Pourquoi les « pure players » du digital ouvrent t’ils des points de vente physique ? Depuis que la notion de e-commerce existe, les Digital Marketeurs de tous les pays n’ont qu’une seule idée en tête : convertir leur entreprise au e-commerce.
A la clé, toujours les mêmes arguments : la longue traîne, de meilleures marges grâce à la suppression des intermédiaires et des frais liés à la maintenance d’un point de vente, une flexibilité accrue gage de meilleure résistance aux crises etc. Pourtant depuis quelques mois on assiste à un mouvement inverse ; des « Pure players », entendez des vendeurs qui n’avaient jamais été présents dans « le monde réel » et qui réalisaient 100% de leur chiffre d’affaire en ligne, se mettent à investir dans « la brique et le ciment » afin d’ouvrir des points de ventes physiques. Ces acteurs étant les mêmes qui ont démontrés l’efficacité du modèle « Pure Players » (Amazon, Ebay, Google, Acer, HP ou plus près de chez nous Pixmania et CD discount), on est en droit de s’interroger sur leurs motivations. 1.
Pour les taxes 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. Bilan Fevad du e-commerce 2011. Ce lundi matin, à Bercy, la Fevad dressait son traditionnel bilan annuel du e-commerce français.
Que faut-il en retenir ? Tout d’abord l’e-commerce résisterait bien à la crise avec un chiffre d’affaire en hausse de 22% sur un an à 37,7 milliards d’euros. Le nombre de transactions augmente un peu plus rapidement que le chiffre d’affaire de 340 millions en 2010 à 420 en 2011, ce qui explique un recul de 1% du panier moyen à 90€ par transactions. La conjoncture économique n’a pas été favorable ces derniers mois : recul de la consommation des ménages (respectivement -3,5% et -2,4% au 3ème et 4ème trimestre) et baisse de 0,2% du commerce de détail en 2011. Pourtant les sites du panel Fevad iCE 40 enregistrent une croissance de leur activité : Cette hausse serait largement liée à l’arrivée de nouveaux venus avec l’ouverture de 18 000 sites en 2011, soit une augmentation de 23% à 100 400 sites e-commerce. Shopping cross canal : Amazon jette le pavé dans la mare avec une offre promo qui fait trembler le commerce.
Mi-décembre, Amazon à créé l’événement promotionnel cross canal de l’année aux US, avec un mécanisme qui va faire date s’il n’est pas considéré comme illégal voire anti-concurrentiel.
» Les tendances e-commerce en 2012. “Les consommateurs sont canal-agnostique” Tddigitalday 2011 Innovation au service de la performance. Atipik. Le marché des achats groupés : un modèle de e-commerce durable ? Slides de la conférence du 15 Nov. 2011 à la Cantine. Table Ronde « Customer centrix » avec L’Oréal, SG, Fram et American Express. Publié le 24 octobre 2011 par mc factory dans Actualités, Innovation & Cross Média.
Kaniti, nouvelle application de social commerce. Les français agacés mais réceptifs aux emails commerciaux. Le Multi-Canal, déjà dépassé ? « L'e-commerce doit entrer dans une logique de marque » Quelles grandes tendances observez-vous dans le monde de la publicité en ligne ?
Tout d’abord, la vidéo sur Internet est un pas concret dans la convergence entre la télévision et le Web. La vidéo est un levier très important, mais il y a une pénurie de contenus. C’est pourquoi le Web reste encore très alpha numérique. En effet, produire cinq minutes de vidéo coûte encore relativement cher. Et diffuser une publicité vidéo se facture entre trois et dix fois plus cher que la diffusion d’une publicité display. Quels sont les métiers de Specific Media ? Nous avons acquis BBE en décembre 2010, un réseau de publicité vidéo. Social Shopping : Votre site web peut-il concurrencer Facebook ?
Jeudi 3 Novembre 2011 Le Social Commerce est présenté comme un levier important de déclenchement des achats, mais il revêt plusieurs formes et évolue très vite, poussé notamment par les initiatives des réseaux incontournables comme Facebook, qui se mettent en configuration d’apporter aux marques un trafic de plus en plus qualifié.
Face à la puissance des réseaux leaders, les marques ont-elles intérêt à recréer sur leur site leur propre communauté ? Paiement sécurisé : offre de lancement Oxatis Payments. La Consommation Collaborative, phénomène de 2011 ? Bon ok le titre est un peu vendeur…mais de vraies raisons d’être aussi optimiste, il y en a, à la fois pour ce qu’il se trame outre-Atlantique mais aussi en France… Des signes avant-coureurs en provenance des Etats-Unis Selon les secteurs de l’Internet et du e-commerce, il faut un délai plus ou moins long pour que les usages de l’Internet à l’œuvre aux Etats-Unis se traduisent en Europe.
Stratégie mobile pour les distributeurs et commerçants de proximité. Ces (r)évolutions technologiques ont entrainé des bouleversements dans les usages.
Confronté à des habitudes de consommation en mutation, les distributeurs innovants ont dû s’adapter et ont rapidement développé des applications mobiles sur iPhone pour se démarquer de la concurrence. Les entreprises les plus prospères ont poursuivi leurs efforts en multipliant les développements d’applications ainsi que leur maintenance pour être disponibles sur les autres systèmes d’exploitation disponibles tels qu’Android ou Blackberry. Hier, les principaux indicateurs de performance suivis étaient le positionnement dans l’Apple Store et le nombre de téléchargement d’applications chaque mois.
Aujourd’hui, nous assistons à un profond changement dans la stratégie mobile des distributeurs et des commerçants de proximité. Initialement, les marques privilégiaient le développement d’applications mobiles versus les sites mobiles pour exploiter la géolocalisation.