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La guerre de Papa

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CERCLE ALGERIANISTE DE GRENOBLE, DE L'ISERE ET DE SA REGION. Par Gilbert JOLY Mieux que Fabrice — héros stendhalien — relatant la bataille de Waterloo, Gilbert Joly, officier de réserve, ingénieur de profession et bâtisseur de ponts très au-delà de l'Hexagone, nous fait revivre l'épopée du Corps expéditionnaire français en Italie (1943-1944).

CERCLE ALGERIANISTE DE GRENOBLE, DE L'ISERE ET DE SA REGION

Il souligne notamment l'imposante stature et l'incontestable autorité du maréchal Juin que rappelait notre excellent ami, le général Bonhoure, dans un précédent numéro de l'Algérianiste. De tels témoignages sont nécessaires à notre mémoire collective. Ils participent au combat pacifique mené sans relâche pour notre existence et notre reconnaissance. Car oui, nous étions au Belvédère, à Cassino, à Rome... à Sienne. Dès l'armistice de 1940 commence en A.F.N. le camouflage du matériel de guerre et des effectifs.

Giraud suivra tant bien que mal. Le Corps Expéditionnaire Français en Italie (CEFI) En Tunisie, les Français ont souvent combattu avec des moyens réduits et la décision finale n’est intervenue qu’après le renforcement des unités américaines.

Le Corps Expéditionnaire Français en Italie (CEFI)

En Italie, au contraire, nous allons voir les forces françaises réarmées mener le jeu et, après l’échec de plusieurs actions frontales menées par nos alliés, rompre le front ennemi par la manœuvre, en combinant le sens tactique avec, cette fois, la puissance du matériel. Après avoir conquis la Sicile, les anglo-américains, sous commandement du général anglais Alexander, effectuèrent un difficile débarquement à Salerne, le 9 septembre 1943 ; ils prirent Naples le 1er octobre mais se trouvèrent rapidement bloqués par les forces du Maréchal Kesselring qui disposait, dans son Groupe d’Armées, de vingt-cinq divisions aguerries ; en effet, pour l’Allemagne, l’attaque de l’Italie était le début de l’attaque de la forteresse Europe.

Cliquez sur la carte pour l’agrandir. La_campagne_italie.pdf. Goumiers marocains. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Goumiers marocains

D'abord supplétifs, puis réguliers, les goumiers se sont surtout illustrés lors de la Seconde Guerre mondiale, entre 1942 et 1945, période au cours de laquelle les quatre groupements de tabors (régiments), les tabors (bataillons) et goums (compagnies), principalement sous les ordres du général Guillaume, ont obtenu, entre 1942 et 1945, dix-sept citations collectives à l'ordre de l'armée et neuf à l'ordre du corps d'armée[1], puis en Indochine de 1946 à 1954. Le 2e groupe de tabors marocains (2e GTM) est, après le 2e régiment de chasseurs parachutistes, l'une des six unités d'infanterie les plus décorées de la Seconde Guerre mondiale avec le 3e régiment de tirailleurs algériens, le 4e régiment de tirailleurs tunisiens, le Régiment de marche du Tchad, la 13e demi-brigade de Légion étrangère et le Bataillon d'infanterie de marine et du Pacifique (BIMP).

Étymologie[modifier | modifier le code] Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code] Corps expéditionnaire français en Italie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Corps expéditionnaire français en Italie

Le CEF s'est particulièrement illustré au cours de la bataille du Monte Cassino lors de la percée de la ligne Gustave en mai 1944 qui permit aux Alliés de reprendre leur progression vers Rome, interrompue depuis janvier 1944. En 1944, il redonne à la France son prestige et son rang de quatrième grande puissance[1]. Sa réputation est néanmoins ternie par l'importance des exactions, ainsi que par les nombreux viols, commis envers les populations civiles qui iront jusqu'à provoquer un scandale diplomatique. Composition et effectifs[modifier | modifier le code] En mai 1944, le CEF comporte 112 000 hommes[2], dont 60 % de Maghrébins commandés par des officiers français[3],[4], 12 000 véhicules et 2 500 chevaux et mulets. Une cinquième division, non rattachée au CEF, la 9e D.I.C. du général Magnan sera engagée en juin 1944 dans la conquête de l'île d'Elbe.

Infanterie[modifier | modifier le code] Artillerie[modifier | modifier le code] 69-2nde-Guerre-Mondiale-16. 07.jpg (JPEG Image, 1158 × 771 pixels) - Scaled (88%) 69-2nde-Guerre-Mondiale-16. Etapes vers la victoire n°1 : de Tunis à Rome. - ECPAD. Après une rapide présentation du contexte historique (défaite de la France et signature de l’armistice à Rethondes), les différentes étapes de l’avancée alliée, particulièrement celle des Forces Françaises Libres, sont relatées : débarquement américain en Afrique du Nord (8 novembre 1942), Tunisie (novembre 1942 – mai 1943), Corse (septembre – octobre 1943), Italie (décembre 1943 – juillet 1944), Ile d’Elbe (juin 1944).

Etapes vers la victoire n°1 : de Tunis à Rome. - ECPAD

Répondant à l’appel lancé par le général De Gaulle, des Français rejoignent les forces alliées. Après le débarquement allié en Afrique du Nord commence la campagne de Tunisie où s’illustre la colonne Leclerc. En mai 1943, après Bizerte, Tunis est libérée : la vie quotidienne y reprend tandis qu’un grand défilé rassemble la musique de la Légion étrangère, les tirailleurs, les spahis mais aussi les chars et les automitrailleuses. Le général De Gaulle se rend par avion près d’Alger pour s’entretenir avec le général Giraud. Informations sur la vidéo. Débarquement de Provence. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Débarquement de Provence

Le débarquement en Provence est une opération militaire menée pendant la Seconde Guerre mondiale (nom de code Anvil Dragoon) à partir du 15 août 1944 par les troupes alliées dans le sud-est de la France (entre Toulon et Cannes). Etapes vers la victoire n°1 : de Tunis à Rome. - ECPAD. 1944-45: 1ere armée francaise, campagne rhin et danube. C'est en 1943 que le général Giraud, commandant en chef de l'armée francaise de la liberation, decreta la mobilisation générale en Afrique: pieds-noirs (formant le plus large contingent), africains noirs, algeriens, tunisiens et marocains furent mibilisés, portant les effectifs des lforces armées francaise a 700 000 en Juin 1944, dont 450 000 pour l'armée de terre.

1944-45: 1ere armée francaise, campagne rhin et danube

Entretemps, 35 000 Corses s'etaient joints a l'affaire. De la Fin 1943 a juin 44, pres de 130 000 soldats francais (a l'apogée du corps expeditionnaire francais) combattirent en Italie sous les ordres du général Juin. Les hommes restant etaient mis sous les ordres du général De lattre de Tassigny pour parfaire leur formation et leur organisation. Le corps de bataille francais devait notamment se composer de 12 divisions, dont 4 blindées au depart et de nombreux groupements et regiments non-endivisionnés.

Soit 260 000 hommes au depart (ce nombre grandira ensuite) dont environ 100 bataillons d'infanterie. Pensées sur la planète: Merci les Africains. Google Traduction. Titre de page. Ordre de la Libération. Edgard de Larminat Malgré sa blessure, il refuse de se faire évacuer avant la fin des opérations.

Ordre de la Libération

Lieutenant en décembre 1916, capitaine en septembre 1917, il est intoxiqué par les gaz en mars 1918 et une troisième fois blessé par éclat d’obus en juin. 1943. La Bataille pour Toulon. Interior_officier.pdf. Grandes unités composant la 1ère Armée française. 1er CORPS D’ARMEE Général BETHOUART Divisions ayant, le plus souvent, fait partie de ce Corps d’Armée : 2ème Division d’Infanterie MarocaineGénéral DODY puis Général CARPENTIER9ème Division d’Infanterie ColonialeGénéral MAGNAN puis Général MORLIERE puis Général VALLUY 4ème Division Marocaine de MontagneGénéral SEVEZ puis Général de HESDIN1ère Division BlindéeGénéral TOUZET DU VIGIER puis Général SUDRE 2ème CORPS D’ARMEE.

Grandes unités composant la 1ère Armée française

La Bataille pour Toulon.