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Charles Manson. The New York Dolls. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. New York Dolls Les New York Dolls en 2006 Les New York Dolls est un groupe de rock américain fondé en 1971 à New York et dissous en 1977. Ils sont l'exemple typique de musiciens rock flirtant avec l'imagerie dérangée et réinventant les « Années folles ». Leur musique est un condensé de glam rock, leur attitude est glam également et leur look aussi important dans l'histoire que leur musique (sinon plus) est dans cette même lignée : perruques, travestissement et maquillage outrancier. En 1975, Thunders et Nolan quittent le groupe pour former The Heartbreakers. En 2004, les New York Dolls se reforment à la demande de Morrissey qui s'occupe cette année-là de la programmation du Meltdown Festival. Histoire[modifier | modifier le code] New York Dolls en 1973.

De retour à New York, le groupe engage Jerry Nolan. Discographie[modifier | modifier le code] Albums[modifier | modifier le code] Compilations[modifier | modifier le code] Shadows of Knight. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Shadows of Knight Les membres du groupe en 1966 Shadows of Knight est un groupe de rock garage américain formé en 1966 à Chicago. Histoire[modifier | modifier le code] Le groupe s'est formé en 1964 sous le nom de The Shadows avant d'opter pour Shadows of Knights afin d'éviter toute confusion avec les Shadows britanniques. Le groupe sort son premier single chez Dunwich Records en 1966 : Gloria, une reprise du tube de Them, qui se classe à la 10e place des charts.

Un premier album, également intitulé Gloria et comprenant de nombreuses reprises, sort peu après. Le groupe était composé de: Warren Rogers (guitare), Roger Spielmann (guitare/chants) Norm Gotsch (guitare), Wayne Pursell (basse), Tom Schiffour (batterie), Jim Sohns (chants). Liens externes[modifier | modifier le code] Site officiel Portail du rock. Sex Pistols. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sex Pistols Les Sex Pistols en concert à Amsterdam en 1977 Les Sex Pistols sont un groupe de punk anglais formé en 1975 à Londres, connus pour être les initiateurs du mouvement punk au Royaume-Uni[1]. En janvier 1978, après une tournée mouvementée aux États-Unis, Johnny Rotten quitte le groupe, annonçant ainsi sa dissolution. Pendant les quelques mois qui suivent, les trois membres restant enregistrent plusieurs chansons pour le film de Julien Temple, The Great Rock 'n' Roll Swindle.

Une "fable" selon Temple dans laquelle Malcolm McLaren se moque des médias qui lui ont tant reproché de n'avoir été là que pour l'argent. Beaucoup moins drôle, Sid Vicious meurt quelques mois plus tard d'une overdose à New York[6]. En 1996, Lydon, Cook, Matlock et Jones se réunissent à nouveau, et partent en tournée de juin à décembre 1996.

Histoire du groupe[modifier | modifier le code] Origines et formation[modifier | modifier le code] Count Five. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Count Five Histoire[modifier | modifier le code] Le groupe est formé en 1964 autour de deux amis de lycée, John « Mouse » Michalski (guitare) et Kenn Ellner (chant / harmonica). Après s'être appelé quelque temps The Squires, le groupe devient Count Five et sa formation se stabilise l'arrivée de Roy Chaney (basse), John « Sean » Byrne (chant / guitare rythmique) et Craig « Butch » Atkinson (batterie). La composition de Byrne Psychotic Reaction devient rapidement le point culminant de leurs concerts. Ils sont immortalisés en 1972, quand Lester Bangs publie son célèbre article « Pyschotic Reactions and Carburetor Dung ». Postérité[modifier | modifier le code] The Count Five ne s'est reformé qu'une seule fois, à l'occasion d'un concert dans un club de Santa Clara appelé « One Step Beyond », le 11 avril 1987.

Dans les années 1990, Roy Chaney fonde le groupe The Count avec Byrne et le batteur Rocco Astrella. Membres[modifier | modifier le code] MC5. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Réputé pour ses performances scéniques explosives, le groupe eut pourtant une carrière professionnelle assez courte et fut rapidement oublié par ses contemporains. Souvent cité comme influence majeure par les groupes punk de la fin des années 1970, il acquit toutefois plus tard un statut de « groupe culte » qu'il conserve encore aujourd'hui. Leur morceau le plus connu, Kick Out The Jams, a été repris par de très nombreux artistes. Membres[modifier | modifier le code] Biographie[modifier | modifier le code] Les débuts[modifier | modifier le code] L'histoire du MC5 commence par une amitié entre deux lycéens américains, tous deux chanteurs et guitaristes, Wayne Kramer et Fred Smith. Fort d'un succès local bientôt suffisant pour qu'ils puissent vivre de leur musique, les musiciens engagent comme bassiste le jeune Rob Derminger.

Début 1965, Tyner réintègre pourtant le groupe, mais cette fois en tant que chanteur. Albums[modifier | modifier le code] The cure fight. Gene Vincent. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gene Vincent Gene Vincent (1967) Biographie[modifier | modifier le code] Premières années (1935-1955)[modifier | modifier le code] Débuts musicaux (1955-1956)[modifier | modifier le code] En septembre 1955, à Norfolk, il voit sur scène Elvis Presley, encore peu connu[6]. Il se marie le avec Ruth Ann Hand[8]. Le même mois, il participe à un concours de chant dont un membre du jury est Sheriff "Tex" Davis[9], animateur de WCMS, une radio de Norfolk. Années de succès (1956-1958)[modifier | modifier le code] Période Cliff Gallup (1956)[modifier | modifier le code] Le , le groupe arrive au studio d'Owen Bradley, à Nashville, où ont précédemment enregistré Buddy Holly et Johnny Carroll.

Du 24 au 27 juin, dans des conditions de live, le groupe enregistre son premier album. Du jour au lendemain, Gene et ses quatre musiciens se voient propulsés au sommet du nouveau show business rock 'n' roll. Le 23 septembre, sort le troisième single, Bluejean Bop. The Stooges. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. The Stooges Les Stooges en 2010 Histoire[modifier | modifier le code] Formation (1967–1968)[modifier | modifier le code] Adolescent, Iggy Pop (de son vrai nom James Newell Osterberg) joua dans divers groupes de Ann Arbor, parmi lesquels The Iguanas puis The Prime Movers. The Prime Movers surnommèrent Osterberg "Iggy" en référence à son précédent groupe. Osterberg décida de former The Stooges après sa rencontre avec le batteur de blues Sam Lay lors d'une visite à Chicago.

Luttes commerciales, l'album éponyme et Fun House (1968–1971)[modifier | modifier le code] The Stooges furent très vite réputés pour leur attitude sauvage et primitive sur scène. En 1968, The Stooges signent un contrat avec Elektra Records, qui avait dépêché un émissaire nommé Danny Fields pour voir MC5. Un second album, Fun House, suivit en 1970, auquel participe le saxophoniste Steve Mackay.

Raw Power et la séparation (1972–1974)[modifier | modifier le code] The Stooges en 2007. Alice Cooper. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Cooper. Alice Cooper Alice Cooper en 2007. Après la dissolution du groupe, en 1974, Vincent Furnier entame une carrière solo, en conservant le pseudonyme d'Alice Cooper, et sort l'année suivante l'album conceptuel Welcome to My Nightmare qui connaitra un succès retentissant.

Sur la liste des 100 Greatest artists of Hard Rock (bien que ce classement soit censé classer seulement des artistes de hard rock, il comprend des artistes de plusieurs genres de rock) de VH1, Cooper est classé 20e[8]. Enfance[modifier | modifier le code] The Alice Cooper Group[modifier | modifier le code] Des clubs au succès[modifier | modifier le code] Des groupes-phares comme les Yardbirds, The Doors, The Who, The Beatles et The Rolling Stones comptent parmi les principales inspirations musicales du Alice Cooper Group, qui développe un shock rock direct et énergique.

Début d'une légende[modifier | modifier le code] Ramones. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. The Ramones Les Ramones sur scène en 1980 à Oslo. Les membres du groupe adoptaient des pseudonymes finissant par le nom « Ramone ». Ils firent 2 263 concerts, tournant pratiquement sans arrêt pendant 22 ans[2]. Histoire[modifier | modifier le code] 1973-1975 : quatre garçons du Queens[modifier | modifier le code] « Quand j'avais quinze ans, j'ai commencé à acheter de la dope à la fontaine de Central Park et je la ramenais dans mon quartier du Queens. John Cummings est l'unique fils d'un ouvrier en bâtiment. Johnny travaille pour une entreprise de nettoyage à sec, et Dee Dee le voit régulièrement faire ses livraisons. « Je le trouvais cool parce qu'il s'habillait comme il voulait, même pour le boulot. . « On en avait tout spécialement après les petites vieilles qui poussaient leur caddie plein de commissions. » Plus tard, sa mère renvoie Joey de chez elle, « pour son propre bien ».

Ce projet est mis à exécution le vendredi , jour de paye. Buddy Holly. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Holly. Buddy Holly Biographie[modifier | modifier le code] En 1941, Buddy Holly effectue sa première apparition sur scène en compagnie de ses frères Larry et Travis. Ils gagnent ce jour-là, un prix après avoir chanté « Down the river of memories ». Vers l’âge de 11 ans, Buddy étudie le solfège et le piano. Les débuts[modifier | modifier le code] En 1949, il forme un duo avec un ami rencontré au lycée, Bob Montgomery.

Durant un second voyage à Nashville 1956, Holly eut recours aux services de J.I. Lors d'une dernière session avec Decca, Grady Martin, talentueux musicien de studio de Nashville ayant aussi participé aux enregistrements de Johnny Horton, Brenda Lee, Johnny Burnette et de nombreux autres artistes, prit la relève de Curtis sur « Modern Don Juan » et une ultime version de « Rock Around With Olie Vee » - cette dernière pièce impliquant aussi le « session man » Buddy Harmon à la batterie.

Phil Spector. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Phil Spector Photo d'identité judiciaire de Phil Spector (2009) Phil Spector, né Harvey Phillip Spector[1] le [2] dans le Bronx à New York est un producteur et un auteur-compositeur américain, actuellement en prison car reconnu coupable du meurtre de l’actrice Lana Clarkson en 2003. Il y purge depuis 2009 une peine de 19 ans incompressibles[3]. Jeunesse[modifier | modifier le code] Phil Spector nait le 25 décembre 1939 dans une famille juive de la classe moyenne, à New York, dans le quartier du Bronx.

Son grand-père a émigré de Russie avec le patronyme « Spekter », puis a anglicisé son nom en « Spector » une fois installé aux États-Unis. Chanteur et musicien[modifier | modifier le code] Il commence sa carrière en 1958 en tant que chanteur du groupe The Teddy Bears. Producteur[modifier | modifier le code] Il passe ensuite rapidement derrière les consoles et commence à produire.

Le mur de son[modifier | modifier le code] God Only Knows. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. God Only Knows est une chanson des Beach Boys parue sur l'album Pet Sounds en 1966, écrite par Tony Asher, composée et produite par Brian Wilson. La chanson est interprétée par Carl Wilson. À la fin, le grand frère Brian reprend la phrase « God only knows what I'd be without you » et le chœur la répète à l'infini.

God Only Knows a été reprise, en 1966 par PP Arnold, sur l'album The First Cut – The Immediate Anthology, puis dans les années 1980, par David Bowie, sur l'album Tonight (en 1984). David Bowie a interverti l'ordre des couplets. Claudine Longet a également effectué une reprise de cette célèbre chanson des Beach Boys, de même que le quatuor pop-jazz Manhattan Transfer. Mur de son. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mur de son en anglais : wall of sound, parfois fautivement traduit par « mur du son », est un effet musical créé par le producteur Phil Spector. Origine et processus de création[modifier | modifier le code] Voici comment cet effet fut créé pour la première fois par Phil Spector, aux Gold Star Studios de Los Angeles : Effet recherché[modifier | modifier le code] À l’époque du premier enregistrement, la réverbération sur les murs de la cave et la concaténation des sonorités donnait aux productions de Spector une qualité unique : un son riche et complexe passant très bien sur les chaînes de radio des années 1960, une profondeur impressionnante pour un enregistrement monophonique.

L’effet constitue un contraste saisissant avec le mixage « standard » de la musique pop : un solo vocal d’une part et un arrière-plan instrumental. Morceaux célèbres[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] The Ronettes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. The Ronettes Photographie promotionnelle des Ronettes en 1966 The Ronettes était un groupe vocal féminin (girl group) américain des années 1960 produit par Phil Spector. Ronnie Bennett (née le ), la principale chanteuse du groupe (qui donna son nom au groupe : Ronnie Bennett → Ronettes), fut l'épouse de Phil Spector. Les deux autres chanteuses étaient sa sœur Estelle Bennett (née le , décédée en février 2009) et sa cousine Nedra Talley (née le ). En 1973, Ronnie divorça de Phil Spector et se lança dans une carrière solo. Un album « best of » sorti en 1992 est classé parmi « les 50 plus grands albums de tous les temps », catégorie « Women who rock » par Rolling Stone Magazine[1] Anecdotes[modifier | modifier le code] Le groupe fait une courte apparition dans le 40e épisode de la série britannique Monty Python's Flying Circus[2].

Notes et références[modifier | modifier le code] Bay City Rollers. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Formation[modifier | modifier le code] Discographie[modifier | modifier le code] Rollin' (1974)Once Upon a Star (1975)Wouldn't You Like It? (1975)Dedication (1976)It's a Game (1977)Strangers in the Wind (1978)Elevator (1979)Ricochet (1981) Lien externe[modifier | modifier le code] Discographie des Bay City Rollers.