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La fiscalité

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CGA vs Experts-Comptables : vers qui se tourner ? Nov 02 Moins connu que les Experts-Comptables, dans un premier temps expliquons ce qu’est un Centre de Gestion Agréé.

CGA vs Experts-Comptables : vers qui se tourner ?

Qu’est-ce qu’un centre de gestion agrée ? C’est une structure de type associative ayant reçu l’agrément des services fiscaux pour réaliser diverses missions fiscales pour ses adhérents. Qui peut y adhérer ? Toute entreprise industrielle, commerciale, artisanale et agricole relevant de l’impôt sur le revenu (IR) ou de l’impôt sur les sociétés (IS), quel que soit son régime d’imposition (micro-entreprise, régime simplifié d’imposition ou régime du réel normal). Rôle des CGA Les CGA permettent d’approfondir la compréhension et l’analyse de la situation financière de l’entreprise à travers ces 3 rôles. Obligations des adhérents du CGA Dans le cas où vous êtes adhérent, il faudra autoriser le CGA à communiquer les documents comptables (bilan et compte de résultat) à l’inspecteur fiscal.

Avantages fiscaux (uniquement pour les entreprises relevant de l’IR) Pour adhérer à un CGA : Centre de gestion agréé et expert-comptable : quelles différences ? Faut-il faire appel à un centre de gestion agréé ou à un expert-comptable pour obtenir des conseils, tenir vos comptes ou établir vos déclarations fiscales ?

Centre de gestion agréé et expert-comptable : quelles différences ?

En réalité, tout va dépendre de vos besoins et de la nature des missions que vous souhaitez voir réaliser par le prestataire. Voici les différences fondamentales entre un centre de gestion agréé (CGA) et un expert-comptable : Le rôle et les avantages d’un Centre de gestion agréé (CGA) Les CGA sont des associations légalement constituées qui ont plusieurs missions : L’adhésion à un centre de gestion agréé va vous coûter entre 150 et 350 € par an en moyenne. L’adhésion à un CGA vous donne droit à plusieurs avantages si vous êtes imposés à l’IR (impôt sur le revenu) selon un régime réel d’imposition : L’expert-comptable : une compétence exclusive pour la comptabilité.

Création entreprise : les statuts des sociétés. Les statuts de toute société doivent obligatoirement indiquer : la dénomination sociale, la forme juridique, l'adresse du siège social, les apports de chaque associé ou actionnaire, le montant du capital social, l'objet (autrement dit l'énoncé sommaire des activités exploitées et opérations effectuées par la société), la durée de vie de la société.

Création entreprise : les statuts des sociétés

En cas de statuts sous forme notariée, ils doivent indiquer le nom et l'adresse du notaire. Des indications complémentaires doivent figurer aux statuts, notamment sur les modalités de fonctionnement de la société (identification, composition, règles de prise de décision des principaux organes de la société, notamment de direction, gestion et contrôle ; clé de répartition des bénéfices...) ou, par exemple, en cas d'apports en nature (identification et évaluation de ce type d'apports).

Impôts sur les sociétés et contributions. Votre entreprise est imposable à l'IS sur ses bénéfices uniquement si elle est exploitée en France.

Impôts sur les sociétés et contributions

Cela veut dire qu'elle doit y exercer une activité commerciale ou industrielle habituelle. En principe, votre société (même si elle est française) n'est donc pas imposable sur les bénéfices qu'elle réalise à l’étranger par le biais de succursales qu'elle y exploite. Le montant du bénéfice à déclarer chaque année est donc celui que votre société réalise dans tous ses établissements français. Une possibilité d'imposition "groupée" : création « d'un groupe vertical » ou « horizontal ». En principe, chaque société paye l'IS sur ses propres bénéfices. Cependant, si votre société est française, vous pouvez opter pour le "régime de groupe" (régime d’intégration fiscale dite « verticale »). À compter des exercices clos au 31 décembre 2014, il est également possible de former, sur option, une intégration fiscale dite « horizontale » (article 223 A III du CGI). Quelle est la différence entre impôts directs et impôts indirects ?  - Les grandes questions fiscales Découverte des institutions.

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Quelle est la différence entre impôts directs et impôts indirects ?  - Les grandes questions fiscales Découverte des institutions

</p> La distinction entre les impôts directs et indirects est sans doute la plus importante parmi les différentes classifications envisageables, ne serait-ce que parce qu’elle a des incidences opérationnelles. Pourtant, c’est une des distinctions les plus complexes à caractériser. On perçoit aisément que l’impôt sur le revenu est le modèle type de l’impôt direct, car il est établi et collecté sur la base d’un avis d’imposition adressé à chaque contribuable ; la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est le modèle de l’impôt indirect, qui n’est pas acquitté auprès du Trésor public directement par le contribuable qui en supporte le coût : le critère serait donc celui de l’existence d’un rôle d’imposition, qui serait le marqueur des impositions directes.

La fiscalité de la SARL. Imposition des bénéfices SARL relevant de l'impôt sur les sociétés - IS Pour les sociétés dont le CA est inférieur à 7 630 000, l'imposition à l'IS est le suivant: la tranche de bénéfice de 0 à 38 120 €, le taux d'IS est de 15%, la tranche de bénéfice de 38 120 à 75 000 €, le taux d'IS est de 28 %, au-delà de 75 000 euros, le taux d'IS est de 33,33%.

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