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Informatique

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Google veut remplacer les mots de passe par une clé physique. Selon Wired, Google songerait à se débarasser du traditionnel mot de passe. C’est le Vice Président de la sécurité chez Google lui-même, Eric Grosse, qui évoque cette possibilité, dans un article à paraître ce mois-ci (le 28) sur IEEE Security & Privacy. Et comment s’il vous plaît ? Avec un dispositif physique comme une bague/anneau à puce, un smartphone ou encore une mini-clé USB contenant une puce. image : wired Actuellement, le mot de passe n’est plus suffisant pour assurer la sécurité d’un compte, même lorsqu’associé à des cookies.

Pas une journée ne passe sans que des comptes sensibles (et ceux de monsieur et madame tout le monde) se fassent pirater. La double identification déjà proposée par Google (password + code envoyé sur le smartphone via message texte) fonctionne très bien mais n’est pas parfaite, car attention si vous perdez votre téléphone mobile. Alors Google, c’est pour quand ? Des écrans solaires pour les tablettes de demain. LG ne l’a pas encore annoncé officiellement, mais un nouveau smartphone de la marque coréenne retient l’attention. Au format slide, il est équipé de deux écrans. Fonctionnant sous Android, ce mobile a été aperçu lors d’un évènement Orange au Royaume-Uni.

Fermé il a l’allure d’un smartphone classique avec un grand écran tactile. Une fois ouvert, il découvre un écran coincé dans le clavier physique. S’y affichent des raccourcis vers des applications courantes. On peut également imaginer y mettre des widgets. On se souvient qu'en 2008, LG avait présenté au Mobile World Congress un appareil similaire (KF600). Culture geek : utiliser son visage comme mot de passe. Les usages de l'iPad en Angleterre. L'évolution du téléphone mobile en 1 image.

Fujitsu IRIS, quand l’écran s’efface pour multiplier les usages. À l’heure où l’iPad domine largement le marché et la concurrence limite la prise de risque, Fujitsu a révélé plusieurs images d’un concept de tablette sur lequel planchent ses équipes de R&D. Nommé IRIS, il s’agit d’une tablette tactile équipée d’un écran OLED transparent. L’appareil est alimenté par une batterie rechargeable sans fil (technologie électromagnétique comme sur la feu tablette TouchPad ou le Palm Pre). Au-delà de ce défi technique, l’utilisation d’un écran transparent décuple les usages possibles.

L’IRIS peut devenir une tablette graphique, comme montrer sur l’image ci-dessus, où le bon vieux papier calque risque de perdre de son intérêt. L’emploi de la réalité augmentée laisse imaginer une tablette qui pourrait analyser les textures et les couleurs du document présenté pour proposer à l’utilisateur de les réutiliser ou de les modifier. Mais cette tablette a plus d’un atout dans son sac. Comme le montre ce montage, elle peut se transformer en scanner à main. Ordinateur DIY incrusté dans le bureau. Voici un ordinateur entièrement personnalisé [DIY], réalisé à l’intérieur même du poste de travail.

Un véritable chef d’oeuvre de maître avec 3 écrans, dont 2 verticaux, et une surface de bureau vitrée/illuminée. Fait en verre et en aluminium, cet ordinateur fonctionne avec un système de refroidissement liquide (eau). Caractéristiques techniques : 10TB de disque dur, processeur 4.5-GHz Intel Core i7 980X, Corsair Dominator GT 6GB DDR3-2000 CL7 RAM, ASUS Rampage III Extreme ASUS GTX580 SLI, Highpoint RocketRAID 3560 24x SATA-300 2GB, 6x Hitachi Deskstar 7K2000 12TB raid5. Tous les détails sur coolermaster. [casemod2011] Des physiciens trouvent l'algorithme manquant à l'ordinateur quantique. Une équipe internationale de physiciens a trouvé un important algorithme manquant aux futurs ordinateurs quantiques: la version quantique de l'algorithme de Metropolis.

Cette découverte, publiée dans la revue Nature, permettra aux futurs ordinateurs quantiques de simuler la nature ou encore l'évolution de systèmes quantiques avec bien plus de précision et plus efficacement qu'il ne sera jamais possible de le faire avec des ordinateurs conventionnels. Une astuce mathématique de plus de 80 ans Provenant de l'Allemagne, de l'Autriche et du Canada, les chercheurs butaient depuis quelques années sur un problème d'irréversibilité (La réversibilité et l’irréversibilité sont des concepts importants en physique et tout particulièrement en thermodynamique.) typique de la physique (La physique (du grec φυσις, la nature) est étymologiquement la « science de la nature ».

Dans un sens général et ancien, la physique désigne la connaissance de...) quantique. La promesse d'un prix Nobel enfin tenue. Une nouvelle start-up vous permet de diminuer vos notes de téléphone | Créativité & Technologie. Un futur fait de verre et d’interfaces tactiles. Apple a permis l’émergence des interfaces tactiles. Microsoft développe de nouvelles expériences avec Surface, et Google offre un support libre et accessible avec Android. La technologie actuelle transforme déjà le verre en un support multi-touch et nous pouvons imaginer un avenir où les écrans tactiles nous suivent partout! Corning Incorporated vous propose de découvrir sa vision de l’avenir, à travers une journée faite de verre. Rédigé par Christophe Lefevre multi-touch. Imiter le cerveau humain pour doubler les débits Wi-Fi.

Des chercheurs à Stanford (Californie) sont en train de doubler les débits Wi-Fi grâce à une technique permettant de faire transiter simultanément sur un même canal les données envoyées et reçues. Actuellement, toutes les communications se font comme sur un walkie-talkie ou pour les aiguilleurs du ciel (Le ciel est l'atmosphère de la Terre telle qu'elle est vue depuis le sol de la planète.): chacun parle à son tour. Ainsi, les chercheurs américains ont concentré leurs efforts sur les radios full duplex. L'idée, toute simple, a émané d'étudiants qui ont réfléchit à une nouvelle approche: et s'il suffisait de copier le cerveau (Le cerveau est le principal organe du système nerveux central des animaux. Les inventeurs ont déposé un brevet temporaire sur la technologie (Le mot technologie possède deux acceptions de fait :), et travaillent sur sa commercialisation, en attendant de l'améliorer (distance, débit). La Russie construit une «Silicon Valley» d'après un projet français.

Google Shopping : vendre ses produits en ligne avec Google. Le référencement des produits d'une boutique de commerce électronique passe bien sûr par une stratégie SEO "classique" dans les résultats de Google Web Search. Mais l'arrivée de Google Shopping en France, il y a quelques mois de cela, propose un nouvel outil qu'il est nécessaire d'appréhender au mieux pour optimiser sa visibilité "moteur".

Comment fonctionne ce service et comment y apparaitre au mieux pour obtenir de nouvelles visites sur son site ? C'est ce que nous allons vous expliquer ici... Cet article fait partie de la Lettre Recherche et Référencement #123 du mois de février 2011 Début de l'article : Le positionnement de Google sur le commerce en ligne ne date pas d'hier : en 2002, le site Froogle est lancé pour le marché américain. Il s'agit d'un comparateur de prix, dont le nom est dérivé de l'adjectif "frugal", et dont le but est d'aider les internautes à trouver de bonnes affaires. Froogle en 2004 (source Wayback machine : Google propose un filtre de recherche pour les recettes de cuisine. Les scientifiques de Yahoo! explorent les "3 dimensions du search"

Les 25 sites les plus pénalisés par le nouvel algorithme de Google. L'avenir de la science ou le buzzword du mois? Le « cloud computing », joliment traduit par informatique en nuage, est un autre de ces mots-magiques (buzzwords dans la langue de Bill Gates) à propos desquels on nous promet monts et merveilles. Pourtant, si le principe est assez large pour représenter plein de choses aussi banales que Gmail —la possibilité d’entreposer vos données sur Internet et de les rendre accessibles à d’autres— il y a également des applications en science. Et pas que de banals échanges de documents : si ses promoteurs ont raison, ce n’est rien de moins qu’une nouvelle façon de faire de la science qui est en train d’émerger. Mais si tel est le cas, il y a de quoi trouver modeste l’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS) qui, dans le cadre de son congrès annuel tenu ces jours-ci à Washington, n’a consacré qu’un seul atelier, relativement peu couru, à cette « révolution ».

C’est ce sur quoi a insisté, dans sa synthèse de fin de séance, Michael Nelson, de l’Université Georgetown.