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ENTREPRENEURS

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Les "barbares" attaquent... encore et encore ! Les « barbares » attaquent.

Les "barbares" attaquent... encore et encore !

Ils sont partout, ils sont des millions. Ils veulent tout dominer, vite et en imposant leurs nouvelles valeurs. Car investir l'avenir, c'est avant tout l'envahir. Depuis la révolution numérique, la domination d'une entreprise sur un secteur est hégémonique ou elle n'est pas. Il suffit pour cela de regarder les parts de marché de Google, Facebook ou Amazon qui, en quelques années, ont su révolutionner leurs secteurs respectifs et s'y imposer sans conteste.

L'expression vient de Nicolas Colin et Oussama Ammar. Imposer ses valeurs peut passer par deux moyens différents pour une startup : porter ses convictions au coeur même de son projet ou bien mettre en place une certaine culture d'entreprise pour permettre leur développement. L'effectuation: agir vite et sans peur D'autres entreprises ont réussi à mettre en place des techniques simples pour pouvoir embrasser au mieux leurs valeurs. En effet, existe encore aujourd'hui la règle dite des « 80/20 ». Séverin Marcombes, l'entrepreneur sans limites. Le calme avant la tempête.

Séverin Marcombes, l'entrepreneur sans limites

Séverin Marcombes, 27 ans, finalise les préparatifs du lancement commercial, en septembre, de son premier produit : Lima, un boîtier qui tient dans une poche et qui permet d'unifier la mémoire de ses ordinateurs - Mac et PC -, smartphones et tablettes, en offrant la disponibilité du cloud computing, tout en gardant le contrôle de ses données. Plutôt que de se répandre en explications, le fondateur de la société Forgetbox, qu'on appelle désormais Lima, préfère lancer une vidéo de démonstration. En deux minutes, le film tourné à la mi-juin lors du festival du numérique Futur en Seine, montre comment le boîtier, branché sur une box Internet et sur un disque dur externe, devient la mémoire de tous vos appareils, vous permettant de récupérer en moins de deux secondes sur votre ordinateur au bureau la dernière version du document que vous avez créé à votre domicile puis annoté via votre smartphone.

DYSON’s values : Don’t trust advisors, just make you own experiences. Guide de la relation entre investisseur et entrepreneur: Philippe Pouletty, dans Intégrale Placements - 12/03. Innovation : le coup de gueule d'un serial entrepreneur. Invité d'honneur de l'observatoire Netexplo à l'occasion de la présentation du livre Voyage dans la société numérique qui rassemble une série d'innovations radicales, Eric Carreel est revenu cette semaine à l'Unesco sur son parcours d'entrepreneur.

Innovation : le coup de gueule d'un serial entrepreneur

Aujourd'hui à la tête de trois entreprises, Withings (balances connectées), Sculpteo (impression 3D) ou encore Invoxia (terminaux de téléphonie fixe), cet entrepreneur de 54 ans vient d'être nommé à la tête d'une mission gouvernementale sur les objets connectés. Innovation 2030 : Hollande tend la main aux entrepreneurs. Redirect Notice. La leçon de management du professeur François Dalle en 10 points. François dalle a été l’emblématique successeur d’Eugène Schueller, le fondateur de l’Oréal, de 1957 à 1984.

La leçon de management du professeur François Dalle en 10 points

C’est lui qui a transformé L’Oréal en numéro un mondial des cosmétiques. Voici les commentaires de Michel Drancourt, ancien dirigeant de l’Institut de l’entreprise, à propos du livre de François Dalle: L’aventure L’Oreal. Ils n’ont pas vieilli. Alain Goetzmann 1-L’esprit de bivouac doit l’emporter sur l’esprit d’état-major. Passer beaucoup de temps dans les ateliers, sur les routes avec les représentants ou les revendeurs, auprès des clients. 2-On ne trouve sur le marché que ce qu’on y a mis. Quand on constate « qu’il n’y a pas de marché », cela veut généralement dire qu’on s’accroche à l’analyse du marché existant. 3-Vendre plus cher que le marché quand on est sûr de la qualité de son produit.

Si un produit s’impose par une qualité supérieure, il est absurde de le vendre au même prix que les autres. Le maquis des aides aux entreprises désavantage les PME. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Samuel Laurent Projet-phare du gouvernement sur le plan du soutien à l'activité, doté d'une somme de 20 milliards d'euros au total, le crédit d'impôt compétitivité emploi (CICE) peine à séduire les PME (petites et moyennes entreprises).

Le maquis des aides aux entreprises désavantage les PME

Une enquête de l'institut KPMG pour le compte de la CGPME, syndicat de patrons de petites entreprises, montrait récemment que si 79 % des entreprises de plus de 100 salariés comptaient utiliser ce dispositif, qui permet de bénéficier de réductions d'impôts, seules 52 % des PME comptaient y avoir recours. Un désamour au goût de déjà-vu dans un pays où aides et dispositifs d'accompagnement se multiplient et se chevauchent, mais souvent au prix d'une complexité qui les rend difficiles d'accès pour les plus petites structures. Les PME et TPE (très petites entreprises) représentent pourtant la majeure partie du tissu entrepreneurial français. Mais toutes les entreprises ne jouent pas à armes égales. Corporate.

Le guide des états majors. Dirigeants d'entreprises.