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Nan: Post Road #14. Nathaniel Bellows By the time Nan was a sophomore in college, she’d settled in—but only academically, which was what she figured would happen. Her teachers admired her—they said they respected that her ideas were based on her impressions rather than her speculations. She didn’t know what that meant, but she never attempted to decode the praise of her professors—it was the delivery, the facial expression, how their hands moved in the air, the tone of voice, that seemed to communicate what she was meant to understand, like when she was at home, in Vermont, where the science behind the sunlight, the snow squalls, and the changing leaves seemed secondary to the fact that, more than anything, being in and among them made her feel alive.

Since she declared her major, never was this feeling of intangible appreciation more powerful than with her adviser in the English department. “I’m glad you liked the place,” he said. “I would be too,” she said. He looked at her and tilted his head, smiling. Share Your Poetry and Stories Writing Site. A vos plumes ! :: De l'orthographe et de son impact sur la lecture ici. Ambre, dans la vraie vie, je suis orthophoniste.

Je fais donc partie des gens qui considèrent que les fautes ça n'est pas éliminatoire pour écrire, je vois des jeunes qui en font beaucoup plus que toi, et ça n'empêche pas qu'ils aient des idées très chouettes à mettre sur le papier. Mais, car il y a un mais, je considère que c'est éliminatoire pour lire, c'est certain. Et pourtant, crois-moi, je suis entraînée. Mais quand je viens sur AVP, j'y viens en tant que lectrice, pas en tant qu'ortho. Et en tant que lectrice, si le texte n'est pas un peu mieux corrigé, je ne peux pas accéder au fond. Et donc pas faire de commentaires qui te permettraient d'évoluer. Tu as "le droit" de faire des fautes, et c'est plutôt à ton honneur que d'essayer d'écrire malgré ça.

Le but d'AVP est de chercher/trouver des avis sur les textes, et tu en obtiendras de très intéressants. Bon courage! Traces de vie. Une revue. Marina Skalova | Exploration du flux II , "Le migrant c’est celui qui est fluctuant, c’est-à-dire changeant, hésitant, indécis. " M.S. || Petite vie, Roman de Patrick Varetz || Christiane Rochefort, profession : écrevisse, Parution de Journal pré-posthume possible. || Laurent Grisel | les Mundurukus, Une séquence de Climats. || Toutes tuées, « Dire pour s'en sortir / et marcher dehors / à l'endroit et à l'envers de la douleur », Jean-Claude Leroy …voir le sommaire complet Thierry Romagné & Patrick Bazin | Le dit de l’interdit, Tournez la tête, suivez-moi, sautez par-dessus vos deux mains. || Les chemins de retour, « Inventer, c'est fouiller dans ce qui existe », Alfons Cervera || Anima(s) version(s) / Jessica Gallais, Lu par Jean-Pascal Dubost || Numéro six / Hervé Bouchard, « Le six qu’on ne voit pas c’est par lui que nous sommes là. » || Eric Houser | In statu nascendi, Note de lecture de Ça et pas ça de Pierre Le Pillouër.

…voir le sommaire complet …voir le sommaire complet. Introduction - Journal Intime.com. 2007 : Un autre regard sur l'intime L'écriture est un défouloir. Une possibilité d'échapper au quotidien pour mieux y revenir. Un moyen simple de prendre du recul et avoir une autre vision sur sa propre vie, ses propres actes. C'est un extraordinaire moyen d'évasion et de rêve mais également un très bon outil de synthèse. C'est une aide au quotidien pour la mémoire, pour savoir rester soi-même. Le propre d'un journal intime c'est d'être privé, intime. L'intime n'est pas le secret. La question sera encore souvent et longtemps posée : un journal intime en ligne est-il toujours intime ? 2005 : Ecrire contre l'oubli Ecrire pour soi est un défi.

On écrit contre l'oubli, mais plus encore contre notre oubli. 2002 : la genèse St Etienne, été 2002 Le vide. Et on oublie, on oublie tout le plus vite possible. Comme la plume reste notre amie mais refuse obstinément de nous aider, nous l'avons tranquillement rangée et avons cherché un confident plus loquace.