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Evolution

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Mon (et votre) cerveau raciste. Associer minorités et criminalité est irrationnel, injuste et... parfaitement normal. Le journaliste Juan Williams a déclaré au présentateur Bill O'Reilly [NDLE: polémiste très conservateur travaillant à Fox News] que voir des musulmans dans les aéroports le rendait nerveux. Ce qui lui a valu sans ambages d’être taxé de sectarisme [NDLE: et d’être limogé par la radio NPR]. Mais l’association faite par Williams entre innocents musulmans et les auteurs des attentats du 11-Septembre avait moins à voir avec le sectarisme —en tout cas, tel qu’il est d’usage de le définir— qu’avec le fonctionnement normal de son cerveau. Si vous vivez aux États-Unis à l’ère post-11-Septembre et que vous ne faites pas un minimum de lien entre musulmans et terrorisme, quelque chose ne tourne pas rond chez vous.

Je ne suis pas en train de dire qu’il est rationnel ou juste d’associer musulmans ordinaires et terroristes. Imaginez que vous avez mal au ventre... L'inhabituel et la minorité L'irrationnel Shankar Vedantam.

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150 ans après, la théorie de l'évolution est en pleine évolution. L’évolution de la vie est désormais un fait avéré, accepté partout où des principes religieux ou philosophiques n’empêchent pas son évidence de s’imposer. La question suivante est : comment la vie évolue-t-elle ? Quels mécanismes concrets, biologiques et chimiques, font que les espèces vivantes se succèdent, apparaissent et disparaissent, remplacées par d’autres ? C’est aujourd’hui la question centrale pour l’ensemble des spécialistes, toujours empêtrés dans les mystères de la vie et de son histoire. Concernant la seule génétique, qui n’est qu’une partie des mécanismes en question, tout le monde est d’accord pour dire que ce sont les mutations qui alimentent le moteur de l’évolution.

Une mutation génétique entraine parfois une modification des caractéristiques d’un être vivant ; cette modification peut se révéler, dans un environnement donné, avantageuse en ce sens qu’elle offre à son porteur de meilleures chances de survie et/ou de faire des petits. Evoluer, c’est transmettre ses mutations. Dieu, fruit de l'évolution humaine? | slate. La querelle entre religion et évolution vient de prendre un tour intéressant. Au lieu d'attaquer la religion, certains darwinistes la comprennent comme un produit de l'évolution humaine.

Ils débattent aujourd'hui pour savoir dans quelle mesure cette évolution est biologique. L'évolution et la biologie se séparent. Voilà un épineux concept à discuter alors que notre époque scientifique est dominée par la biologie. Je vais tenter de vous expliquer où nous en sommes. Voici trois ans, alors que j'étais attaché à la Templeton fellowship de l'Université de Cambridge, j'ai entendu l'une de ces idées qui, non contente de s'accrocher à votre tête, commence aussi à réaménager toute votre façon de penser. Fondamentalement, rien de mystique ou de religion dans cette idée. Publicité Conway Morris va plus loin. S'il a juste, deux grandes questions commencent à devenir sérieuses. L'autre question est: que penser de cette architecture? Wright n'est pas d'accord. Qui a donc raison dans ce débat? The Non-Evolution of God - TierneyLab Blog. Robert Wright’s new book, “The Evolution of God,” has a provocative title.

But it’s a disappointment from the Darwinian perspective. He doesn’t mean real evolution, just the development of ideas about God. He argues that our morality has improved over the centuries and that maybe the hand of the deity can be discerned in that progression, if one looks hard enough. But he leaves fuzzy the matter of whether he thinks a deity is there for real. There’s a moral order in history, he says, which “makes it reasonable to suspect that humankind in some sense has a ‘higher purpose.’” Wright argues that the sacred texts of Judaism, Christianity and Islam “reveal the arrow of moral development built into human history.” Just because morality may have evolved in a direction we like to call progressive, that is no evidence of any higher purpose. Non-Evolution of God, Part 2 - TierneyLab Blog. A post last week on Robert Wright’s new book The Evolution of God produced many insightful comments.

I’d like to thank readers for sharing their thoughts and to remark on some of what was said. But first, I should note that Mr. Wright took issue with the post. He said in an email: Thanks for writing about my book “The Evolution of God.” However, I’m afraid that you misunderstand the argument I’m making in it. You write that evolution “provides a simpler explanation for moral progression than the deity Wright half invokes.”

I replied that, as I’d said in the original post, evolution seems to me a sufficient explanation for the moral progress that Mr. Several readers said in their comments they were unable to see any sign of moral progress in our current state of affairs (e.g., #34, #38, #54). If this seems rather anecdotal evidence for greater moral sensibility, take the long view and consider warfare. Comments and suggestions are welcome, particularly from researchers with new findings. Google Algorithm Predicts When Species Will Go 404, Not Found | Biologists have figured out the most efficient way to destroy an ecosystem — and it’s based on the Google search algorithm.

Scientists have long known that the extinction of key species in a food web can cause collapse of the entire system, but the vast number of interactions between species makes it difficult to guess which animals and plants are the most important. Now, computational biologists have adapted the Google search algorithm, called PageRank, to the problem of predicting ecological collapse, and they’ve created a startlingly accurate model.

“While several previous studies have looked at the robustness of food webs to a variety of sequences of species loss, none of them have come up with a way to identify the most devastating sequence of extinctions,” said food web biologist Jennifer Dunne of the Santa Fe Institute, who was not involved in the research. In other words, grass is important because it’s eaten by gazelles, and gazelles are important because they’re eaten by lions. Nicholas Wade. By NICHOLAS WADE Geneticists’ new finding that a previously unknown archaic species of human mingled with early modern humans in Africa has been met with skepticism because no fossil evidence exists. L'hypercomplexité du vivant déroute les chercheurs - SCIENCES ET.

F.A.Z.-Community. Sciences et Technologies : Ces gènes qui font les ce. Une équipe de chercheurs a identifié pas moins de 150 mutations génétiques prédisposant à la grande longévité. La longévité dépend de l'histoire familiale, du mode de vie, de l'alimentation et de l'environnement. Mais cela ne suffit pas pour faire des centenaires ou des supercentenaires - les personnes âgées de plus de 110 ans. Il faut aussi avoir les «bons gènes». À la fin des années 1990, les biologistes ont commencé à en identifier un petit nombre qui joue un rôle important dans la longévité. Une équipe de chercheurs américains et italiens vient de publier une étude qui aborde cette problématique de manière tout à fait différente (Science Express , 2 juillet 2010). Au lieu de s'intéresser à un gène en particulier, ils ont cherché à repérer les mutations génétiques communes à plus de mille centenaires enrôlés dans leur étude. Prévention et la détection de maladies Ces 150 mutations génétiques vont désormais devoir être étudiées.

«Stratégies thérapeutiques» «Il faut être prudent. Sciences et Technologies : La vie multicellulaire bi. L'analyse de fossiles découverts au Gabon par un géologue français montre que les organismes multicellulaires seraient apparus 1,5 milliard d'années plus tôt qu'on ne le pensait. Petit tremblement de terre au sein de la communauté scientifique. Les premiers organismes multicellulaires ne seraient pas apparus il y a 600 millions d'années comme on le pensait jusqu'à maintenant, mais il y a 2,1 milliards d'années ! Cette découverte est si extraordinaire qu'elle faisait jeudi la une de la célèbre revue Nature.

Elle est l'œuvre d'un géologue français, Abderrazak El Albani (Université de Poitiers/CNRS) qui a dirigé une équipe internationale de 21 chercheurs. «Nous sommes formels : le curseur datant l'apparition d'une vie complexe multicellulaire doit être déplacé de 1,5 milliard d'années», explique-t-il au figaro.fr avant de prévenir dans la foulée : «Cela bouscule tous les dogmes établis. Notre article va sans aucun doute ouvrir un gigantesque débat dans le monde de la paléontologie.»