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Santé publique

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CRIIGEN - Accueil. Notre Poison quotidien (full-length) OGM, vers une alerte mondiale. ART-E 28 minutes : OGM : étude scientifique indépendante -Monsanto-Cancer-septembre 2012- EXCLUSIF. Oui, les OGM sont des poisons ! (Cet article paraît dans le "Nouvel Observateur" daté du 20 septembre 2012) C’est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine "Food and Chemical Toxicology" - une référence en matière de toxicologie alimentaire - en publiant les résultats de l’expérimentation menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen.

Une bombe à fragmentation : scientifique, sanitaire, politique et industrielle. Elle pulvérise en effet une vérité officielle : l’innocuité du maïs génétiquement modifié. Lourdement toxique et souvent mortel Même à faible dose, l’OGM étudié se révèle lourdement toxique et souvent mortel pour des rats. A tel point que, s’il s’agissait d’un médicament, il devrait être suspendu séance tenante dans l’attente de nouvelles investigations. Nom de code In Vivo Jusqu’en 2011, les chercheurs ont travaillé dans des conditions de quasi-clandestinité. Exiger des comptes Comment ? Étude sur les OGM, comment Gilles-Eric Séralini a gagné la partie. OGM - Un fin stratège? Tout porte à croire qu'en publiant une étude sur le maïs OGM NK603 Gilles-Éric Séralini savait très bien ce qu'il faisait. Largement médiatisée, objet d'un plan com' savamment orchestré, l'étude du professeur Gilles-Éric Séralini, qui démontre que les rats nourris pendant deux ans avec un maïs OGM meurent plus jeunes et souffrent plus souvent de cancers, semble n'avoir eu qu'une seule finalité: relancer le débat sur les OGM et leurs conditions d'évaluation.

C'est désormais chose faite. L'étude de Gilles-Éric Séralini a au moins servi à montrer la "nécessité de bouger" estimait ce matin la ministre de l'Écologie Delphine Batho après que le Haut conseil des biotechnologies ait recommandé qu'une "étude de long terme, indépendante et contradictoire soit entreprise sous l'égide des pouvoirs publics quant à la sécurité sanitaire du maïs NK603". Pourtant, dans le même temps, le Haut conseil a réfuté l'étude du professeur Séralini. Paradoxal? Acte 1 - Le choc des photos. Gilles-Éric Séralini. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gilles-Éric Séralini, né le à Bône en Algérie[1], est un universitaire français[2],[3], professeur de biologie moléculaire depuis 1991, chercheur à l'Institut de biologie fondamentale et appliquée (IBFA) de l'université de Caen et codirecteur du pôle Risques de l'université de Caen[4] (pôle associé au CNRS).

Il s'est fait notamment connaître du grand public pour ses études sur les OGM et les pesticides et, en particulier, une étude toxicologique controversée et fortement médiatisée[5] publiée en septembre 2012, avant d'être retirée en novembre 2013, portée par le CRIIGEN, dont il est membre fondateur, mettant en doute l'innocuité du maïs génétiquement modifié NK 603 et du Roundup sur la santé de rats[6]. Biographie[modifier | modifier le code] Gilles-Éric Séralini est né en Algérie en 1960 d'un père technicien dans les télécommunications et d'une mère institutrice.

Travaux[modifier | modifier le code] Controverses[modifier | modifier le code] Irène Frachon - Mediator 150 mg. « Le livre d’Irène Frachon a tout du thriller médical. Mais tout y est vrai… » Le Nouvel Observateur « Le récit d’Irène Frachon prend des allures d’enquête : identifier l’arme du crime. » Le Monde « Ce petit livre tombe à pic pour ébrécher ce silence. » Libération Le Mediator 150mg est un medicament antidiabétique souvent prescrit comme coupe-faim, dont l'autorisation de mise en marché a été suspendue par l'Afssaps (Agence du médicament), en novembre 2009, en raison de sa toxicité avec risque avéré d’atteinte des valves du cœur que sa consommation entrainait pour les patients.

. « Le 25 novembre 2009, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé - Afssaps - annonce la suspension de l’autorisation de mise sur le marché d’un médicament. Irène Frachon Romandie News Texte Servier condamné à verser 210.000 euros à une patiente soignée à l'Isoméride (©AFP / 17 septembre 2010 15h18) Quand je me rase, je pense à toi. Mediator : Irène Frachon, "c'est notre Erin Brockovich à nous" - RichardTrois sur LePost.fr (17:14) Mediator 21/12/2010 à 10h18 - mis à jour le 21/12/2010 à 17h14 | vues | réactions "C'est une amie et c'est notre Erin Brockovich à nous", m'avait écrit ma petite soeur voilà déjà quelques temps à propos d'Irène Frachon, pneumologue à l'Hopital de Brest et qui a révélé la dangerosité du Médiator...

Un médicament à l'origine de plus de 500 morts, interdit dans de nombreux pays, mais malgré tout commercialisé en France par son créateur les laboratoires Servier. "Notre Erin Brockovich à nous", les mots m'avait frappé, fait sourire en pensant à l'héroïne incarnée par Julia Roberts et puis je les ai oubliés... jusqu'à ce que l'affaire du Mediator fasse la Une des journaux. Ils me sont revenus en mémoire alors que je lisais dans le magazine Elle un très intéressant portrait du docteur Irène Frachon. Il y a effectivement du Erin Brockovich dans la personnalité de cette femme qui, seule contre tous, s'est battue pour le retrait du Mediator.

Mais là s'arrête la comparaison. Ecoutez-là sur RTL : Mediator : plus de 500 morts et plus de 3500 hospitalisés. Entre 1976 et 2009, plus de 500 patients seraient morts en France d'avoir pris du Mediator. Et plus de 3500 auraient été hospitalisées pour des lésions des valves cardiaques. Ces chiffres sont issus d'une nouvelle analyse que Le Figaro s'est procurée et dont les résultats ont été présentés ce lundi après-midi lors d'une réunion extraordinaire de pharmacovigilance à l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).

Ce document insiste sur le fait que cette estimation de mortalité est «a minima». Il confirme et précise les informations du Figaro du 14 octobre dernier. Mais des formes bénignes auraient également concerné des dizaines de milliers de patients. Dans ce contexte, l'Afssaps a recommandé mardi aux patients ayant pris du Mediator pendant au moins trois mois entre 2006 et 2009 de consulter leur médecin traitant. Et d'ajouter : «Si d'aventure, sur certains sites internet il y en avait, ce n'est pas un médicament qu'il convient aujourd'hui d'utiliser».

Irène Frachon, seule contre le Mediator. C'est un remake d'"Erin Brockovich" au bout du Finistère. Irène Frachon, pneumologue au centre hospitalier universitaire de Brest, s'est battue trois ans pour que soit retiré du marché un médicament potentiellement mortel : le Mediator 150 mg. A partir de documents accablants, elle raconte comment Servier, multinationale pharmaceutique française, a négligé les effets secondaires.

Combien de morts ? C'est la question au cœur d'un livre sobre et clair sur son âpre combat et ses illusions perdues ("Mediator 150 mg. Combien de morts ? " Un coupe-faim dérivé de l'amphétamine Septembre 1990. En 1996, un article du "New England Journal of Medicine" donne raison au médecin puis, dans la foulée, les Américains découvrent que l'Isoméride s'attaque non seulement au poumon mais aussi aux valves du cœur, qui se rétractent dangereusement. Le Mediator, un Isoméride masqué ? L'histoire va rebondir neuf ans plus tard. S'il a échappé à l'interdiction, c'est qu'il est classé comme antidiabétique. L’EFSA confirme que des pesticides tuent les abeilles. Selon l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa), certains pesticides entraînent bel et bien la mort des abeilles.

Depuis plusieurs années, les études scientifiques ont montré que les pesticides "systémiques" ou "néonicotinoïdes" désorientent les abeilles. En affectant le système nerveux des butineuses, ces substances chimiques ont tué 30 % d’abeilles soit 25 % de plus qu’il y a 15 ans. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter L’EFSA s’est penchée sur la question et a rendu mercredi ses conclusions. La Commission européenne prend le taureau par les cornes et a décidé d’inscrire le sujet à l'ordre du jour de la réunion du 31 janvier.

Pour l’heure, la France a déjà retiré le 29 juillet dernier l'autorisation de mise sur le marché du Cruiser OSR utilisé pour traiter le colza (son usage pour le maïs reste autorisé pour l’instant) tandis que l’Italie et l'Allemagne interdisent l'usage des pesticides incriminés seulement pour le maïs.