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Répétition

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Vladimir Maïakovski. Portrait de Vladimir Vladimirovitch Maïakovski en 1924.

Vladimir Maïakovski

Biographie[modifier | modifier le code] Portrait de Vladimir Maïakovski à 17 ans en 1910. Maïakovski adhère au Parti social démocrate (bolchévique) à 15 ans et participe aux manifestations révolutionnaires de 1905. Arrêté trois fois pour conspiration, il s'initie à la poésie alors qu'il est emprisonné à Boutyrskaïa en 1909. En 1911, il entre à l'École de peinture, sculpture et architecture de Moscou[1]. Vladimir Maïakovski et Lili Brik. Tout en exploitant cette nouvelle poésie, il en révolutionne les codes dans La Flûte en colonne vertébrale (aussi connue sous le nom de La Flûte des vertèbres, 1915) ou dans son Nuage en pantalon (1915), véritable manifeste du futurisme, qui est le fruit de sa relation troublée avec Lili Brik qu'il a rencontrée en 1915 alors qu'il entretient une relation avec sa jeune sœur Elsa Triolet.

Maïakovski et Lili Brik en 1918 revus par la censure dans les années 1960. Maïakovski est attiré par le cinéma. Lili Brik. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Lili Brik

Lili Brik en 1928. Lili Brik et Vladimir Maïakovski Lili Brik (en russe : Лиля Юрьевна Брик Lilia Yurievna Brik), née le 11 novembre 1891 (calendrier grégorien) à Moscou, nom de naissance Lilja Kagan (en russe Лиля Каган) et décédée le . Compagne de Vladimir Maïakovski, qui lui a dédié plusieurs poèmes, et sœur d'Elsa Triolet. En 1912, elle se marie avec Ossip Brik, un écrivain qui lui fait découvrir le monde artistique et avant-gardiste russe. Lili rejoindra en 1905 la Révolution russe. Elle rencontre Maïakovski alors qu'il entretient déjà une liaison avec sa sœur Elsa Triolet. Après le suicide de Maïakovski en 1930, elle se marie avec Vitaliy Primakov qui meurt en 1937. Lou Andreas-Salomé. Lou Andreas-Salomé Vue de la sépulture.

Lou Andreas-Salomé

Biographie[modifier | modifier le code] Son père Gustav Salomé (1804-1879) était issu d'une famille de huguenots originaire d'Avignon qui avait quitté la France après la révocation de l'édit de Nantes pour aller s'établir à Magdebourg puis dans les pays baltes[1]. À l'âge de six ans, il fut envoyé à Saint-Pétersbourg pour y recevoir une éducation strictement militaire. Après s'être distingué par sa vaillance au cours de l'insurrection polonaise de 1831, il fut élevé à la noblesse héréditaire par le tsar Nicolas Ier. La petite Louise grandit, « entourée d'uniformes d'officiers »[3], pour une large part à l'écart de la société russe, dans la petite communauté d'émigrés germanophones, pour laquelle son père avait obtenu du tsar l'autorisation de créer une Église réformée, devenue « une sorte de bastion de la foi pour les familles étrangères ».

Sa rencontre avec Nietzsche[modifier | modifier le code] La muse de Rilke[modifier | modifier le code] Extrait du texte. Ossip Mandelstam. Ossip Mandelstam, (1891-1938), né à Varsovie dans une famille de commerçants juifs, passe son enfance et sa jeunesse à Saint-Pétersbourg.

Ossip Mandelstam

Il participe dès 1912 avec les poètes Anna Akhmatova et Nicolas Goumilev à la fondation du mouvement Acméiste, dont il écrira l’un des manifestes, « Le Matin de l’Acméisme ». Il s’y démarque du symbolisme comme du futurisme en proposant comme modèle à la poésie l’architecture organique des cathédrales gothiques. Il publie trois recueils de poésie, La Pierre (1913, 1916, 1923), Tristia (1922) et Poèmes (1928), puis, en 1928, Le Timbre égyptien, recueil qui reprend la prose autobiographique Le Bruit du temps (1925) et Sur la poésie, un recueil de ses essais. Interview de Pascal Rambert sur le spectacle. Emmanuelle Béart. Audrey Bonnet. Stanislas Nordey. Pascal Rambert.

Musée Staline (Gori, Ukraine) Paul Rée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Paul Rée

Paul Ludwig Karl Heinrich Rée, né le à Bartelshagen, Poméranie et mort le à Celerina, Suisse, est un philosophe allemand. Biographie[modifier | modifier le code] Paul Rée est le second fils d'un propriétaire terrien juif originaire de Hambourg. Après une scolarité difficile en raison de problèmes de santé, il obtient l'Abitur en 1868 au lycée Joachim Faller de Berlin. Dès cette époque, son intérêt le pousse vers la philosophie morale, mais son père lui impose des études de droit, qu'il suit à l'université de Leipzig.

En mai 1873, alors qu'il rend une visite prolongée à Heinrich Romundt à Bâle, où celui-ci vient d'être nommé privat-docent de philosophie pour le semestre d'été, il fait la connaissance d'un jeune professeur de philologie classique avec lequel Romundt est lié depuis leurs études communes à Leipzig : Friedrich Nietzsche[1]. Grâce à L'Origine des sentiments moraux, Rée est promu docteur en philosophie par l'université de Halle.