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Free Fatma Riahi

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Free Fatma. Carpe Diem: Fatma. DEBATunisie. Des idées... Depuis les premières infos d’hier sur Arabicca, je me sens mal !

Des idées...

J’ai suivi toute la journée les bribes d’informations avec comme seul résultat une dépression grandissante et un dépit indescriptible. Dans quel monde vivons-nous ? Pour qui ils nous prennent ? Monsieur Ammar & Co : Nous ne sommes pas des brebis ! Et Arabicca n’est pas une « brebis égarée » ! Pour la faire courte, à l’ occasion du 22ieme anniversaire du « Changement », je te rappelle, petit ammar, cet extrait du discours du 7 Novembre !

Moi, cet extrait là, j’y crois ! « …L'indépendance de not pays, l'intégrité de notre territoire, l'invulnérabilité de notre patrie et le progrès de notre peuple sont l'affaire de tous les Tunisiens. Citoyens, citoyennes, L'époque que nous vivons ne peut plus souffrir ni présidence à vie, ni succession automatique à la tête de l'Etat desquelles le peuple se trouve exclu. Idées bêtes. Au quotidien. Khanouff. Aien Aristeuein. Hnani and the Family » I am Fatma and I won’t shut up! Jolanare. LA Times. Lina Ben Mhenni was one of the last people to see Fatma Riahi the day she was arrested.

LA Times

The two women bloggers had been in touch online and by phone, but it wasn't until Ben Mhenni saw that Riahi's Facebook profile and blog had been shut down that they made urgent plans to meet for coffee on last Sunday. Global Voices Advocacy » Tunisia: blogger Fatma Riahi arrested a. Update 1: November 6th, 2009 – Lawyer Ben Debba said fatma has been transferred to Bouchoucha police station and might be summoned to appear before a public prosecutor.

Global Voices Advocacy » Tunisia: blogger Fatma Riahi arrested a

Nawaat. La blogueuse tunisienne et professeur de théâtre, Fatma Riahi (34 ans), plus connue en ligne sous le pseudonyme “Arabicca” est en ce moment détenue au poste de police d’El Gorjani depuis le mercredi 4 novembre 2009. « Elle est soupçonnée d’être la personne qui se cache derrière le blogueur caricaturiste anonyme,Z, du blog Débat Tunisie et fait face à des accusations de diffamation passibles de poursuites pénales pour lesquelles elle risquerait jusqu’à trois ans de prison » . nous a confirmé un membre du groupe de soutien de la blogueuse.

Fatma Rihani a d’abord été convoquée à comparaître, le 2 novembre, devant la brigade criminelle pour être interrogée sur ses activités sur internet. Après plusieurs heures d’interrogatoire elle a été relâchée, le soir même, vers 22h. Une nouvelle perquisition le mercredi 4 novembre permet aux agents de la brigade criminelle de mettre la main sur ses mots de passe et ainsi accéder à son compte Facebook. Www.nawaat.org. Reporters Sans Frontières. Reporters sans frontières apprend avec soulagement la libération de Fatma Arabicca le 7 novembre en fin de matinée.

Reporters Sans Frontières

La blogueuse a regagné son domicile. Cependant, l’unité centrale de son ordinateur est toujours confisquée ainsi que le cahier sur lequel elle notait tous ses mots de passe. La jeune blogueuse fait toujours l’objet d’une enquête de la police qui cherche à découvrir l’identité d’autres blogueurs anonymes. 06.11.2009 - La blogueuse Fatma Arabicca incarcérée et censurée. Al Jazeera English - Africa - Tunisian blogger detained. A Tunisian blogger and drama teacher, Fatma Riahi, known online as Arabicca, has been arrested by the country's police, Al Jazeera has learned.

Al Jazeera English - Africa - Tunisian blogger detained

Riahi was summoned to appear before the Criminal Brigade of Gorjani in Tunis on Monday, where she was questioned about her online activities, sources said. Riahi was then released in the evening, only to be summoned again the following day and escorted by police officers to her home in Monastir, 160km from the capital, Tunis, for a house-search, the sources said. Police confiscated her computer as evidence, and gained access to her online social-network accounts. Riahi has neither been released from custody in Gorjani police station, nor granted access to her lawyer, Laila Ben Debba, who has spoken to her only for a few minutes, Al Jazeera has learned. Ben Debba told Al Jazeera: "On November 3, the police phoned me and asked for Fatma to go back to them for more interrogation. Political satire 'Free Arabicca' campaign Journalist jailed.