Devez-vous traiter le quotidien, tout en ayant un œil sur le long terme ?

Vos journées deviennent-elles de plus en plus chargées, et peut-être que le soir, avez-vous l’impression d’avoir beaucoup agi, sans avoir beaucoup avancé ? Vous en connaissez les symptômes : fatigue, stress, et les coûts : projets retardés, voire abandonnés. Dans votre situation, comme pour beaucoup, une tendance de fond est-elle là pour vous demander de plus en plus de résultats ? Dans ce contexte, vous devez gérer vos priorités et votre temps d’une manière de plus en plus efficace. L' efficacité est la capacité d' atteindre ses objectifs. Les démarches classiques Peut-être avez-vous déjà utilisé des démarches classiques ?

Sans doute avez-vous un agenda électronique ? Une nouvelle démarche Son origine. Animation vidéo sur l’évolution des moyens de communication. Bien-être et entreprise sont-ils des oxymores. Individualisme ambiant, concurrence acharnée, mondialisation, rigidités législatives sont autant de bonnes raisons pour lever les bras au ciel et constater qu'on n'y peut rien. Il est trop facile d'accuser l'autre et de ne pas balayer devant sa porte. Pour réfléchir au bien-être, il est nécessaire de porter son attention sur la notion d'« être » en entreprise. Il ne faut pas être grand psychologue pour comprendre qu'un salarié épanoui est plus efficace et créatif dans son travail. Il y a dans l'entreprise des tensions positives et des tensions négatives. Tout le travail du management et du chef d'entreprise est de soutenir les tensions positives et d'affaiblir les négatives. Ne le nions pas, il y a encore dans nos entreprises trop de comportements managériaux pervers.

Le premier objectif du chef d'entreprise est d'exclure ces conduites qui portent atteinte à la dignité de la personne. Dialogue instauré par le management, dialogue social dans le cadre des CHSCT ou dans les CE. Et si on partageait le pouvoir dans l'entreprise? Des dîners entre copains jusqu'aux débats les plus prestigieux, comme ce week-end à la Cité de la Réussite à Paris, en passant par des notes de conjonctures sociale et autres sondages, le constat est identique: ça ne peut plus continuer comme ça!

Qu'est-ce qui ne peut plus continuer? Le manque d'autonomie, de dialogue, de partage, de responsabilités en un mot de "liberté" dont souffrent les salariés aujourd'hui. "Dans un groupe où la structure n'est pas toute puissante, il est possible d'accorder une plus large place au partage d'expérience et à l'échange. On manage alors autre chose que du temps de travail. Les entreprises les plus innovantes sont celles qui incitent leurs acteurs, à tous les niveaux à échanger et à s'écouter mutuellement. Et là tout le monde se sent responsable!

", a martelé Pascal Picq, le célèbre paléoanthropologue qui intervenait à la Cité de la Réussite sur "l'économie du partage". Considérer les salariés comme des adultes responsables Lâcher la bride.