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L'impression 3D de la peau humaine est presque une réalité. L’Oréal s’associe avec Organovo, une entreprise de bio-impression 3D afin d’imprimer de la peau humaine.

L'impression 3D de la peau humaine est presque une réalité

L’Oréal, géant de la cosmétique, s’associe avec Organovo, une entreprise de bio-impression 3D cotée en bourse. Cette nouvelle technologie allie l’impression 3D et des tissus vivants dans le but d’imprimer de la peau humaine. Dans son annonce de ce projet de collaboration, L’Oréal a utilisé un terme propre à la Silicon Valley en le présentant comme une technologie dite “de rupture”. Aujourd’hui, toutes les grandes sociétés sont des incubateurs d’entreprises technologiques. Peau créée par bio-impression (Source) Guive Balooch, directeur de l’Incubateur de la beauté connectée à L’Oréal, a déclaré : “Nous avons développé notre incubateur de technologie pour dévoiler des innovations de rupture à travers les industries ayant le potentiel de transformer le marché de la beauté”.

Des “tissus humains vivants” au service de la beauté Une innovation pour la santé et la recherche. Tatouage Imprimante 3D. Subissant le feu sacré du progrès, des aiguilles aux dermographies, du tatouage 2D au tatouage 3D, la pratique du tatouage s’est modernisée et a évolué au fil des siècles.

Tatouage Imprimante 3D

Dans cette même optique, une nouvelle innovation technologique, fait parler d’elle comme étant le futur du tatouage : nous parlons du tatouage imprimante 3D. L’imprimante à tatouage 3D est annoncée comme l’avenir de la pratique du tatouage 3d. Véritable innovation technologique, elle a vu le jour en 2013, lors d’un concours scientifique. Une échographie imprimée en 3D pour une maman non-voyante. La première échographie de son enfant est toujours un moment assez unique et intense pour les nouveaux parents.

Une échographie imprimée en 3D pour une maman non-voyante

Malheureusement, il n’est pas donné à tout le monde de le vivre et Tatiana, non-voyante depuis l’âge de 17 ans, aurait pu passer à côté si la marque Huggies n’avait pas été là… En collaboration avec l’agence Mood et la société spécialisée en impression 3D The Goodfellas, la célèbre marque de couches dévoile aujourd’hui une campagne promotionnelle intitulée #CountingTheDays. NASA Is Taking a 3D Printer Into Space. Chéri, achète de la lessive et imprime un porte-clé. Aéroville, le nom claque comme une promesse de futur: bienvenue dans le plus grand centre commercial d’Ile-de-France, inauguré mi-octobre à Roissy.

Chéri, achète de la lessive et imprime un porte-clé

Le lieu idéal pour frotter le grand public à une technique qui symbolise la science-fiction devenue réalité et allume bien des fantasmes: Auchan y a planté le premier corner d’impression 3D en hypermarché, une démarche inédite. Il est situé «à l’entrée, et pas planqué», précise Romain Pouzol, de CKab, l’entreprise partenaire qui a formé les équipes. Dix maisons sortent d'une imprimante 3D!

Nouvelle illustration de la révolution industrielle en marche que représente l'impression 3D : l'entreprise chinoise, WinSun, s'est lancée sur le marché de la construction de bâtiments.

Dix maisons sortent d'une imprimante 3D!

Sa dernière performance : "imprimer" dix maisons en trois dimensions, le tout en moins de 24 heures. La technique utilisée en Chine est assez spectaculaire : chaque maison est fabriquée en usine, dans une méga imprimante de 150 mètres de long. De cette étrange machine vont sortir de gros blocs, sculptés à partir d'un matériau un peu spécial, un agrégat fait de gravats récupérés sur les chantiers et recyclés. Une maison à moins de 3.500 euros Ne reste plus qu'à assembler ces pièces façon Lego. Aux Etats-Unis, des ingénieurs veulent aller encore plus loin, avec une technique baptisée "contour crafting". L'objectif, à terme : fabriquer des maisons à la chaîne, aussi facilement qu'on fabrique des chaussures ou des voitures.

Une boîte va imprimer en 3D des maisons entières avec du sel de la baie de San Francisco. La plupart d’entre nous consomment beaucoup trop de sel.

Une boîte va imprimer en 3D des maisons entières avec du sel de la baie de San Francisco

Comme breton ascendant guérandais je peux en parler et m’étendre longuement sur la viscosité de mon sang. Ce qui est cool avec le sel, c’est qu’en plus de rendre tout meilleur, il y en a plein les océans. Du coup, au lieu d’uniquement le mettre dans le beurre puis sur nos tartines, ce qu’on devrait faire, c’est construire des choses avec. C’est précisément ce qu’a fait l’agence Emerging Objects, un groupe de designer et d’architecte spécialisé dans la construction de bâtiments en impression 3D. Leur dernier projet 3D Printed House 1.0 compte utiliser le sel de la baie de San Francisco pour créer une structure en polymère salé (du sel mélangé à une colle plastique) qui forme alors un matériau solide, waterproof et translucide. Amputé, il fabrique sa prothèse avec une imprimante 3D. Nicolas Huchet, mécanicien, se retrouve amputé de l'avant bras droit à l'âge de 18 ans, à cause d'un accident du travail.

Amputé, il fabrique sa prothèse avec une imprimante 3D

Il souhaite bénéficier d'une prothèse nouvelle génération qui lui permettrait de bouger les doigts, contrairement aux prothèses que lui propose la Sécurité Sociale. FABLAB. Mais les prothèses nouvelle génération sont très chères et non remboursées par cette dernière. Par la suite, Nicolas Huchet rencontre les membres du FabLab de Rennes et découvre l'impression en 3D. Il a alors un déclic : il décide de fabriquer lui-même sa prothèse, à l'aide d'une imprimante 3D ! Et quelques mois plus tard, à l'aide des membres du FabLab, il met au point un premier prototype : une prothèse d'avant-bras myoélectrique, c'est-à-dire commandée par des capteurs musculaires sur le bras.

Un stylo pour imprimer en 3D des cellules souches. Le robot InMoov à imprimer en 3D chez soi. Il aura fallu plus d’un an de travail acharné pour réaliser ce robot entièrement imprimé en 3-D.

Le robot InMoov à imprimer en 3D chez soi

Ce travail a été fait par un sculpteur / designer / bidouilleur Gaël Langevin qui a créé sa propre entreprise Factices Ateliers, studio de design basé à Paris, en tant que contribution à l’univers du DIY, de l’open source et imprimantes 3D. Baptisé InMoov, c’est le premier robot humanoïde à avoir été fabriqué à partir d’une imprimante 3D. Il peut donc être reproduit par n’importe qui possédant une imprimante 3D. Il faudra tout de même avoir quelques connaissances en électronique et programmation si vous souhaitez lui faire faire des choses. Vous n’aurez plus qu’à vous rendre sur ce site et télécharger le manuel de fabrication. Sur son blog, vous pourrez suivre les différentes étapes du projet : du design des différentes parties de son corps sous le logiciel Blender jusqu’à son impression en plastique ABS avec une imprimante 3DTouch. Gaël fait vraiment partie de cette tendance au DIY. L'impression 3D offre une nouvelle vie aux enfants amputés en Ouganda.