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S’Tile fritte le silicium et vise une cellule solaire à moitié prix. Par Alexandre Simonnet le 09 juillet 2010 La start-up de Poitiers (Vienne) ambitionne de produire des plaquettes de silicium pour l’industrie photovoltaïque, par une technique de frittage de poudre de silicium, empruntée à l’industrie de la céramique. A terme, l’objectif est de fabriquer une cellule solaire dite « intégrée » ayant un rendement énergétique élevé, autour de 15 à 16%, avec un coût de production moitié moindre que les cellules au silicium classique. L’amont de la filière industrielle photovoltaïque est une faiblesse française, peu de sociétés étant spécialisées sur la production de cellules solaires, indispensables à la fabrication de panneaux, à l’exception de Photowatt.

S’Tile veut à la fois fabriquer des cellules et réduire leur coût de production de moitié, tout en gardant un rendement énergétique élevé. Levée de fonds en cours Grâce à cette structure à films minces sur substrat fritté, la société envisage de produire une cellule solaire intégrée. Alexandre Simonnet. About:blank. Des chercheurs de l'Université de Buffalo affirment avoir synthétisé une nouvelle classe de colorants photosensibles ayant pour effet d'augmenter considérablement l'efficacité des systèmes basés sur la lumière et produisant 2 types d'énergies renouvelables : l'électricité solaire et l'hydrogène pour la pile à combustible.

Pour produire de l'électricité, les colorants - appelés colorants chalcogenorhodamines - opèrent dans le même cadre qu'une cellule de type Grätzel qui convertit la lumière du soleil en courant électrique. Lorsque la lumière du soleil "frappe" le colorant, l'électron perdu par le pigment excité atteint la paroi conductrice et génére une différence de potentiel avec la paroi inférieure.

Le mécanisme de production d'hydrogène commence de la même façon : les rayons du soleil frappent le colorant, libérant ainsi des électrons. Ce type de cellule solaire a souvent été délaissé en raison de sa faible efficacité au profit des cellules photovoltaïques en silicium. 03/01/11 Grand Prix de l'Innovation 2010 pour Heliotrop > Solaire. Heliotrop, start-up dans le domaine de l'énergie photovoltaïque, a remporté mi-décembre 2010 le Grand Prix de l'Innovation, remis au cours d'une cérémonie à la Cité des Sciences et de l'Industrie de la Villette, animée par Nicolas Doze de BFM, en présence d'une foule nombreuse.

Heliotrop a déjà procédé à l'installation de sa première unité photovoltaïque à concentration (CPV), montée sur suiveur solaire (« tracker »), sur le site du CEA à Cadarache, dans les Bouches-du-Rhône. Avec cette technologie qui reste le fruit d'une collaboration avec le CEA-Liten (équipes de l'INES), Heliotrop rejoint la dizaine d'industriels dans le monde qui maîtrisent cette technologie et ouvre ainsi la voie à de nouvelles générations de centrales solaires à haut rendement. Les unités CPV Heliotrop s'installent au sol. Elles sont constituées de modules CPV, montés sur un suiveur solaire deux axes, qui ajuste son orientation avec la trajectoire du soleil. Vers des cellules solaires autoréparantes ! > Solaire. Des chercheurs ont conçu un nouveau type de cellule solaire en mesure de s'auto-réparer comme le font les systèmes naturels photosynthétiques chez les plantes, en utilisant non seulement des nanotubes de carbone mais aussi de l'ADN, une approche qui vise à accroître leur durée de vie et d'en réduire les coûts.

"Nous avons créé un photosystème artificiel utilisant des nanomatériaux optiques pour capter l'énergie solaire qui sera convertie en énergie électrique", a déclaré Jong Hyun Choi , professeur adjoint de génie mécanique à l'Université de Purdue. L'innovation exploite les propriétés électriques des nanotubes de structure appelés "carbone à paroi unique", et les utilisent comme des "fils moléculaires dans la capture de la lumière", ajoute J.H.Choi, dont le Groupe de recherche est basé à dans la Birck nanotechnology et les Centres de Bioscience de Bindley. "L'inconvénient principal de ces cellules photoélectrochimiques classiques reste leur dégradation". Une fenêtre en 2011 pour les cellules solaires du futur.