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E-marketing

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10 pistes de sources potentielles d’audience sur le web. C’est Suite a la lecture de l’article « 15 google analytics Advanced segment ideas for social media » qu’il m’a semblé intéressant de faire un article sur les sources de visiteurs gratuites que l’on peut exploiter. Avec l’arrivé des « medias sociaux » puis des sites tel que Pinterest, Tumblr, Scoop it… Les opportunités de diversification d’audience se multiplient.

Autant de sources qui permettent également d’obtenir du trafic qualifié. Le but étant de capter un maximum d’internautes tout en gardant en tête que tout le monde ne se sert pas des mêmes outils, ne fréquente pas forcément les mêmes relais d’audience. Je passerai sur Twitter, Facebook et Google +… dont on connait la porté, pour s’intéresser à ce que l’on peut avoir comme autres sources. Je ne vais pas énumérer tous les sites mais seulement les catégories. On constate que le paramètre « social » joue pour beaucoup et que nous sommes clairement dans une ère de partage, chacun de nous étant récepteur et émetteur d’informations.

La Bulle Internet pour les nuls. La curation, nouvel outil du webmarketing? La Curation. Neologisme ou simple Buzz? Quoi qu’il en soit,le concept a fait le buzz en 2011 dans la sphère webmarketing. Cet outil, plus que jamais dans l’air du temps présente des avantages des plus significatifs pour l’Entreprise moderne et ouverte sur le monde! Une recherche Google sur le terme « curation » affiche des résultats Francais vieux de plus d’un an.La recherche du même terme sur Google Tendances en France retourne « Volume de recherche insuffisant pour afficher des résultats ». Une recherche étendue sur un territoire étendu démontre que la volumétrie des recherches liées est plus importante aux Etats Unis qu’en France. Le terme est encore peu connu en France soit, mais se développe de plus en plus grâce à des acteurs comme Scoop’It, Curated.by ou encore Storify . La curation est le principe de sélectionner, synthétiser, organiser du contenu pertinent par rapport à un thème spécifique.

Le principe de sélectionner et partager de l’information n’est donc pas nouveau. Marketing. L’interview du jour … … est celle de notre confrère Hervé Bloch, expert en marketing numérique : en matière de marketing numérique, il y a encore beaucoup d’éducation à faire ! Tant de marketeurs cèdent à la facilité, qu’il est utile de pouvoir rappeler les fondamentaux. C’est ce que fait Hervé Bloch de Digilinx dans ce petit ouvrage essentiel intitulé « les sept péchés capitaux des marketeurs digitaux » et qui décrit les travers les plus fréquents de nox chers confrères, et ce qu’il faudrait faire en regard de chacun de ces défauts de comportement. Ouvrage essentiel disai-je, à tel point que j’en ai acheté une cinquantaine pour le distribuer autour de moi à chaque fois que j’ai une question fondamentale sur le marketing numérique. Dans cette première vidéo enregistrée dans mon bureau il y a quelques semaines, en fin 2011, je reviens avec Hervé sur chacun de ces travers : >> télécharger le livre blanc de digilinx à cette adresse : WordPress:

La grande distribution prépare son coming-out social. Cet article a été publié il y a 2 ans 3 mois 6 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Il est assez facile de trouver tous types de marques, enseignes, boutiques qui peuvent communiquer avec leurs « fans » et « followers », proposer des offres, annoncer des évènements en magasins, ou le lancement d’un nouveau produit. Les médias sociaux sont en cela un excellent moyen de garder un contact quasi quotidien avec une partie de sa clientèle, qui n’a pas la possibilité de se rendre régulièrement en magasin. Une partie seulement puisque l’ensemble de la clientèle qui vient en magasin, n’est pas forcément adepte d’Internet, et n’a pas forcément un compte sur Facebook (bien qu’on dénombre près de 21 millions de comptes sur le réseau social en France).

Un acteur est étonnamment discret, la branche de la Grande Distribution. Une recherche des acteurs précédemment cités sur Facebook est quasiment sans appel. Sources : Le flirt du marketing et de la distribution. Si des marques ouvrent des boutiques en ligne, des pure-players du e-commerce en font autant dans le monde réel. Le but : une distribution cross-canal, au plus proche du consommateur. La distribution est l’un des piliers du marketing, c’en est presque l’axe le plus stratégique pour l’entreprise. En termes de distribution, le cross-canal se fait presque incontournable.

Les canaux d’achat et d’information doivent entrer en résonance les uns avec les autres pour correspondre aux nouvelles habitudes d’achat du consommateur. La clé de la réussite est la capacité à proposer une expérience enrichie. Cross-canal sans cannibalisation Pour les équipes de marketing, le défi est de s’adresser au consommateur de la manière la plus fine possible, malgré la diversité de ses identités virtuelles : il s’agit de faire le lien entre son nom, son identifiant Facebook, Twitter, son numéro de téléphone, son e-mail, etc., ses habitudes de consommation et les marques par lesquelles il se définit.

Duo sous le duel ? Les directions marketing et les acheteurs collaborent-ils, vraiment main dans la main ou chaque négociation tourne-t-elle au vinaigre ? La table ronde, organisée le 15 novembre dans les locaux d’Editialis, a réuni 8 professionnels du secteur : deux représentants des directions marketing, trois agences, trois représentants de la filière achats pour débattre de cette question. Le débat s’est orienté dans un premier temps sur les facteurs à l’origine des relations parfois tendues entre les acheteurs, les marketeurs et les agences. Tout d’abord, le contexte économique actuel, de plus en plus difficile, contraint les parties à évoluer dans un milieu très concurrentiel. « Les directions générales font pression sur les acheteurs pour réaliser des économies », explique Eric Genevois, vice-président Europe de Mundocom.

Le poids des normes juridiquesLa négociation peut être perturbée aussi par le respect des normes juridiques. Forrester : 'Place à l'ère du post-social' Vous annoncez une nouvelle révolution pour internet. Quelle est cette prochaine étape ? La première vague Internet que nous connaissons depuis une dizaine d’années est en train de disparaître pour laisser place à ce que nous appelons l’Internet des applications (Mobile App Internet). Elle naît de la diffusion des mobiles et des applications partout dans le monde et de la montée en puissance du cloud. Ce nouveau modèle se substitue à l’ancien (PC/serveur). Avec leur vitesse de propagation, les réseaux sociaux ont conquis 86 % des Américains en quelques années. Aux États-Unis, les gens passent plus de temps à naviguer sur les réseaux qu'à faire de l'exercice, à prier ou même téléphoner. Cette bulle des start-up va éclater. Comment se situe l’Europe par rapport aux États-Unis sur la diffusion des médias sociaux et mobiles?

Les Européens sont de gros utilisateurs. Quel impact aura ce Web mobile et social sur le marketing ? C’est une mutation est aussi importante que l’avènement d’Internet. "Le fonds Network Finance 2 débutera ses investissements en 2012" L'ancien dirigeant de Netbooster, qui a misé personnellement dans Planet.fr, revient sur son activité d'investisseur avec le fonds Network Finance 2.

JDN. Vous avez récemment investi à titre personnel dans le portail Planet.fr. Quelles ont été vos motivations ? P. Quelles sont vos activités depuis votre départ de Netbooster en avril ? Mes activités se concentrent principalement sur l'accompagnement et le conseil de sociétés et principalement auprès de celles dont je suis actionnaire comme Come&Stay, Mobile Network Group et Lead Media Group qui sont des sociétés françaises également cotées en bourse dont l'activité principale est le marketing à la performance.

Quelle est la particularité de Network Finance et quelles sont ses ambitions ? Network Finance 2 est un fonds 100% web de 10 millions d'euros qui fait partie de la famille des fonds d'entrepreneurs, comme le sont Isai, Jaïna Capital ou Kima Ventures. Business Model Freemium | Karmano.fr. Dans le domaine commercial, l ’idée d ’offrir un produit ou une version de celui-ci gratuitement a été une source de bien des débats animés. Il est toujours délicat de trouver le bon prix à attribuer à son produit, il existe de nombreuses façons de faire, chacune avec ses avantages et ses inconvénients. Trop haut et celui ci sera considéré comme haut de gamme et boudé par une partie de la cible commerciale (cela peut mettre à mal son positionnement et sa perception) mais ni trop bas pour ne pas tomber dans l ’impression low cost et alors involontairement donner une image cheap de votre produit, image qui peut faire ombrage aux nombreuses qualités de celui ci.

Malheureusement, de nombreux entrepreneurs n ’y pensent pas assez et se contentent de copier la stratégie de prix sur les produits similaires et les politiques tarifaires des concurrents sur le marché quand ils ne fondent pas leur choix sur l ’avis d ’un « expert » qui impose sa vision des choses. 01. Le point de bascule 02. 03. 04. A quoi sert un business plan ? Je vous recommande cette prometteuse série d’articles de Carlos Diaz, le fondateur de BlueKiwi maintenant établi aux USA : “ Question de sémantique L’affirmation de Carlos est quelque peu rapide au premier abord, surtout pour ceux des entrepreneurs qui ont réussi après avoir créé un BP dans les règles de l’art, car il y en a !

Et aussi, pour ceux qui se sont plantés car ils n’avaient pas assez bien pensé et formalisé leur idée au départ. J’ai encore en mémoire l’histoire de Bernard Liautaud (ci-dessous, photo en (cc) prise par l’auteur à LeWeb 2010), cofondateur de Business Objects avec Denis Payre, qui avait planché un an sur le plan de la startup avant de la lancer. La question la plus importante me semble être : que met-on derrière cette notion de “business plan” ? Germer l’idée avant le BP Carlos a tout a fait raison lorsqu’il invoque le besoin de germer son idée progressivement à partir de rencontres, d’observations et de convictions.

Construire le discours client Conclusion. L'e-mail marketing, de plus en plus ciblé. Le marketing numérique en 2011. Étude réalisée par Webmarketing123, auprès de plus de 500 sociétés de marketing, dont l’on voit ici la répartition entre B2B (66,9%) et B2C (33,1%), avec plus d’une sur cinq de ces sociétés, toutes basées aux États-Unis, dépassant quand même les mille employés ! La chose donne donc une certaine valeur à l’étude, qui porte essentiellement sur Étude réalisée par Webmarketing123, auprès de plus de 500 sociétés de marketing, dont l’on voit ici la répartition entre B2B (66,9%) et B2C (33,1%), avec plus d’une sur cinq de ces sociétés, toutes basées aux États-Unis, dépassant quand même les mille employés ! La chose donne donc une certaine valeur à l’étude, qui porte essentiellement sur l’utilisation et l’impact des techniques d’optimisation pour les moteurs de recherches (SEO), de publicité payante (PPC) et de marketing des médias sociaux. - générer des ventes - genérer des prospects - faire connaître la marque - générer du trafic - construire une communauté en ligne.