background preloader

The Tree of Life

Facebook Twitter

Exégèse d'une Palme d'or : "The Tree of Life" (2011) de Terrence Malick. Tandis que Dieu évoque la création du monde – et, au travers d’elle, sa providence et toute-puissance, auxquelles s’opposent les limites de l’homme –, il demande à Job : "Où étais-tu quand je jetai les fondations de la terre ? ". Le cinquième long-métrage tant attendu de Terrence Malick, The Tree of Life, s’ouvre sur cette citation provenant du Livre de Job, qui annonce ici le récit à venir. Malick met effectivement en scène la création du monde – et ceci dans une fresque surprenante d’une vingtaine de minutes où s’entremêlent des couleurs chagalliennes et des effets spéciaux –, mais le grand thème de son nouveau film est avant tout celui du rapport de l’être au tout-puissant, que celui-ci soit Dieu ou son double terrestre, le père. Si The Tree of Life reprend donc l’histoire classique, voire biblique, du rapport à Dieu et du poids accablant de la souffrance, le film surprend néanmoins par sa construction.

The Tree of Life (Terrence Malick, 2011), comment exister ? - Jérémy Zucchi, cinéma et créations graphiques. Le blog que vous cherchez n'est plus accessible depuis cette adresse. Vous pouvez le consulter à l'adresse suivante : jeremy-zucchi.over-blog.com Liste des articles du blog jeremy-zucchi.over-blog.com : Mort programmée de mon blog Voilà, il faut bien mettre un terme à certaines choses. J'ai créé ce blog en 2009 et cela m'a permis de faire beaucoup de choses dont je suis fier, des échanges passionnants avec d'autres blogueurs… Lars von Trier nazi ?

La perversion des images La pensée réduite à 140 caractères Nous avons tous été fiers d’assister au formidable pouvoir de rassemblement et de diffusion de l’information par Internet lors du Printemps Arabe (qui n’est pas… Paycheck (John Woo, 2003), money, get back ! Je me suis rendu compte que malgré de nombreux articles publiés sur mon blog sur les adaptations de l'écrivain de science-fiction Philip K.

Comment adapter Le Maître du haut-château ? Un film coréen a quelques points communs avec Le Maître du haut-château de Philip K. The Tree of Life ou le rêve de Flaubert - Philo... so geek. The Tree of Life (2011. S’il ne devait rester en mémoire qu’un seul film attendu sur la Croisette cette année, c’était lui. Il y était même attendu depuis l’année dernière, et toute cette attente ne pouvait pas aboutir que sur du positif. Depuis quelques semaines, malgré des images et une bande annonce sublimes, à pleurer, une légère crainte s’est installée.Et si The Tree of Life n’était finalement que la publicité pour EDF que certains ont cru voir dans le trailer?

Et si on avait attendu trop longtemps? Et si Terrence Malick n’était pas infaillible? Des craintes malheureusement justifiées. Pour son cinquième film, Terrence Malick se plante, pour la première fois de sa carrière qui ne comportait QUE des chefs d’oeuvres. Et le plus malheureux dans tout ça est qu’on ne peut même pas tout mettre sur le dos d’une attente trop importante, d’espoirs trop grands.

Pendant 2h30, une durée considérable, Malick va s’essayer à la métaphysique, lui le spécialiste de la poésie et de la philosophie filmées. Terrence Malick: les racines de son arbre de vie.