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Sciences et vérité

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1/2 Histoire générale des sciences : Les sciences, représentations, objectifs et rôles. Modèles et modélisation en SVT : Des modèles très divers. Classification selon l'activité demandée aux élèves Classification selon la nature du modèle Bilan : une typologie des modèles en SVT Classification selon l'activité demandée aux élèves Une démarche scientifique basée sur la modélisation se déroule par étapes successives. Comme pour la démarche d'investigation hypothético-déductive, les objectifs des activités de classes sont le plus souvent centrées sur une ou deux étapes.

Pour en savoir plus sur les étapes de la modélisation Classification selon la nature du modèle La représentation "manipulable" du modèle peut correspondre à un réel simplifié, transformé, "mathématisé", transposé ou modifié. Pour en savoir plus sur les relations modèle / réel Bilan : une typologie des modèles en SVT Les exemples d'activité du tableau ci-dessous sont ceux décrits dans le menu "Les modèles en classe".

LA CULTURE SCIENTIFIQUE par Guillaume Lecointre. La CONNAISSANCE SCIENTIFIQUE par Guillaume Lecointre. LA DEMARCHE SCIENTIFIQUE par Guillaume Lecointre. 1/2 Histoire générale des sciences : Les sciences, représentations, objectifs et rôles. LE DARWINISME par Guillaume Lecointre. Athéisme. LE CREATIONNISME par Guillaume Lecointre. L6PH003U - TDs de Philosophie des sciences de J. Ravat et J. Dutant, UFR de Philosophie, Université de Paris IV-Sorbonne. Cette page regroupe les documents des TDs de Jérôme Ravat et Julien Dutant, associés au cours de Philosophie des Sciences (L3PH003U) de Daniel Andler à l'Université de Paris 4. Le contrôle continu a eu lieu le 1er juin - voir sujet ci-dessous. Le contrôle terminal (cours de M.Andler) aura lieu le jeudi 15 juin. TD n°1: variétés et non-variétés du réalisme, et la condamnation de Galilée Variétés et non-variétés du réalisme: première définition du réalisme.

Que la notion de réalisme qui nous intéresse ici n'est pas celle de l'opposition matérialisme/spiritualisme. Illustration de la question du réalisme scientifique: Galilée et ceux qui l'ont condamnés étaient réalistes par rapport à l'astronomie héliocentriste de Copernic, contrairement au cardinal Robert Bellarmin, qui conseillait à Galilée d'adopter une position anti-réaliste comme celle d'Osiander.

Notes du cours: [ pdf ] Polycopié: Textes d'Osiander et Rhéticus, [ pdf ]. TD n°3 : Historique du réalisme en métaphysique Pour approfondir. Concile de Laodicée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le concile (régional) de Laodicée eut lieu vers 364 à Laodicée, métropole de la Phrygie, province de l'Asie Mineure[1],[2]. On s'accorde à le situer vers 364 (date notée par Justel dans le Code de l'Église Universel) mais sa date exacte est incertaine : pour certains (Baronius et Binus) il eut lieu en 314, avant le concile de Nicée, pour d'autres après 352, d'autres encore 360 ou 370.

La seule certitude est qu'il se tint avant 381. On ne sait rien de son organisation, de sa direction et du nombre des évêques qui y participèrent. Principaux canons[modifier | modifier le code] Canon 6 Interdit l'entrée dans les églises aux hérétiques obstinés. Canon 9 Défend aux fidèles d'aller au cimetières et aux églises avec des hérétiques et d'y prier avec eux et à y demander la guérison à leurs prétendus martyrs[3]. Canon 11 Défend de donner des responsabilités aux femmes dans l'Église et dans les assemblées. Canon 29 Canon 30 Canon 31 Canon 35 Canon 36 Canon 37. Treize arguments non valables pour défendre les parasciences. Par Laurent Puech - SPS n° 240, décembre 1999 L’absence de résultats probants oblige les défenseurs des parasciences à user d’arguments apparemment imparables mais qui, à l’étude, se dégonflent rapidement.

En voici treize parmi les plus utilisés. 1) Le syndrome galiléen Ma « science » est victime de critiques comme l’a été celle de Galilée, qui avait raison avant tout le monde... Sous-entendu : donc ma « science » est aussi valable que la théorie de Galilée ! 2) L’argument de « l’ampoule électrique » Celui qui aurait dit, il y a 500 ans, qu’un jour on s’éclairerait avec des ampoules électriques serait passé pour un fou, et pourtant... 3) L’argument d’autorité Le témoignage favorable de célébrités médiatiques, voire scientifiques, ne constitue qu’un... témoignage. 4) L’argument historique L’intérêt pour le paranormal et les parasciences existe depuis longtemps (des millénaires pour l’astrologie) : c’est donc qu’il y a quelque chose... 5) L’argument du nombre 7) L’argument du bon cas.

Le matérialisme est-il une valeur de la science ? - Article paru dans Sciences et Avenir Hors-série n°144, octobre-novembre 2005. Avec l’autorisation de Sciences et Avenir. Presque chaque terme dans la question posée nécessite une définition. Pour la plupart des gens, un matérialiste (au-delà de l’image du jouisseur cupide) est quelqu’un qui ne croit ni aux dieux, ni aux diables, ni à la vie après la mort, ni aux sorcières, astrologues et autres charlatans. Mais cette définition, purement négative, ne satisfera pas un esprit un tant soit peu philosophique : Diderot, Engels, Freud, Russell, Monod et Sartre étaient tous « matérialistes » dans ce sens-là et clairement pas mal de choses les séparent.

Ensuite, est-ce qu’être « une valeur de la science » signifie que la science la présuppose ou qu’elle la renforce ? Le matérialisme est souvent vu comme une doctrine ontologique : « seule existe la matière en mouvement », par exemple, ou encore, « le cerveau sécrète la pensée, comme le foie sécrète la bile ». Épistémologie et Ontologie La science comme scepticisme raisonnable. Peut-on tester l’efficacité de la prière ? Verite - Page 3. Raison Présente : Raison Présente n°183 - 3e trimestre 2012. Cahiers Rationalistes : Les Cahiers Rationalistes n°622. La Raison de Juin n°582 bientôt disponible. Affaire Sokal. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sokal. L'affaire Sokal a pour origine la publication d'un article qui s'avéra ensuite être un canular par le physicien Alan Sokal dans la revue Social Text.

L'expression fait référence à toutes les controverses qui en résultèrent. Social Text est une revue d'études culturelles postmoderne, chef de file dans son domaine, publiée par l'Université Duke. En 1996, Alan Sokal, professeur de physique à l'Université de New York, soumet un texte pseudo-scientifique à la revue dans le cadre d'une expérience visant selon lui à « publier un article généreusement assaisonné de non-sens qui (a) sonne bien et (b) flatte les préconceptions idéologiques des éditeurs »[trad 1] et à voir si les éditeurs accepteraient l'article proposé. Article[modifier | modifier le code] Thèse[modifier | modifier le code] Erreurs[modifier | modifier le code] D'autres erreurs dans les notes de bas de page sont plus subtiles.

Evans M. Yves Jeanneret, L’affaire Sokal ou la querelle des impostures. 1 La question des statuts respectifs de la physique et de la philosophie, de la réalité et du relativisme, a atteint un paroxysme ces dernières années à l’occasion de la polémique communément appelée « l’affaire Sokal », avec Alan Sokal dans le rôle du scientifique rigoureux engagé dans la « déconstruction » des postmodernes et de leurs idées. Cette controverse a inévitablement touché le monde des sciences sociales car, derrière les cibles officielles – la gauche académique américaine (incarnée par les cultural studies ) et « les intellectuels français » (du moins une sélection d’entre d’eux) –, ce sont les notions de « texte » et de « raison » qui ont été au cœur des débats.

Les réactions mitigées des anthropologues face à l’événement (entre le rire et l’agacement) rendent bien compte du malaise qui fut le leur pour interpréter celui-ci avec suffisamment de distance analytique. 1 Alan Sokal, « Transgressing the Boundaries. Impostures intellectuelles. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Impostures intellectuelles est un ouvrage d'Alan Sokal et Jean Bricmont publié en 1997[1]. L'ouvrage constitue une critique assez dure envers ce que les auteurs regroupent sous le nom de « philosophie postmoderne ». Il vise en particulier des penseurs qui utilisent les concepts ou le vocabulaire des mathématiques ou de la physique, relève des erreurs, dénonce des pensées vides de sens et commente des extraits de livres de Jacques Lacan, Julia Kristeva, Bruno Latour, Gilles Deleuze, Luce Irigaray, Jean Baudrillard, et Félix Guattari[1]. Une nouvelle édition, revue et augmentée, est sortie en 1999.

Contexte[modifier | modifier le code] Au cours du XXe siècle, la sociologie des sciences et la philosophie des sciences ont vu se développer des courants relativisant radicalement la valeur des thèses admises en science en tant que vérités. L'objectif de l'ouvrage[modifier | modifier le code] Réactions[modifier | modifier le code] Lire Sokal et Bricmont (2ème partie) 2. Quand un sociologue revisite la théorie de la relativité pour la faire coller à ses dadas Si un regard critique sur l’activité de production de connaissances scientifiques est éminemment utile, il paraît évident que ceux qui peuvent apporter ce regard historiens, sociologues, philosophes des sciences, ne peuvent le faire qu’en ayant acquis une maîtrise minimum de leur sujet, et le soucis de ne pas détourner, réinterpréter les lois découvertes par les sciences pour leur faire dire autre chose, les réinterpréter afin qu’elles collent à leurs propres théories sociologues philosophiques ou autres… L’examen des thèses sur la théorie de la relativité de Bruno Latour ou d’Henri Bergson, par exemple, montre que c’est loin d’être toujours le cas.

Nous nous concentrerons sur Bruno Latour dans la mesure où c’est un contemporain et que certains de ses écrits fleurent bon le post-modernisme qui nous préoccupe. Reprenons l’exemple de Latour de la pierre qu’on fait tomber du train en mouvement. Les mystifications philosophiques du professeur Latour. [Publié, sous le titre "Pourquoi j'ai écrit ma parodie" et avec l'omission malheureuse d'un paragraphe, dans Le Monde du 31 janvier 1997. Also available in English.] Le débat sur l'objectivité et le relativisme, la science et le postmodernisme, qui agite depuis huit mois les milieux académiques américains et en particulier ceux de gauche, est maintenant arrivé en France. Et avec quel éclat! A la suite de Denis Duclos (Le Monde du 3 janvier), voici que l'éminent sociologue Bruno Latour offre son interprétation de la soi-disant "affaire Sokal" (18 janvier).

Hélas, son article est trop audacieux et trop modeste à la fois. Trop audacieux lorsqu'il prétend, sans en apporter la moindre preuve, qu'"un très petit nombre de physiciens théoriciens, privés des gras budgets de la guerre froide, se cherchent une nouvelle menace" en s'attaquant aux intellectuels postmodernes. Plus audacieux encore, M. Trop modeste est M. Alan Sokal est professeur de physique à l'université de New York. Afis - Association française pour l'information scientifique.