background preloader

Blogs formidables

Facebook Twitter

Art | La boite verte - Page 7. Un bol de thé ou "l'art de l'imparfait" Claude Lévi-Strauss et sa femme Monique à Tokyo, avril 1986. (Photo du Nouvel Observateur) A la fin de sa vie, Claude Lévi-Strauss s’était pris d’une passion pour la culture japonaise. Aujourd’hui, 31 mars, paraissent en librairie deux inédits publiés aux éditions du Seuil:- L’anthropologie face aux problèmes du monde moderne rassemble trois conférences données à Tokyo- L’autre face de la lune contient des textes consacrés à la civilisation japonaise. Le Nouvel Observateur de cette semaine publie quelques extraits de ces livres. L’un deux a particulièrement retenu mon attention. Il y est question de Sengaï un peintre et moine japonais (1750-1837). « Sengaï se situe dans la filiation spirituelle des maîtres de cérémonie du thé qui, dès le XVI° siècle recherchaient en Corée et en Chine les ustensiles les plus grossiers et les plus humbles : bols à riz de paysans pauvres, fabriqués sur place par des artisans de village.

365 jours ouvrables. Ah-yi. Ii-ne-kore. March 2009. Pierre Bergé et la Chine se livrent à un véritable bras de fer pour décider qui gardera les fameux bronzes chinois. Si Pékin revendique l'appartenance de ces têtes de rat et de lapin, volées au pays au XIXe siècle, Pierre Bergé ne l'entend pas de cette oreille. Récit d'une bataille acharnée et chaotique remportée pour l'instant par Pierre Bergé. Marie Desnos - Parismatch.com * * * * Pierre Bergé veille à son grain. Depuis que la Chine a fait savoir son intention de récupérer les bronzes chinois dérobés lors du ‘sac du palais d’été’ au XIXe siècle, l’homme d’affaires et collectionneur Pierre Bergé a bien fait comprendre qu’il n’en était pas question. Il l’a réaffirmé lundi, alors que le Chinois acquéreur de ses deux pièces d’exception a avoué qu’il ne pouvait, ni ne comptait, payer son dû. Association Et Alors... Art Contemporain. Association pour l'Art Contemporain │ Artistes │ Archives │ Alentours │ À lire │ Acquérir │ Liens │ Contact ↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓↓ Yvonne Ravachol son parcours dans le domaine de la formation, des ressources humaines et de la communication, se poursuit dans le cadre d'un Doctorat en Sciences de l'éducation à l'Université Lyon 2 et au CNAM à Paris.

Elle centre ses recherches sur : Les contraintes professionnelles, leur représentation et la construction de soi, dans un milieu singulier : les personnes exerçant des métiers artistiques. Et, «Les artistes l'ont eue» depuis, elle se consacre à développer ses connaissances dans cet univers et à intervenir auprès de certains d'entre eux pour les encourager, faire connaître leurs travaux et leurs démarches. Bernard Bonhomme étudie aux Beaux-Arts de Saint-Étienne et continue sa formation artistique à l'ENSAD et l'ENSBA de Paris. . • Un financement constitué par des fonds privés (adhésions, dons des membres, des bienfaiteurs). © Photos TP. Made In Tokyo » 2008 » mai. En passant rapidement à Ginza, je fais un détour vers le Shizuoka Press and Broadcasting Offices près de la station de Shimbashi. Je suis passé très souvent devant ce mini-immeuble mais à moto et sans prendre le temps de m’arrêter, d’en faire le tour et de le prendre en photo.

Cet immeuble date de 1967, créé par Kenzo Tange un an après la structure brutaliste du centre Yamanashi Press and Broadcasting. Cette petite tour moderne en coin de rue se présente comme un arbre, avec son large cylindre sur lequel viennent se poser des boîtes contenant des bureaux. Cette ramification laisse penser que cet immeuble est à structure variable, évolutif avec possibilité de croissance organique, comme une plante, suivant l’idée du courant métaboliste. Kenzo Tange avec son plan pour Tokyo de 1960 (photo à droite ci-dessus: la ville s’étend sur la baie de Tokyo, sur un axe central ramifié) a été une influence pour ce mouvement métaboliste, sans en faire directement partie. Flop. Pour celui qui recherche le quart d'heure incognito, qui fuit l'actu toujours plus chaude, et les égos grand comme la cathédrale de Strasbourg (n'est ce pas mademoiselle fred), il existe peut être un ilot rafraichissant de douceur, d'humilité ,de minutes qui s'écoulent sans que l'on ne courre après.

Et cet ilot on le doit à Saul Leiter, photographe new yorkais exposé à la fondation HCB . Saul Leiter a stoppé net ses études rabbinique du Telshe Yeshiva Rabbinical College de Cleveland pour devenir peintre, puis découvrir la photographie. celle-ci a énormément gagné à cet inflexion de cursus. On découvre à la fondation, des photos tout en douceur, timides, les sujets de dos ou tenus à distance par des vitres et autres miroirs. Saul Leiter n'a pas voulu se mêler aux mondanités de la vie photographique arty de ny, pour lui l'essentiel après une journée de travail pour harper's ou vogue, était de rentrer chez lui retrouver sa famille. Tas-ka. LULLY CONSEIL : de vins, de vignes et de passions… Fine little day. Atelier des trois bornes. Le Journal des Vitrines ? par St?phanie Moisan. Cassandre montoriol. Léo's.