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Philosophie

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Qu'est-ce que le réel ?, texte de Bernard Vandermersch. There are no translations available. Séminaire sur les non-dupes errent Bernard Vandermersch : Qu’est-ce que le réel ? Et que veut dire qu’il n’a été jusqu’ici que supposé. Lacan nous dit : « Est-ce que le réel n’est jamais que supposé ? » Il parle là du réel auquel l’analyste a affaire : au savoir inconscient. Les physiciens, l’un d’entre eux, Bernard d’Espagnat, a écrit, il y a 20 ans, à propos du réel en physique un beau livre intitulé Le réel voilé.

Avant donc de parler d’espace lacanien et de ce qu’y devient le réel, dès lors qu’il n’est plus supposé mais exposé, comme dans le NB, il faut revenir sur ce qu’est le réel. Le réel, qu’est-ce que ça veut dire ? Le réel est trois. Lacan nous donne une réponse avant même que nous nous soyons posés la question : le réel est trois. Sans oublier le point de départ : le non rapport sexuel. « Pourquoi est-il trois ? « Il n’y a pas de fonction qui les relie et pourtant ça baise là-dedans ! P.96 [Note Vandermersch. Il faut supposer un troisième terme. Philosophie - Philisto. Bienvenue sur le site de Daniel TANT.

Cusa. Accueil: I – Définitions La Tétraktys pythagoricienne[1] La Tétraktys est une figure triangulaire composée de dix points disposés en quatre rangées: un, deux, trois et quatre points dans chaque rangée, qui est la représentation géométrique du quatrième nombre triangulaire. Comme symbole mystique, elle était très importante dans le culte secret des pythagoriciens. Les quatre premiers chiffres, symbolisent l'harmonie des sphères et le cosmos: 1 est l'Unité, 2 la Dyade, 'Harmonie, 4 le Cosmos Les quatre rangées additionnées 1+2+3+4 = 10, formant l'unité de rang supérieur (la décade).La Tétraktys symbolise les quatre éléments - le feu, l'air, l'eau et la terre, comme dans le symbolisme alchimique. La trilogie des hypostases néoplatoniciennes[2] Dans la doctrine néoplatonicienne, l’hypostase est un terme qui désigne un «principe divin».

"On peut comparer l'Un à la lumière, l'être qui le suit [l'Intellect] au Soleil, et le troisième [l'Âme] à l'astre de la Lune qui reçoit sa lumière du Soleil. " Neoplatonisme. I - Zoroastre et l'éthique des rois achéménides. On ne peut pas comprendre Platon et le platonisme sans un retour à Zoroastre et à l'empire des Achéménides. On estime actuellement que Zoroastre a vécu entre le 10ème et le 8ème siècle avant notre ère. Il transforma la religion des mages mazdéens fondée sur la dualité du Bien, Ahura Mazda et du Mal, Ahriman et dont les rites consistaient surtout en sacrifices d'animaux. Paul du Breuil, a expliqué dans "Zarathustra et la transfiguration du monde", que ce que Zoroastre proposait était en fait une révolution qui rompait avec la croyance au rituel magique.

On peut supposer que le renoncement à tout rituel en faveur de l'intériorisation et de l'éthique indique une proximité avec le Yoga. Une spiritualité ésotérique et une éthique aussi élevées ne pouvaient (comme en Egypte) être réservées qu'à des élites. Les rois de la dynastie des achéménides étaient reconnus par tous pour leur éthique et leur tolérance. III – L'Unité selon Socrate et Platon. La matière selon Plotin. Sang de chien. Chair de chien! Mais l’Idée du Feu est toute entière dans chaque flamme | jadislherbe. Il faut revenir à la matière, substrat des corps, puis aux propriétés qu'on dit exister dans la matière. Nous connaîtrons par cet examen qu'elle est un non-être et qu'elle est impassible. Elle est incorporelle, puisque le corps lui est postérieur, qu'il est un composé, et qu'elle produit un corps en s'unissant à autre chose. Si elle a, comme l'être, le nom d'incorporel, c'est seulement que la matière, comme l'être, est différente des corps.

Elle n'est ni âme, ni intelligence, ni vie, ni forme ni raison, ni limite (elle est l'absence de limite), ni puissance (que produit-elle en effet?) Plotin, Ennéades 3, 6, De l'impassibilité des incorporels, 7 (traduction de Bréhier) 1. Le mot matière, hulé, existe depuis longtemps dans la pensée philosophique quand Plotin s’en empare: depuis Aristote. Plotin aborde la matière en héritier d’une tradition très riche, très longue. . (1) les atomes et le vide de Démocrite d’Abdère et des épicuriens -qui n’utilisaient pas encore le mot matière.

La voix de Gilles Deleuze. Cours 38 du 19/04/83 - 2 transcription : Antonin Pochan relecture : Clara Guislain ... Tout ça c’est... Mais enfin vous voyez... Et le moment de la scission de l’opposition infinie, c’est très intéressant. Car encore une fois, la scission infinie consiste exactement en ceci. Là, voilà que maintenant je dis : on assiste à la scission ou à l’opposition infinie de deux forces, la volonté de faire voir n’était pas comme une force qui s’opposait à la lumière invisible.

(Dans la salle) : Pourquoi ? Deleuze : Pourquoi ? Bon, Valéry pensera de toute évidence quand il dira, "rendre la lumière, suppose d’ombre une morne moitié". Troisième étape. Et c’est par rapport à ce zéro, à ce point zéro, que la lumière nous propose sa première manifestation ou visibilité ou révélation. Et nous n’avons donc plus la lumière comme distance infinie, nous avons la lumière comme distance par rapport à zéro, par rapport à la nuit, par rapport au noir.

Mais là maintenant, c’est le blanc et le noir qui s’opposent. Qu'est-ce que le temps ? Finalement, le temps existe-t-il ? Est-ce le temps qui existe ou les phénomènes temporels ? Autrement dit, est-ce que le temps n'est qu'une façon de dire les phénomènes ou bien est-ce que les phénomènes se déroulent dans le temps ?

3 points de vue au moins émergent parmi les physiciens. Non, il n'existe pas, nous le parcourons. La vraie structure qui permet de comprendre les phénomènes physiques, c'est l'espace temps, un univers-bloc, rigide, non temporalisé, dans lequel le temps n'est pas orienté. Le futur existe déjà, le passé est encore là. Non, il n'existe pas, nous le construisons. Oui, il existe, nous en sommes prisonniers.