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Dépression

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Dépression et démence- le lien psychologique. La DÉPRESSION associée à un risque accru de démence Actualité publiée le 07-01-2013 Archives of Neurology.

Dépression et démence- le lien psychologique

Dépression: ajouter un neuroleptique (antipsychotique) à un antidépresseur est-il efficace? Benzodiazépine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Benzodiazépine

Pour les articles homonymes, voir BZD. L'usage à long terme (plus d'un mois) est problématique en raison de l'apparition d'une accoutumance (tolérance), d'une dépendance et d'un syndrome de sevrage à l'arrêt de consommation. La prescription et la délivrance des hypnotiques et des anxiolytiques sont encadrées par des textes réglementaires généraux, dont, en France, l'article R.5132-14 du code de la Santé publique, relatifs à la législation des substances vénéneuses listées.

La première formule médicamenteuse de la classe des benzodiazépines est apparue dans les années 1960. De nombreuses spécialités voient le jour dans les années 1970. Mode d'action[modifier | modifier le code] Le GABA est le principal neurotransmetteur inhibiteur du système nerveux central. Représentants de cette famille[modifier | modifier le code] Le chef de file est le diazépam (Valium®), première benzodiazépine historique. Substances assimilées[modifier | modifier le code] Dépression - Psychanalyse. Tomber en dépression est-il inscrit dans les gènes. Dépression. Mme Dubois, 38 ans, mère de deux enfants et auxiliaire familiale, consulte pour de la fatigue généralisée.

Il y a trois mois, elle a été mise en arrêt de travail par son médecin et, depuis, elle prend des antidépresseurs et suit une psychothérapie. Malgré cela, elle se sent encore fatiguée, éprouve de la difficulté à se concentrer et souffre fréquemment d'insomnie. Elle consulte en acupuncture, car elle aimerait avoir plus d'énergie et reprendre son travail le plus tôt possible. Boire trop de sodas peut vous faire tomber en pleine dépression. Si vous ne vous sentez pas toujours très optimistes ou que vous broyez du noir trop souvent à votre goût, voilà peut-être pourquoi !

Boire trop de sodas peut vous faire tomber en pleine dépression

Une étude américaine a établi que la dépression pourrait être favorisée par la consommation régulière de sodas. Les sodas et boissons sucrées seraient un facteur important de la dépression. C’est ce qu’affirme une étude américaine, menée par les équipes du National Institute of Health, l’organisme sanitaire officiel des États-Unis. Mais si vous pensiez que seuls les sodas façon Coca Cola étaient concernés, vous vous trompez ! Car les jus de fruits sont eux aussi concernés. Cette annonce conclut une étude commencée il y a plus de 15 ans, entre 1995 et 1996 ! Heureusement ces conclusions ne sont pas encore définitives, donc on peut encore continuer de boire des sodas bien sucrés si ça nous fait plaisir ! Plus de dépression chez les personnes vivant seules. La dépression est beaucoup plus fréquente chez les personnes qui vivent seules, selon une étude finlandaise publiée dans la revue BioMed Central, Public Health.

Plus de dépression chez les personnes vivant seules

Environ une personne sur 7 vit seule en occident, cette proportion ayant doublé au cours des trois dernières décennies. Laura Pulkki-Raback de l'Université d'Helsinki et ses collègues ont analysé la consommation d'antidépresseurs de 2000 à 2008, au moyen d'un registre gouvernemental de ventes de médicaments, d'environ 3500 hommes et femmes, âgés de 30 à 65 ans, ayant participé à une étude de santé publique en 2000. Les personnes qui vivaient seules ont acheté 81% plus d'antidépresseurs. En tenant compte dans l'analyse de l'effet d'autres facteurs tels que la pauvreté, le risque de dépression demeurait plus élevé de 64 à 74 %. Les dépressifs ont plus de difficulté à distinguer les différentes émotions négatives.

Les personnes en dépression éprouveraient plus de difficulté que celles en bonne santé mentale à identifier les différentes émotions négatives, selon une étude américaine publiée dans la revue Psychological Science. La capacité d'identifier et de distinguer les émotions négatives aide à résoudre les problèmes ayant conduit à ces émotions, soulignent les chercheurs. Mais alors que certaines personnes peuvent faire la différence entre un sentiment de colère et de culpabilité, d'autres peuvent ne pas être en mesure de séparer les deux.

La distinction entre la colère et la frustration est encore plus difficile à faire. Emre Demiralp de l'Université du Michigan et ses collègues ont mené cette étude avec 106 personnes, âgées de 18 à 40 ans, dont la moitié avait reçu un diagnostic de dépression. La tendance à évaluer au même niveau plusieurs émotions en même temps (par ex. dégoût et frustration) était interprétée comme indiquant une éventuelle difficulté à distinguer ces émotions. Tomber en dépression est-il inscrit dans les gènes ? Quand des épidémiologistes se sont intéressés à la dépression, ils ont, en décortiquant les données, découvert une composante familiale forte, comme si ce trouble de l'humeur était héréditaire.

Tomber en dépression est-il inscrit dans les gènes ?

Cela s'appuie notamment sur le fait que de vrais jumeaux, qui partagent le même matériel génétique, ont nettement plus de chances d'être tous les deux dépressifs que deux membres non jumeaux d'une fratrie, lesquels ne possèdent pas un ADN identique. D'où l'idée, présente maintenant dans les esprits depuis plusieurs années, que la dépression a pour partie une base génétique, ainsi que l'a souligné une méta-analyse publiée en 2000.