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SCIENCE

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Une pile microbienne à plantes pour l’électricité de demain ? Des plantes vivantes pourraient être utilisées pour la production de bioélectricité ! Un prototype de pile microbienne vient d'être réalisé, alimenté par du glucose issu de la photosynthèse d’une plante. Les marais ou les rizières du globe pourraient de cette manière devenir des centrales électriques, ainsi que nos toits ! Marjolein Helder de l’université de Wageningen (Pays-Bas) et David Strik pourraient avoir trouvé une source d'énergie originale. Ces chercheurs ont utilisé la photosynthèse pratiquée par des végétaux supérieurs pour nourrir des bactéries produisant des électrons.

Le projet est certes toujours expérimental, mais des tests se sont montrés concluants. Les plantes ont recours à la photosynthèse pour fabriquer des sucres à partir d’eau, de gaz carbonique (CO2) et de lumière. Principe de fonctionnement d'une pile microbienne à plantes. Une pile microbienne alimentée par des plantes Des végétaux ont été mis en culture dans un milieu contenant des micro-organismes.

Des lucioles pour remplacer les éclairages LED? Des scientifiques de l’université américaine de Syracuse ont découvert un moyen d’exploiter la lumière naturelle émise par les lucioles; ce développement pourrait déboucher sur des produits d’éclairage sans batterie ni électricité dans un futur proche. par Sarah Korones Pour capturer la lueur chatoyante des insectes, une équipe de chercheurs dirigée par Mathew Maye a utilisé les nanotechnologies pour manipuler le processus grâce auquel les lucioles produisent une lumière naturelle, à savoir la bioluminescence.

Les lucioles brillent grâce à une réaction chimique entre la luciférine et une enzyme appelée luciférase. En laboratoire, les scientifiques ont fixé l’enzyme à une nanotige et ont ensuite ajouté la luciférine, qui a joué le rôle de carburant dans le processus de production de lumière. Lorsque les deux composants ont interagi, l’énergie libérée a été transférée aux nanotiges, les faisant briller. [via SU News] Image: université de Syracuse À lire aussi. L'eau de mer pourrait être utilisée comme carburant. Une invention qui va provoquer une véritable révolution | Brèves | ACME. Un chercheur réussit à faire brûler de l'eau de mer. John Kanzius a tenté de dessaler de l'eau de mer avec un générateur de radiofréquences qu'il avait créé pour traiter le cancer. Il a eu la surprise de sa vie lorsque l'eau qui se trouvait dans son éprouvette s'est enflammée. En quelques jours, il est parvenu à maîtriser le phénomène et l'eau dans l'éprouvette brûlait comme la mèche d'une chandelle.

Évidemment, une telle découverte a suscité énormément de scepticisme dans le milieu scientifique, mais également, chez certains, de l'émerveillement. Peut-on faire un carburant du liquide le plus répandu sur Terre? Rustum Roy, un chimiste de la Penn State University a recréé avec succès l'expérience en laboratoire, confirmant ainsi l'authenticité de la découverte de John Kanzius. De fait, l'eau de mer ne brûle pas réellement. Le docteur Kanzius expliquait que sa découverte est le fruit du hasard.

Des bactéries pour construire de meilleures routes. Les bactéries sont de plus en plus utilisées dans les technologies propres, comme nous l’avions montré avec la production de biocarburants. Désormais, ce sont les routes elles-mêmes qui pourraient être réparées à moindre frais grâce à ces micro-organismes (Cleantechnica). Remettre en état des routes, ça coûte cher. Surtout en période de ‘peak oil’ ou le pétrole, matière première utilisée dans la production de bitume, voit son prix augmenter au pire, fluctuer de manière brutale au mieux. C’était sans compter une alternative « bio » à l’asphalte. L’innovation, portée part Thomas Kosbau et Andrew Wetzler, a même remporté un prix en Corée pour ce « design vert ».

Encore une fois dans les cleantech, le gain est tant économique qu’écologique. Mieux, des routes de couleur claire comme le sable demanderaient moins d’énergie (de la même manière que certains souhaitent peindre les montagnes en blanc) pour être illuminées la nuit. TechnoPropres. A la découverte des abysses avec Virgin Oceanic. Richard Branson, le célèbre milliardaire aventurier et patron de Virgin, se lance dans un nouveau projet d’exploration. Après la conquête de l’espace avec Virgin Galactica, l’objectif est maintenant d’explorer les fonds marins avec Virgin Oceanic … Richard Branson a récemment dévoilé le Virgin Oceanic (début avril), ainsi que ses intentions d’envoyer le sous-marin explorer les cinq zones les plus profondes de nos océans : la Fosse des Mariannes à -11 033 mètres fait partie des objectifs (la plus profonde du monde) dans l’océan Pacifique, ainsi que la Fosse de Puerto Rico à -8 605 mètres entre la mer des Caraïbes et l’océan Atlantique ou encore la Fosse des Sandwich du Sud à -7 235 mètres dans le Sud de l’océan Atlantique … L’objectif de cette aventure est de découvrir un monde que nous ne connaissont pas !

Auteur : Fabien Fondateur de BuzzEcolo, je suis devenu blogueur un peu par hasard. Le plancton marin fossile a survécu à l'acidification des océans. Manger en 2040.

Biotechnologie

Risque. Pollution. Eau. Energie. Blogue - En Ontario, des idées géniales et écologiques contribuent à la création d’emplois. - Ministère de l'Environnement. Recherche. Informatique. Espace. Aquaculture. Botanique. Sante_medecine. Robotique.